Perdrix

des personnages, de leur caractère, de leur relation Livres | Animaux seuls | Hommes seuls | Animaux et hommes | Discours | X | II. La Tortue et les deux Canards  III. Les Poissons et le Cormoran VI. L'Araignée et l'Hirondelle  VII. La Perdrix et les Coqs  XII. La Lionne et l'Ourse | IV. L'Enfouisseur et son Compère  IX. Le Berger et le Roi  XIII. Les deux Aventuriers et le Talisman XV. Le Marchand, le Gentilhomme, le Pâtre et le fils de Roi | I. L'Homme et la Couleuvre V. Le Loup

repose dans le fait qu'il ne voit que lui. C'est un portrait indirect d'Orgon : homme naïf. 2). Décalage entre la réalité et la vision d'Orgon. Tartuffe, censé être un dévot, se doit de rester au chevet d'Elmire, sans manger : « deux perdrix » devant la malade. Décalage exagéré, hyperbolique : gradation ascendante de l'état d'Elmire qui se dégrade et gradation ascendante de l'état de Tartuffe qui s'améliore. Orgon semble avoir une vision inversée de la réalité. Conclusion : Molière

la suite des répliques. En effet sa 'bouche' a la couleur 'vermeille' (rouge, vif) des gens très bien nourris. Par ailleurs pour un homme censé s'imposer des privation, son dôner à la veille à été très copieuse 'il mangea 2 perdrix , avec la moitié de gigo en hachis." La perdrix et le gigot sont des viandes de luxe. Tartuffe ne se prive de rien et apparaît ici come un profiteur. Ensuite, au déjeuner du lendemain il 'but 4 grand coups de vin'. D'où son teint fleuri. Il nous semble également goujat et

cœur et le donne au faucon. | | |Guilhem et Gayette décident de ce mettre à chasser les perdrix. | | |Elle lance le hobereau, qui attrape une perdrix. | | |Martin est caché dans les bois regarde la chasse. Il voit

"Mesdames les Alouettes, les Bécasses, les Cigognes, les Pies et messieurs les Aigles, les Corbeaux, les Cygnes, les Faucons et mademoiselle la Perdrix, veuillez écouter ce que je vais vous retracer. Nous voici en présence d'une perdrix, appelée "Guillemette la Charnue", qui nous chante, ici même, qu'un soi-disant chasseur l'aurait blessé par balle. Pour cela, nous jugeons le genre humain, car nous le voyons nocif pour la société des volatiles. Moi-même et mes amis de la défense, pourrions parier

personnels dans le récit pour amuser ou…réveiller ton public. 6. Termine par la moralité (que tu peux moderniser) et éventuellement une formule de clôture. Ex : L’auteur de l’histoire n’a plus rien à aouter. Ainsi se termine le fabliau des « Perdrix ». 7. Salue le public. Méthode : faire une récitation d’un fabliau devant un auditoire Tu es un jongleur et tu racontes oralement un fabliau que tu as lu (textes 6, 7, 8, 9, 10,12). N’oublie pas que la qualité d’écoute

le corbeau dans ses fables, symbole de la mort. Mais les oiseaux sont aussi qualifiés de majestueux, orgueilleux avec le héron, de gourmands avec le corbeau et le milan, de serviteurs zélés et sots avec le faucon et la mouche, d'honnêtes avec la perdrix, « toujours en noise » en parlant des coqs. Et pour finir, de supérieurs, de divins avec l'aigle « l'oiseau Jupiter », la poule et le dragon. Ce thème est intéressant car cela permet de voir comment Jean de la Fontaine utilise ces animaux qui

comportements humains. Le premier texte, Des États et Empire du Soleil, fut publié en 1662, après la mort de son auteur ; Cyrano de Bergerac. Dans cette œuvre, une perdrix est impliquée dans un procès car elle s'est fait tiré dessus par un chasseur. Un ''avocat de l'accusation'' y critique le genre humain avec agressivité et sans hésitation. La perdrix occupe le statut de victime tandis que le chasseur occupe celui de l'accusé. D'ailleurs, on accuse celui-ci d'être homme. L'avocat de l'accusation fait une

entend parler de cette chasse et décide de s’y rendre, dans l’espoir de retrouver son ami.. Lors de la chasse, Guilhem tue un héron puis une per- drix. Gayette lance son faucon qui fond sur une perdrix. Martin qui a assisté à toute la chasse sort de sa cachette et tente d’empêcher le rapace de tuer la perdrix. Les chasseurs arrivent, le fauconnier reconnait Martin. Guilhem l’interroge et comprend que c’est l’enfant qui a sauvé son château. Pour le remercier, il lui donne le faucon. Martin retourne

voue à Tartuffe, au point de négliger sa femme. Les contrastes concernent l’état d’Elmire et celui de Tartuffe. Quand celle-ci a de « la fièvre », celui-ci « se porte à merveille ». Quand elle éprouve « un grand dégoût » à manger, il avale deux perdrix et une moitié de gigot. Quand elle ne peut trouver le sommeil, Tartuffe dort « sand trouble ». Quand Elmire subit une saignée, il boit « quatre grands coups de vin ». Ce décalage est rendu comique par la question et l’exclamation que répète Orgon :