Pensée Camusienne

La pensée politique Quand une réflexion sur l’humanité tente de se mettre en forme, il y a référence à la philosophie, dans le logos de Platon dont l’ordre est la raison. Au 19ème siècle, vont se constituer des disciplines issues de la philosophie comme les disciplines médicales, des sciences humaines. La politique recherche au travers de son vivier ce qu’est l’homme, elle cherche comment ce dernier peut être proche de la référence statistique. Elle ne prend plus en compte cette politique

rapport auquel le mal s'oppose vision de McBeth scène 3 acte 1 : "Si c'est bien pourquoi dois-je céder à l'idée Dont l'image d'horreur hérisse mes cheveux Et fait que mon cœur bien assis frappe à mes côtes Contre son mode naturel? [...] Ma pensée, où le meurtre n'est encore que fantasme, Secoue à tel point mon faible état d'homme Que la raison s'étouffe en attente, et rien n'est que cela qui n'est pas." - Néanmoins, la nature peut absorber une forme de monstruosité chevaux

Philosophie - Explication de texte – TES1 Il est (…) difficile pour chaque individu séparément de sortir de la minorité(1), qui est presque devenue pour lui nature. Il s’y est bien complu ; et il est pour le moment réellement incapable de se servir de son propre entendement, parce qu’on ne l’a jamais laissé en faire l’essai. Institutions et formules, ces instruments mécaniques d’un usage de la raison, ou plutôt d’un mauvais usage des dons naturels, voilà les entraves que l’on a attachées

Etat psychologique : état intérieur, une disposition de l’esprit, un certain contenu de pensée. Parler d’état psycho inconscient = contenu de pensée dont on n’aurait pas connaissance et dont il serait difficile du coup d’envisager l’influence exacte sur notre présent et sur notre agir. Répugnance = véritable déplaisir de l’homme : difficulté logique : en quoi pourrait bien consister des contenus de pensée que je ne connaitrai pas ? La nature de l’esprit est d’être réflexive, de faire un retour

expérience. III La conception kantienne, une approche sensible de la liberté 1° De la catégorie de causalité à la liberté 2° La Canon de la raison pure. 3° L’inconditionnement de la raison Conclusion : Fin de l’opposition cartésienne à la pensée kantienne Intro : Nous ne naissons pas libre, puisqu’à notre naissance nous ignorons ce qu’est la liberté. Et comment posséder vraiment quelque chose dont on ignore l’existence? Elle peut être à moi, je ne la possède pas. Or, à un moment de notre

petit à petit... Et j'en est la cértitude que l'on pourra redevenir comme avant, même si cela se produit seulement et uniquement dans mes rêves qui sont, eux, présent chaque nuit, alors que toi tu n'est plus là. Pas une journée ne passe sans que je pense a toi, a notre complicité, à notre enfance. Maintenant j'ai pu passé a autre chose, a reconstruire ma vie comme il se doit, mais j'aurais toujours ce manque considérable présent dans mon coeur dont toi seul a pu trouvé la clé. si tu savais comme je

théories économiques et les sciences sociales. A la fin de 1654, après une expérience mystique, il délaisse les maths ainsi que la physique et se consacre à la réflexion philosophique et religieuse. Durant cette période il écrit les Provençales et les Pensées , qui n’ont été publiées qu’après sa mort ( suite à des migraines très violentes car il a été malade toute sa vie). Pascal était un homme génial, très studieux et travailleur. Il a eu un esprit éveillé et il a utilisé son intelligence pour élargir

de l’existence L’existence de chaque personne est pensée, choisie, décidée et vécue de façon différente pour tout être sur cette terre. Les actes qui s’en suivent sont gérés par les choix que nous avons faits, que nous faisons dans l’immédiat et que nous ferons dans le futur. Seulement, nous en décidons ainsi, mais rien n’est sans conséquence. Qu’ils soient bons ou mauvais, chaque choix mène à un résultat final. Pour nous, dans notre pensée, on peut se dire que c’est le bon choix, mais pour d’autres

contrainte. Ainsi les mondes juvénile et adulte se sont-ils résolument écartés, au point de donner naissance à un véritable " divorce des générations ". Un jeune lorrain, habitant le bassin de Pompey, en fait amèrement le constat : " Moi ", dit-il, " je pense qu’il y a un fossé entre les générations, nos parents et les plus vieux sont complètement dépassés par notre mode de vie actuel et notre façon de penser " (2). Tout sépare aujourd’hui, en effet, adolescents et adultes : le langage, le vêtement,

jambes, le frère du petit être qui lui déchirait si cruellement les entrailles. Elle retrouvait avec une mémoire sans ombres les gestes, les regards, les paroles de son mari devant cette fille étendue ; et maintenant elle lisait en lui, comme si ses pensées eussent été écrites dans ses mouvements, elle lisait le même ennui, la même indifférence pour elle que pour l’autre, le même insouci d’homme égoïste, que la paternité irrite. Mais une convulsion effroyable la saisit, un spasme si cruel qu’elle se