Pergélisol

hydrocarbures non conventionnels, qu’est-ce que c’est ? Les hydrocarbures non conventionnels sont des ressources fossiles difficiles à exploiter. Ils sont souvent exploités à des profondeurs de plus en plus grandes, en offshore sous les glaces ou sous les pergélisol. Parmi eux, il y a : le pétrole lourd ou extra-lourd : il est exploitable en mine à ciel ouvert à l'aide de produits chimiques et de méthodes nouvelles d'extraction. Hydrates de méthane (non encore commercialement exploités faute de réserves

liquide, gazeuse, roche hydratée, …) sous laquelle elle s'y trouve. L'eau est beaucoup moins abondante sur Mars qu'elle ne l'est sur la Terre, du moins dans ses états liquide et gazeux. La plupart de l'eau connue est bloquée dans la cryosphère (pergélisol et calottes polaires), sous forme de glace, et il n'y a guère d'eau liquide à la surface, si l'on excepte celle, très salée, qui est présente dans les canyons sur l'équateur. Les dépôts saisonniers de glace de CO2 et de H2O jouent un rôle majeur

émissions des poêles et chaudières, moteurs, usines, etc. et naturelles ex : volcanisme, érosion éolienne, émissions naturelles de méthane Cette distinction est parfois difficile à établir ; la dégradation anthropique des sols (ex : réchauffement des pergélisol) peut favoriser des émissions de méthane qu'on jugera ou non naturel, de même qu'une aridification anthropique induite par le drainage, le surpâturage, la salinisation et dégradation des sols favorise des envols de poussière qu'il est difficile

mers avec des conséquences potentiellement désastreuses. Des conséquences plus ou moins difficiles à prévoir risquent de provoquer un véritable changement climatique. Un effet « boule de neige » auto entretenu pourrait être amorcé par la fonte du pergélisol avec évaporation d'hydrates de méthane, s'ajoutant à celui qui pourrait aussi être libéré en mer, ainsi que par l'augmentation des incendies de forêts et d'inondations se traduisant par la méthanisation de matière organique immergée, qui sont autant

terme réchauffement important, entre 4 à 5°C (insuffisant pour extinction de masse) Mais augmentation de la température de l’eau destabilise les clatatres et génèrent des largages de gaz toxiques. Clathrates = hydrates de gaz, trouvés dans les pergelisols et les talus continentaux Transgression avec dysoxie : eau chaude peu oxygénée. Faciès noirs avec de la pyrite Effets sur la biosphère : asphyxie brutale cause une chute brutale de la biodiversité et aussi explique la lenteur de la récupération

poêles et chaudières, moteurs, usines, etc. et • naturelles ex : volcanisme,érosion éolienne, émissions naturelles de méthane Cette distinction est parfois difficile à établir ; la dégradation anthropique des sols (ex : réchauffement des pergélisol) peut favoriser des émissions de méthane qu'on jugera ou non naturel, de même qu'une aridification anthropique induite par le drainage, le surpâturage, la salinisation et dégradation des sols favorise des envols de poussière qu'il est difficile

comprend : - l’océan arctique (le plus petit océan du globe) dont une partie est gelée en permanence : 13 millions de km2 - le nord des terres qui l’entourent. La limite peut alors être discutée : cercle polaire, limite des arbres ou celle du pergélisol ? Le plus couramment admis est la ligne de Köppen (température inférieure à 10°C durant le mois le plus chaud, juillet), en gros celle du passage de la taïga à la toundra En tout, l’Arctique s’étend donc sur 21 à 24 millions de km2 dont 17 d’océan

septentrionales s'est accrue de 10% depuis 1981. Mais la multiplication des arbres dans ces régions entraîne aussi la disparition de la toundra8 arctique et de sa faune spécifique. Le réchauffement fait fondre les « pergélisols », des sols normalement gelés en permanence, ce dégel du pergélisol dans la toundra, est une importante source de dégagement de méthane, qui accélère le réchauffement climatique par l'effet de serre. Il entraîne également des bouleversements climatiques tels que des inondations

des poêles et chaudières, moteurs, usines, etc. et • naturelles ex : volcanisme, érosion éolienne, émissions naturelles de méthane Cette distinction est parfois difficile à établir ; la dégradation anthropique des sols (ex : réchauffement des pergélisol) peut favoriser des émissions de méthane qu'on jugera ou non naturel, de même qu'une aridification anthropique induite par le drainage, le surpâturage, la salinisation et dégradation des sols favorise des envols de poussière qu'il est difficile

chinois massifs, visant à contrôler une partie des ressources sibériennes. Des limites aux recompositions • Les contraintes liées au territoire restent très fortes. Les contraintes climatiques sont extrêmes. 55 % des sols sont gelés en permanence (pergélisol), la façade maritime nord est prise par les glaces avec l'avancée de la banquise en hiver, et le transport fluvial ne peut s'effectuer qu'en été dans certaines régions. • La question de l'environnement est également préoccupante. L'exploitation