Perdre Conscience

s'interroge tout d'abord sur les notions de conscience et de subjectivité, car elles permettent à l'homme de se rendre compte de lui-même en tant que personne et de sa réalité au-delà de son apparence extérieure. Interrogeons-nous sur le type de condamnation qui conduirait l'homme à se faire des illusions sur lui-même et donc l'empêcherait de se connaître. Dans ce cas, l'homme serait incapable d'agir, de penser et de vivre pleinement puisque la conscience de son moi serait faussée voire nulle, il serait

Chaque être humain né libre, son milieu social, sa couleur de peau ou la situation de ses parents n’ont aucune importance, la liberté nous ait accordé à tous. Le fait de perdre signifie « être enlevé à » et la définition courante de liberté serait « faire ce que l’on veut quand on le veut sans avoir aucune contraintes ». A première vue il serait impossible d’être dépourvu de sa liberté puisque ce n’est pas un de nos droits matériels. Cependant les obligations, les règles morales ou encore la limitation

1 Conscience morale et psychologique Les deux versants de la conscience Le terme « conscience » est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. Origine des valeurs morales ? La

et la conception de l'art pour l'art. Il sert aussi a prendre parti dans les combats politiques et sociaux, le roman risque de se perdre en tant qu' oeuvre d'art. Par exemple le risque de schématisation dans la construction des personnages et de l'action: problème du roman à thèse ( les romans de Sartre); risque de voir l'oeuvre se démoder très rapidement et perdre de son intérêt ( les débats soulevés par une pièce comme les Mains Sales, fortement liés à l'actualité de l'après-guerre.) Le roman

il est obligatoire de se conformer pour réaliser le bien moral. Désir : problème = nature ambigüe. Recherche d’un objet que l’on sait source de satisfaction. Accompagné d’une souffrance, manque Obligation : autorité impérative exercée par la conscience ou la raison lorsqu’elles définissent des valeurs morales et enjoignent de les respecter. Contraintes : lien ou règle qui limite, entrave ou empêche une action. Autrui : Raison : Société : Justice : Force : puissance d’action d’un être, capacité

comme celui qu’il est mais comme celui qu’il n’est pas ou encore celui qu’il tend à devenir. Le fait que l’individu insinue qu’il est, celui-ci n’est plus. Sa prise de conscience est donc dangereuse puisqu’il peut perdre les valeurs qu’il pensait assimilés. La conscience est donc une porte ouverte vers notre futur. Mais cette conscience ne peut pas s’achever, c’est un puits sans fond, on ne peut pas voir toutes les facettes de celle-ci. Marc Aurèle, dans Pensées pour moi-même a défini les propriétés

ne sait ci On vous interroge sur la nécessité qu'il y aurait à donner du sens au passé pour construire son avenir. Vous notez d'abord que la question du passé et de l'avenir se pose d'emblée lorsqu'il s'agit de l'homme, c'est à dire d'un être de conscience qui est douée de mémoire (se rappeler le passé) et d'imagination (anticiper, se projeter ... s de quoi demain sera fait… Se donner un avenir, c’est avoir la possibilité de laisser de nouvelles choses advenir. - Une certaine dose d’oubli semble

La conscience nous permet-elle d’être à la fois libres et satisfaits ? I/ Dans une certaine mesure, on peut penser que la conscience nous permet d'être à la fois libres et satisfaits: - Tout Homme est dote d'un libre arbitre, ou d'une volonté, assez ample et parfaite. En effet, le libre arbitre d'un personne n'admet aucune borne, on peut ainsi être conscient de tout ce que l'on veut. Ainsi, la conscience dans ce cas nous a permis d'être libre et, puisque le désir est souvent synonyme d'"abondance"

la moralité du système d’information. » (De Mul, p.9). L’homme dans ce processus perd donc tout contrôle sur les moyens et objectifs de la machine. Dans ce cas, la machine qui n’a aucune conscience est supposée faire preuve de moralité dans son processus. Mais comment fait-elle cela? Latour dit que « la conscience de soi est une condition nécessaire pour considérer qu’une entité agit de façon morale » (Latour, p.9). Donc les algorithmes crée pour le système devrait être assez pour assurer un fonctionnement

d’eux-mêmes. Pour les chrétiens, notamment Saint Thomas d’Aquin, Dieu a donné aux hommes un statut supérieur à celui des autres animaux. La valeur que Dieu nous a accordée est un don, et non pas quelque chose que nous méritons. Nous ne pouvons donc pas perdre cet amour, mais nous devons respecter tous les êtres humains qui sont tous également dignes de ce respect, en tant que créatures rationnelles. De cette manière nous nous rendons dignes en agissant de façon appropriée à la valeur que Dieu nous attribue