Penser Nous Rend Malheureux

celui qui la fabrique. Travail de p° qui vise à objectiver un L de l’esprit, un L manuel, artistique. Activité productrice = a pr but de fabriquer qq chose d’autre que le fabriquant lui-même. Activité principal d’un philosophe : penser pr le plaisir de penser (Aristote – Texte 2 l.12). On ne fait pas de philo pr produire, avoir de l’avoir de l’argent ou pr la gloire. Il y a autant de philosophies qu’il y a de philosophes. La philosophie est une activité qui n’a pas de fin, de terme, ce n’est

avoir le courage de répondre de soi et de ses actes. La faculté de « dire je » fait de chacun un sujet ou une personne, c'est-à-dire un distinct d'un objet ou d'une chose. D'après Kant, la faculté de « dire je » est associée à la faculté de penser, distinct de la faculté de sentir. Le « je » est donc lié à la conscience et non simplement au corps. Mais surtout, dans l'extrait, Anthropologie d'un point de vue pragmatique, Kant veut montrer la différence entre le fait d'être une personne et

écrit ses Institutions de physique. Le propos des Institutions de Physique réside dans une tentative pour articuler et même intégrer la philosophie de Leibniz et la physique de Newton, en se plaçant au-dessus des querelles. Une phrase de l’avant-propos rend bien compte de l’esprit de l’ouvrage : “Il me paraît d’ailleurs qu’il serait aussi injuste aux Cartésiens de refuser d’admettre l’attraction comme hypothèse, qu’il est déraisonnable à quelques newtoniens de vouloir en faire une propriété de la matière”

Argumentation (OI et GMT). 4- On essaie d’énumérer les raisons qui font qu’une expérience vécue rend une argumentation plus efficace (thèse). Toutes ces raisons seront les arguments de votre première partie : Je vous donne quelques idées pour vous aider mais je vous demande de ne pas dépasser trois arguments par partie. A vous d’en trouver d’autres encore : Le récit d’une expérience vécue rend l’argumentation plus concrète. Ainsi Fénelon dans la dent d’or dénonce la superstition en donnant

Le roman Indiana de George Sand, paru en 1832, a une dimension autobiographique. Le mariage d’Amandine Dupin (vrai nom de George Sand) est malheureux car les époux n’ont rien en commun. Elle aura des liaisons adultérines et le mariage finira par une séparation judiciaire. La problématique proposée est de réfléchir en quoi le roman Indiana sert la cause des femmes. Au XIXème siècle, la femme vit sous la domination de son père puis de son mari, elle ne dispose pas de ses biens, elle n’a pas

désir comme un mouvement vers ce qui pourrait combler le vide vécu comme un manque à combler et l'homme comme un être de raison qui doit mener une vie en accord avec sa raison on peut donc penser que renoncer à ses désirs, c'est renoncer à l'insatisfaction et a la souffrance qui les accompagnent. Le désir rend donc esclave est insatisfait. Mais c'est aussi un moyen de ne pas sombrer dans l'immoralité qui sens être notre chemin en tant qu'être raisonnable et donc en tant qu'être moral. Être raisonnable

volonté et aucune influence extérieure ne le fera agir différemment, d'ailleurs dans Le Cid, le protagoniste principal Rodrigue se retrouve seul devant le dur choix d'honorer son père ou de garder sa maîtresse ce qui le fait souffrir : «  l'un me rend malheureux, l'autre indigne du jour »1. Par ailleurs, le protagoniste cornélien sait ce qu'il se veut ce qui résulte de l'usage de la liberté d'autant plus que chez Corneille, les personnages sont toujours incarné par une grande âme généreuse ce qui signifie

Le savant : Celui qui connaît les principes qu’il y a à connaître pour vivre et qui s’en rend compte. Il ne doute pas de son savoir, donc il ne cherche pas à savoir autre chose. Il sait qu’il sait ! L’ignorant : Ne sait pas et ne se rend pas compte de son ignorance. (en commun avec le savant : ne va pas chercher à savoir davantage) Il ne sait pas qu’il ne sait pas ! Le philosophe : Il se rend compte de son ignorance et va donc désirer d’en savoir davantage. Il sait qu’il ne sait

est mis à mal par un simple moucheron. Le corps est décrit à partir du vers 13 de manière morcelée, membre par membre: « le cou » v.13, « son œil » v. 15, « naseau » v. 21, « museau » v. 20, « flancs », « queue », « dents », « griffe ».On peut penser que cela mime le fait que le lion soit lui-même en morceaux et réduit sa puissance à néant. Par ailleurs, toujours à partir du v. 19, le Lion est davantage en position d’objet grammatical dans la phrase que en situation de sujet : « se déchire

cette liasse peu rédigée et bien limitée en § réserve une surprise : l’ennui est presque absent d’une section qui s’annonce comme devant lui être consacrée. Seul le § 74 traite de l’ennui proprement dit et encore d’une façon originale. •c•on peut penser que cette liasse à peine dessinée était en instance de construction ou d’extension ou d’abandon. Le 73 est assez ambitieux si on y réfléchit bien et fait écho à d’autres phrases nominales lues ailleurs. D’autres § comme le 33 placé en II-VANITÉ