Pèlerins de Saint Michel

Le Jugement Dernier raconté par la pierre L'art roman, qui s'épanouit après l'An Mil, privilégie l'éducation des masses, par le biais des chapitaux et des portails historiés (qui racontent une histoire). Au-dessus du portail de la cathédrale Saint-Lazare d'Autun (Bourgogne), untympan sculpté fournit un bon exemple de la manière dont les hommes du Moyen Âge se représentent le Jugement Dernier. Ce tympan est l'oeuvre d'un très grand artiste du XIIe siècle, Ghislebertus. On y voit au centre le

chargés de célébrer le culte, de distribuer des sacrements ; ils sont dirigés par des évêques ou chanoines (vivent en contact avec le monde). Collégiale : commune importante Clergé régulier : moines (moniale) vivent retirés du monde en communauté (Saint Simon) selon des règles fixées par leurs fondateurs. Ordres contemplatifs : prient toute la journée. Sous la direction d’un abbé ou d’une abbesse. Ils ont pu jouer un grand rôle économique, ils se sont notamment livrés au XIIème siècle au défrichement

transformer en une grande cité moderne sous l’autorité pontificale : - réparations des équipements - réaffectations des monuments antiques (Panthéon en église, mausolée d’Hadrien en château St-ange) - améliorer les voies anciennes pour l’afflux des pèlerins (pèlerinages et fêtes annuelles) : dallage, élargissement et tracé de grandes voies (axées sur St Pierre et pont St-Ange) Au XVIe s., le plan urbanistique néo-impérial « Renovatio Urbis » très ambitieux du pape Jules II et de Bramante vise à ouvrir

Bruxelles Époque et année de construction : Entre le début du XIIIe siècle et la fin du XVe siècle. De 1225 à 1480. Auteur de la construction : Le duc Lambert II. Bref Historique : La construction de la cathédrale St Michel et Gudule, (anciennement collégiale des S.S. Michel et Gudule) fut entreprise au début du 13e Siècle sous l'impulsion d’Henri 1er, duc de Brabant. Cette époque coïncide avec l'apparition du style gothique dans nos régions. Presque 300 ans furent nécessaires pour mener à son

l'opposition de l'homme public[2]. Pendant la période française, les registres d'état civil sont rédigés en français aussi sa naissance est enregistrée sous le nom de Joseph-Marie Garibaldi[3]. Garibaldi est baptisé le 19 juillet 1807 en l'église Saint-Martin-Saint-Augustin, située dans le quartier du Vieux-Nice : son parrain est Joseph Garibaldi et sa marraine est Julie Marie Garibaldi[N 2]. À l'âge de 7 ans, en 1814, il devient donc sujet de Victor-Emmanuel Ier, lorsque le comté de Nice revient à

Templiers. Cet ordre fut créé le 22 janvier 1129[1] à partir d'une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon. Il œuvra pendant les XIIe et XIIIe siècles à l'accompagnement et à la protection des pèlerins pour Jérusalem dans le contexte de la guerre sainte et des croisades. Il participa activement aux batailles qui eurent lieu lors des croisades et de la Reconquête. Afin de mener à bien ses missions et notamment d'en assurer le financement, il constitua à travers l'Europe

changement majeur est le retour aux vœux traditionnels du clergé c'est-à-dire pauvreté, chasteté et obéissance. Grégoire VII essaie aussi de normaliser l'élection des papes et que ce soient des membres du clergé qui s'en chargent. Henry IV, empereur du Saint empire germanique, s'oppose farouchement à Grégoire VII et à ses réformes. Le pape impose l'interdit sur l'empire germanique, c'est donc dire que la population n'a plus le droit de pratiquer la religion chrétienne, ce qui entraîne la révolte du peuple

conservée à Volterra  Ils décrochent le corps du Christ de la croix qui semble lourd, il échappe à ceux qui le tienne, d’où l’affolement perceptible. Rosso, Moïse défendant les filles de Jethro, 1524, Florence  Influencé par les grands-nus de Michel-Ange dans la Chapelle Sixtine. Ici ils sont librement réinterprétés pas le même respect de l’anatomie, corps malmenés, tordus par la violence extrême qui les animent. Les expressions des visages sont exagérées. Maniérisme : Style loin de la nature

les chevaliers Teutoniques[8]. Il est d’ailleurs ici intéressant de résumer le petit poème l’Ordene de Chevalerie pour découvrir tout le symbolisme qui depuis la christianisation du chevalier a entouré la Chevalerie. La scène se passe en Terre Sainte et cette scène n’est qu’un dialogue. Les deux interlocuteurs sont, d’une part un prisonnier le chevalier Hue de Tabarie, et d’autre part un grand prince païen, un vainqueur, Saladin[9]. Il se trouve que le vainqueur est attiré par le vaincu. Dans

d'eux, imaginaire bien souvent éloigné de toute réalité historique et accentué par leur sort plutôt funeste. Nous pouvons alors nous demander comment un ordre militaro-religieux crée suite à la première croisade de 1099 pour protéger la route des pèlerins s’est vu entaché d’accusations diffamatoires qui ont mené à sa perte, malgré un rayonnement dans toute la chrétienté. Si les Templiers naissent d’une initiative aux moyens modestes et d’une alliance du monde militaire et du monde religieux, leur