Pensionnaires De La Maison Vauquer

sous la Restauration - La condition des femmes et le mariage - Le drame de la paternité - La critique de la société - Le pouvoir corrupteur de l'argent. Les personnages : Au début de l'année 1819, la maison Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires de caractères très différents : - Vautrin, un sombre individu plein de roueries, prêt à tout pour de l'argent, - le père Goriot, un vieillard quelque peu démuni, qui a fait fortune sous la Révolution dans la

Les personnages : Au début de l'année 1819, la maison Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires de caractères très différents : - Vautrin, un sombre individu plein de roueries, prêt à tout pour de l'argent, - le père Goriot, un vieillard quelque peu démuni, qui a fait fortune sous la Révolution dans la fabrication et le commerce de vermicelles, - Victorine Taillefer, une fille ruinée après le décès de sa mère, car son père lui préfère son frère et l'a déshéritée

essai : Ten Novels and Their Authors parmi les dix plus grands romans. II. Biographie de Balzac : Honoré Balzac naquit le 20 mai1799. Très tôt il fut placé en pension, et l'indifférence de ses parents à son égard l'a beaucoup marqué. Il est pensionnaire au collège Vendôme jusqu'en 1813. En 1818 il s'inscrit à la faculté de droit. En 1822 il devient l'amant de Madame de Berny qui lui apporte l'affection dont il a toujours manqué dans son enfance. Ses romans lui rapportent beaucoup mais en 1828

  Fiche 1  Le roman Le Père Goriot commence à Paris à  l'automne 1819. Dans la pension Vauquer, rue  Nueve­Sainte Geneviève, sept pensionnaires  habitent ensemble : Mlle Michonneau, Victorine  Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret,  Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac, et le  père Goriot.    Rastignac est un beau, jeune et ambitieux homme  qui vient d'une famille noble à Charente. Il arrive à  Paris pour faire ses études de droit et trouver  fortune. Sa famille n'a plus de l'argent, mais il 

de l'année 1819, la maison Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires de caractères très différents : Eugène de Rastignac, - le père Goriot, qui a deux filles Delphine et Anastasie. Vautrin, ancien forçat connu aussi sous le surnom « Trompe-la-mort» ou le nom: Jacques Collin. Mne de Bauséant, cousine d’Eugène. ____________________________________________________________ _____ Cette histoire se déroule dans une pension, la maison Vauquer, à Paris, où plusieurs

est plus austère : Etudes sociales. Il continue l’élaboration de son récit, construit les pierres qui formeront son édifice. Il publie Le Lys dans la Vallée (1835-1836), L’histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau (1837), La Maison Nucingen (1838), Le curé de village Béatix (1839), Ursule Mirouet (1841). La rédaction d’Illusions perdues s’étend de 1837 à 1843. En 1842, les études sociales deviennent la comédie humaine. Les publications continuent, à un rythme régulier. En

Description des personnages (par étages) 1er étage (deux appartements) -Mme Vauquer : Bonnet de tulle sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis, face veillotte, mains potelet, grassouillette, nez a bec de perroquet, dodue, yeux ridés, petite femme, œil vitreux, air innocent -(Mme Couture) et Mlle Victorine Taillefer : Blancheur maladive, tristesse habituelle, contenance gênée, air pauvre et grêle, Cheveux blond fauve, taille trop mince, yeux gris mélangé de noir 2eme étage (deux appartements)

 BALZAC “Le père Goriot” (1834) Roman de 270 pages À Paris, à la fin de l'année 1819, dans une pension bourgeoise, lépreuse et nauséabonde, de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, vit un groupe de pensionnaires, où, à côté de figures banales et grotesques, s'entrevoient des âmes puissamment originales, dont la rencontre fait pressentir des drames poignants. Eugène de Rastignac, jeune noble débarqué de son Périgord natal et venu faire son droit et sa fortune à Paris, étudiant pauvre en attendant

lorsqu’il sort de la pension Vauquer il s’adresse souvent à la propriétaire en l’appelant « maman », cette marque d’affection vise en réalité à attendrir madame Vauquer pour éviter tout soupçon de sa part à l’égard de Vautrin. En partant, il parle toujours de ses affaires sans pour autant en divulguer la nature. Tous ses mensonges seront finalement dévoilés lorsque mademoiselle Michonneau et Poiret le dénoncent au responsable de la police, Gondureau. Tous les pensionnaires découvrent alors Vautrin sous

pouvons citer La Maison du chat-qui-pelote (1830), La Vendetta (1830), ou encore Le Père Goriot (1835). C’est ce dernier - relatant l’histoire d’un père sacrifiant tout pour ses filles ingrates et alors obligé de vivre dans la pension de Madame Vauquer ainsi qu’avec d’autres personnages plus emblématiques les uns que les autres, comme Rastignac - , qui nous intéressent plus particulièrement. Dans l’extrait étudié, issus du chapitre 1, nous découvrons le portrait péjoratif de Madame Vauquer et de sa pension