Péristyle

égyptiens même si les chapelles reposoirs remplacent le "Saint des saints".  Le pylône d'entrée est toujours flanqué d'un colosse royal (il y en avait deux à l'origine).  Passé ce pylône, on arrive à une cour entourée sur trois de ses côtés d'un péristyle où le roi Ramsès III est représenté en Osiris (statues osiriaques). On aperçoit le plan incliné qui mène à une petite salle hypostyle à huit colonnes. Cette salle débouche sur les trois chapelles reposoirs de barques. | ENTREE DU TEMPLE DE RAMSES

boutiques au nord de la cour péristyle composés de séries de pièces à vestibule. A l'angle sud-est, on construit vers 400 un autre bâtiment utilitaire qui sert d'hôtel des monnaies à partir du milieu du IVe siècle. C'est un bâtiment assez vaste qui sert aussi à stocker ou à fabriquer des instruments de mesure en rapport avec le marché. Le secteur nord-est de la place a quatre constructions qui ont été remplacés à la fin du siècle vers 300 par un grand édifice à cour péristyle qui sont les tribunaux d'Athènes

se dérouler tant de situation romanesque : " Quoi de plus invraisemblable, en effet que ce vestibule, ce péristyle, cette antichambre, lieu banal où nos tragédies ont la complaisance de venir se dérouler, où arrivent, on ne sait comment, les conspirateurs pour déclamer contre le tyran, le tyran pour déclamer contre les conspirateurs, chacun à leur tour […] Où à-t-on vu vestibule ou péristyle de cette sorte ? Quoi de plus contraire, nous ne dirons pas à la vérité, les scolastiques en font bon marché

réfectoire. L’école prit le nom d’Alexandre 1er en souvenir du roi de Yougoslavie tombé sous les coups d’un Oustachi à Marseille le 9 octobre 1934. Le style de l’école est historicisant, c’est le style « pseudo-serbe » alors à l’honneur en Serbie ; le péristyle imite les galeries extérieurs couvertes des maisons des Balkans mais l’architecte a ajouté un côté monumental destiné à bien mettre en évidence l’édifice 2. Présentation des locaux :  - Une cours central autour de laquelle - Le bureau de la

groupes, stationnant devant le contrôle, montant, au fond, le double escalier, où les femmes s’attardaient avec un balancement de la taille. Dans la clarté crue du gaz, sur la nudité blafarde de cette salle dont une maigre décoration Empire faisait un péristyle de temple en carton, de hautes affiches jaunes s’étalaient violemment, avec le nom de Nana en grosses lettres noires. Des messieurs, comme accrochés au passage, les lisaient ; d’autres, debout, causaient, barrant les portes ; tandis que, près du

certaine: le bâtiment, de par son architecture et sa présence, reste important pour la Ville. En effet, lors de l’incendie qui détruisit entièrement le Grand Théâtre, seuls les murs porteurs et les colonnes furent épargnés c’est-à-dire les colonnes, le péristyle et les murs extérieurs de l’édifice qui sont ceux du théâtre construit en 1787. Le petit mur surplombant la corniche a par la même occasion été élevé de quatre mètres. Pour la rénovation de l’Opéra à l’occasion de Marseille Provence Capitale de la

jamais. » Voltaire propose également une architecture centrée sur le plateau. Il lui faut donc des règles architecturales. « Un théâtre construit selon les règles tout être très vaste ; il doit représenter une partie d’une place publique, le péristyle d’un palais, l’entrée d’un temple. Il doit être fait en sorte qu’un personnage vu par les spectateurs, puisse ne l’être point par les autres personnages selon le besoin. […] Tous les spectateurs doivent voir et entendre également, en quelque endroit

traversé par la Via Sacra qui conduit à la colline du Capitole. Le forum était entouré de bâtiments politiques ou religieux comme la Vue sur une partie du Forum Romain. Curie et le temple des Vestales mais aussi de nombreuses boutiques situées sous des péristyles. On y retrouvait aussi des monuments érigés par les empereurs pour leur propre gloire comme Titus qui fait construire un arc à son nom: l ’Arc de Titus. » Ce qui m’a le plus marqué lors de ma très brève visite du Forum Romain, c’est le dépaysement

(architecte romain qui vécut au premier siècle après J.C) explique que : « Lorsqu'il est employé dans les appartements dont les enduits sont à couvert, le cinabre conserve sa couleur sans altération ; mais dans les lieux exposés à l'air, comme les péristyles, les exèdres, et quelques autres endroits semblables où peuvent pénétrer les rayons du soleil et l'éclat de la lune, il s'altère, il perd la vivacité de sa couleur, il se noircit aussitôt qu'il en est frappé ». Ce dernier mentionne que de la cire

on leur accorde toujours une grande place mais le culte commence a se diriger peu a peu vers les dieux olympien. La cour au cent dalles , elle fut aménagé au II e siècle ap JC . Elle est pavé de cent dalles de marbres , elle est entouré d' un péristyle ionique a vingt colonnes. On accédait a cette cour par une colonnade ionique ( sept colonnes sur la façade sud est ). Cette cour servait de zone de circulation. Bibliographie : GRAND JEAN, SALVAT, Guide de Thasos , École française d' Athènes