Pépé le Moko

films: Les enfants du paradis, l'Hôtel du Nord. Les films de Marcel Carné sont 8 les meilleurs exemples du réalisme poétique (Quai des Brumes, Hôtel du Nord et, en 1939, Le jour se lève). On y rencontre aussi Duvivier avec un film comme Pépé le Moko (1937). Sous l'occupation allemande, durant la seconde guerre mondiale, il travailla avec la France de Vichy c’est alors qu’il tourna son film le plus important: Les enfants du paradis. Jean Cocteau. Les films de Cocteau, pratiquement tous écrits

imported his way of life to the colonies. This is well shown in the Bollywood movie ‘Lagaan’ in which you can see Indian villages but also officers’palaces and cricket’s fields. Colonizers changed the cultural habits of those they invaded. The film ‘Pépé le Moko’ depicts the natives’ way of life in the Casbah of Algiers, and the visual contrast between the colonizer and the colonized is shown in the architecture. On the one hand, wide Hausmanian boulevards, on the other, the maze of tortuous lanes of the

restreint*****Dans chacun des cas, une vision du monde s’exprime : vision poétique de la réalité********Pas une forme d’éloignement objectif = proximité qui cherche a se découvrir par la subjectivitéFilms emblmatiques :-Le jour se Leve-Hotel du nord-Pépé le Moko-La grande illusion-La bête humaine (renoir)Intrigues qui n’ont pas de sens historique-fin 1930, début 1940-Pessimisme, fatalitarisme dans l’aire-État d’esprit d’avant guerre-Angoisse de ce qui avait à venir-De quelle réalité les films rendent-ils

Gabin n’est pas simplement un acteur célèbre comme Raimu, Bernard Blier ou Charles Boyer, mais déjà un mythe. Un mythe qui s’est constitué dans les deux années qui précèdent avec les deux succès réalisés par Julien Duvivier, La Bandera (1935) et Pépé le Moko (1937). Au départ, il n’était même pas Gabin, mais Gabin fils. C’est son père, déjà connu au music-hall sous le nom de Gabin, qui l’a poussé en 1922 malgré lui sur les planches, lui transmettant ce nom. On le remarque au début des années 1930 dans

mode et influencent la publicité mais aussi l'art, la littérature et le cinéma populaire. Ainsi, des stars françaises comme Jean Gabin tournent dans des films qui popularisent une vision exotique des colonies (par exemple, la casbah d'Alger dans Pépé le Moko). À l'exception du parti communiste, les partis politiques participent au consensus colonialiste : la droite nationaliste longtemps rétive est séduite par l'image de puissance qu'il procure à la France, la gauche se contente de critiquer certains

Umberto D (1952) Le jardin des Finzi Contini (1970) Ouragan sur le Caine (1954) L’homme aux colts d’or (1959) Chantons sous la pluie (1952) La passion Jeanne d’Arc (1928) Vampyr (1932) Jour de Colère (1943) India Song (1974) La Belle équipe (1936) Pépé le Moko (1938) Carnet de bal (1938) Le petit mon de Don Camillo (1952) La femme et le pantin (1959) Sur la route de Madison (1995) Minuit dans le jardin du bien et du mal (1998) Le cuirassé Potemkine (1925) Octobre (1927) Alexandre Nevski (1938) Ivan le

Cannes et à Venise où, depuis 1946, ils raflent assez régulièrement médailles, lions d'or et grands prix. Au début du parlant, le cinéma Français fut l'honnête démarquage du cinéma américain. Sous l'influence de Scarface nous faisions l'amusant Pépé le Moko. puis le scénario Français dut à Prévert le plus clair de son évolution, Quai des brumes de Marcel Carné reste le chef d'oeuvre de l'école dite du réalisme poétique. La guerre et l'après-guerre ont renouvelé notre cinéma. Il a évolué sous l'effet

on a aussi besoin de se changer les idées et de rire un peu. De plus, la nouvelle génération produit de très bons films. En 1944, les Alliés libèrent une partie de la France. S’opère alors une épuration qui va beaucoup toucher le cinéma. Pepe le moko : film français, succès international. Il va être adapté, au plan près, par Hollywood avec Alger. En 1944, les Alliés libèrent une partie de la France. S’opère alors une épuration qui va beaucoup toucher le cinéma. En effet, lors de l’après

 Brumes),  Jean  Grémillon  (L’étrange  Monsieur  Victor),  Jean  Renoir  (  Les   Bas-­‐fonds  d’après  Dostoïevski,  La  Bête  humaine  d’après  Zola),  ou  Julien  Duvivier  (Pépé  le  Moko)  aux  allures  de   pessimisme  social  était  déjà  très,  très  noir.     Le  mythe  des  origines       On  peut  donc  y  voir  des  origines  européennes

modifier le fonctionnement interne et la hiérarchie bien rôdée du royaume d’Antinéa. Or, la mort ou le retour du héros dans la colonie est toujours prétexte à une véritable célébration de la suprématie de l’empire colonial français (La Bandera, Pépé le Moko, Itto, L’aventurier, Le Bled…). Face à cette constante, le retour de Saint-Avit, bien que valorisant le personnage par son opposition à sa société d’origine, est néanmoins marqué par les caractères d’une soumission obligée. Et Merleau-Ponty de