Pere Goriot Lieu Et Le Temps

du bon peuple chère à Hugo et à Jules Michelet, historien républicain idéaliste. L’écrivain doit observer le peuple et vivre dans son temps. Zola lui-même a mené une jeunesse modeste dans les mansardes d’étudiants parisiens, près des étages des maisons ouvrières du sud du quartier latin, non loin de la rue Tournefort où Balzac avait situé l’intrigue du Père Goriot. Dans La Tribune, journal républicain d’opposition à l’Empire, il écrit : « Les ouvriers étouffent dans les quartiers étroits, fangeux

est une attitude philosophique qui met l’Homme et les valeurs humaines au cœur de ses questionnements. affirme donc la valeur de l'éducation humaniste (à travers l'apprentissage des langues par exemple) contre l'éducation monastique. Ce mouvement a lieu à l'époque de la renaissance. Écrivains représentatifs : Pétrarque, Érasme, François Rabelais, Michel de Montaigne. Quelques oeuvres à retenir : Gargantua et Pantagruel de François Rabelais. 2. La Pléiade - XVIe siècleLes membres de la

Mouret a mis en œuvre - un passage centré sur le patron du magasin : « lui qui..., il..., sa... » - Zola exagère son pouvoir (ambition) : il a recours à la généralisation (la femme), rôle des hyperboles (sans cesse, soulèvement) (B) Balzac, Le Père Goriot : - Rastignac écoute Vautrin qui professe, il prend conseil - Paroles de Vautrin : « Bravo ! » ... voilà un gaillard qui me va » - projection dans l'avenir (emploi du futur, « vous verrez ... ») - propos radicaux : hyperboliques (à tout prix)

tenanciers du réalisme. Duranty: Balzac est «réaliste parce qu'il a montré que tout pouvait entrer dans l'art», et qu'il ne l'est pas faute d'avoir pris «le temps de voir et de décrire juste» Champfleury: par sa connaissance de l'anatomie humaine, de la botanique, de la minéralogie, celui-ci s'est révélé «le plus grand naturaliste de son temps». «Ne trouve-t-on pas dans ces lignes toute votre science?» conlcuait Champfleury s'adressant à Balzac. «À la place de l'histoire naturelle mettez la société

enfance joyeuse. De plus, la maladie de Chloé, représentée par la croissance d’un mystérieux néphuphar dans ses poumons, nous fait directement penser aux troubles pulmonaires que Boris Vian a contracté. Il y a encore la tournure tragique qui toucha le père de Vian. En effet, ce dernier est passé du statut de riche rentier à celui de salarié. On retrouve ce même brusque et soudain passage d’une condition à l’autre avec Colin, comme nous le montre le passage analysé aujourd’hui. L’auteur utilise une langue

(1782), lettre 81, la marquise de Merteuil au vicomte de Valmont, de « Mais moi, qu’ai-je de commun avec ces femmes inconsidérées ? » à « la science que je voulais acquérir. » 2. Honoré de Balzac, Le Père Goriot (1835), le monologue de Mme de Bauséant, de « Eh bien ! monsieur de Rastignac, traitez ce monde comme il mérite de l’être » à « Aimez-la si vous pouvez après, sinon servez-vous d’elle. » Œuvre intégrale  :

vie de Province“ avec le livre: « Eugénie Grandet » 1833 --„ scène de la vie parisienne“ avec le livre: « Le père Goriot » 1834 Epoque: FOLIE Maintenant quelques pensées sur l’époque. Le contexte politique et historique : Cette époque était le monde de la Restauration avec le congrès de Vienne 1814! Et en plus c’était la fin de l’ère napoléonienne. Le contexte littéraire: C’était le temps du Romantisme ou les auteurs ont recherché la vérité universelle et l’analyse du MOI, des sentiments et des

| | | |1833 : Eugénie Grandet, Balzac | | | | | | |1834 : Le Père Goriot, Balzac | | | | | | |1834 : On ne badine pas avec l’amour, Musset | | | |

rêve d’avoir l’attention du peuple est enfin devenu une réalité. Depuis le début, tout ce que Duroy cherche est le succès, il se rend compte qu’il l’a donc obtenu au moment où il observe la foule. Pour lui c’est une réussite, il reçoit à longueur de temps des ‘’acclamations’’ et des ‘’compliments’’. Bel-Ami est tellement ému et fier de lui même qu’il ne sait même pas quoi dire ‘’balbutiait des mots qui ne signifiait rien’’. Et enfin nous pouvons parler du fait que Georges Duroy se sent roi. À ce moment

place. On veut vivre leur histoire, qui est, la plupart du temps, extraordinaire. Un des personnages auquel je me suis le plus attaché est Salim, jeune homme imprudent et bagarreur mais malgré tout gentleman (Le monde d’Ewilan, Pierre Bottero). Je ne peux m’identifier complètement à lui étant donné que nous avons beaucoup de traits de caractères (et physiques) différents. Néanmoins, il est un peu mon idéal et je m’imagine étant lui le temps de la lecture. Bien entendu, chaque personne ayant une vision