Père des peuples

libéré la Russie du nazisme durant la Seconde Guerre mondiale. 24 février 1956 : Khrouchtchev dénonce les crimes staliniens, en brossant un bilan désastreux des années Staline (1941-1953). Il remet en cause les qualités militaires du "petit père des peuples". Ces accusations provoqueront la scission du PC d'URSS avec le PC chinois de Mao Tsé-toung qui défendra la mémoire de Staline.

|et les SS (garde rapprochée). | |Dirigeant |J. Staline (1924-1953) |B. Mussolini (1922-1945) |A. Hitler (1933-1945) | | |« Le petit père des peuples » |Le Duce |Le Reichsführer. | | |(Cf. Biographie, p. 296). |(Cf. Biographie, p. 296). |(Cf. Biographie, p. 296). | |Police

cérébrale. Sa mort donne lieu à des funérailles sont l’occasion d’un gigantesque deuil national qui montre l’importance du culte de la personnalité autour du chef, enterré aux côtés de Lénine. Des millions de gens saluent pour pleurer le « petit père des peuples » dans une cérémonie parfaitement, démesurément orchestrée. Mais dans la coulisse, la lutte pour la succession commence entre les principaux collaborateurs de Staline. Elle va être impitoyable. Les alliances commencent entre les membres du parti pour

que l’information transmise est forcément réelle.
 6) L’effet de groupe : Il s’agit de convaincre le spectateur que son adhésion au discours est indispensable à son intégration sociale.
 7) L’ennemi : En ciblant un individu, un groupe ou un peuple comme étant l’ennemi, le diffuseur crée une cohésion parmi les spectateurs qui sont alors rassemblés autour de leur haine.
 8) Le slogan : Cette phrase courte et marquante est mémorisée par le spectateur sans même qu’il s’en rende compte.
La persuasion

partis communistes d'imposer le modèle stalinien. En théorie, ce modèle lutte pour l'égalité entre les hommes. Il souhaite améliorer le sort des prolétaires, considérés comme des opprimés. Il renforce également l'idôlatrie autour du « petit père des peuples », secrétaire général du PCUS, qui a donné son nom au modèle. Dans cette constitution, l'Etat encadre totalement l'économie. La société soviétique est collectiviste : la propriété privée ayant pratiquement totalement disparu, elle possède tous

personnes en sont victimes. Staline est placé au dessus de tout le monde. Il fait l’objet d’un culte de la personnalité. C’est-à-dire qu’il est idéalisé et divinisé. Il se fait passé pour un bienfaiteur pour la population, d’où son surnom de « petit père des peuples » qui apporte le bonheur et la sécurité aux enfants, qui est proche de ses ouvriers et qui a permis la modernisation du pays. Cette image de lui est imposée par tous les moyens artistiques (affiche, presse, cinéma, art, photos truquées). En

les travailleurs. Mais en réalité, il ne s'agit pas d'un régime démocratique, mais d'un régime totalitaire. Le système totalitaire de Staline prend place dés la fin de la guerre. Le système est alors à son apogée. Mais après la mort du «  Petit père des Peuples », le système communisme se voit changer par les successeurs de Staline, les tentatives de réforme, et la déstalinisation échouent, et entraîne le modèle communiste à son éclatement. Mais justement, On peut alors se demander qu'elle est l'évolution

Staline de façon endoctriner les enfants et il est même le petit père des peuples, cela pour renforcer son lien avec la population, cela met en valeur son côté paternaliste [1]. Son image est présente dans tous les endroits où les foules peuvent se rassembler. Beaucoup d’affiches le présente au milieu d’enfants, qui sont souvent représentés en tenue de travail, les bras chargés de fleurs qu’ils remettent « petit père des peuples » qui est admiré par tous. L'icône idolâtrée Pendant la guerre

communication important entre les réserves de pétrole du Caucase. C’est d’ailleurs une des raisons de l’intérêt d’Hitler pour cette ville. Outre ses capacités industrielles et son positionnement stratégique, Stalingrad est aussi la ville du « petit père des peuples », puisqu’elle porte le nom du chef de l’URSS. Leningrad et Stalingrad sont d’ailleurs les deux villes symboles du pays. La prise de Stalingrad constituerait une éclatante victoire sur les bolcheviques selon Hitler. Staline redoute cette défaite

comme le pays qui incarne la liberté, et ils se donnent progressivement une mission civilisatrice et de diffusion de leurs valeurs auprès des autres peuples. Parmi ces valeurs, la libre recherche du bonheur, l’idée que la réussite est possible pour tous (le mythe du self-made man) ou encore le libéralisme économique tiennent une place importante. Peuplé de colons et d’immigrants, ce pays a pu apparaître comme une sorte de terre promise. Par l’origine même de son peuplement, il compte une population