Péristyle

située sur un terrain pentu face à la mer est intéressante car c’est une des plus complètes de Pompéi. A partir de l’entrée à l’est, on pénétrait dans une zone que l’on qualifierait d’utilitaire, en lien avec l’activité agricole : la pars rustica. Le péristyle pouvait servir à entreposer les récoltes amenées par la route. Il permettait aussi d’accéder à la cave où se trouvaient deux pressoirs en bois. Il y avait également des cuisines et un cryptoportique souterrain. Une partie de ce cryptoportique avait

des trois unités dans le théâtre classique est combattue par Hugo dans la Préface de Cromwell au nom de la vraisemblance : un seul lieu pour une action parfois touffue crée des invraisemblances difficilement justifiées. Ex. : dans la tragédie, le péristyle à tout faire, « le palais à volonté » ; dans la comédie, difficulté des lieux pour L’École des femmes : invraisemblance des rencontres successives sur la place. Petits Classiques Larousse -5- Ruy Blas de Hugo b- La mise en place de l’action

Découverte en 1894, elle a été entièrement reconstruite. Le grand triclinium (salle à manger et de réception) contenait encore des peintures représentant des scènes mythologiques. Elle présente un atrium (partie centrale de la maison) toscan et un péristyle (jardin entouré de portiques à colonnades), avec cette particularité que son long côté est perpendiculaire à l'atrium. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Aperçu historique

est également influé par les redécouvertes archéologiques (Pompéi, Herculanum), l’égyptomanie. Recherche d’un beau idéal, d’un goût de la symétrie (se retrouve en architecture domaine qui dure le plus longtemps : façade de l’art antique avec un péristyle : civils, militaire, religieuse exemple : le Panthéon) En peinture, cela se traduit par la reproduction de grande scène de l’Antiquité, on emprunte la mythologie gréco-romaine avec David en 1785 « Le serment des Horaces » et en 1795 « L’enlèvement

appeler en 343 et le nomme précepteur de son fils, le futur Alexandre le Grand. En 340, après l’accession au trône d’Alexandre, Aristote rentre à Athènes et fonde sa propre école, rivale de l’Académie : le Lycée, ou Peripatos, ainsi nommé à cause du péristyle où se promenaient maîtres et disciples, qui recevront le nom de péripatéticiens. À la mort d’Alexandre en 323 av. J.-C., tandis qu’une forte tendance antimacédonienne se propage à Athènes, Aristote, accusé d’impiété pour l’ode qu’il a composée à

pensé à la tombe KV55 à Thèbes comme second tombeau mais rien ne permet de le prouver. Representation : L'un des temples élevé à Karnak par Aménophis IV au début de son règne est appelé Gem-pa-Aton. Ce temple dédié à Aton comportait une cour péristyle formé de 28 piliers contre lesquels s'adossaient des colosses représentant le roi. Il est encore ici dans l'attitude osirienne (némès surmonté du pschent, sceptres) mais on y trouve déjà les caractéristiques des portraits d'Akhénaton : yeux en amande

: Rastiganc se rend chez Mme de Beauséant dans une voiture de louage (sorte de taxi) « pour faire sa visite de manière solidement aristocratique. (l.2172-2173) En descendant de sa voiture, Eugène entendit des rires étouffés qui partaient sous le péristyle. Trois ou quatre valets avaient déjà plaisanté sur cet équipage de mariée vulgaire. » (l.2196-2199) « Au faubourg Saint-Germain, attendait le luxe d’un grand seigneur, un équipage que trente mille francs n’auraient pas payé. » (l.2206-2207) p

salle de cérémonie officielle. Cette Domus est importante parce que jusqu'en 92 c'est là où réside l'empereur et l'administration. Domus Flavia : considérée comme le quartier officiel. Partie publique du palais qui s'organise autour d'un grand péristyle et comporte 4 pièces principale : aula regia : audience impériale, architecture nouvelle avec des petites absides qui servaient à mettre en scène le prince. Basilique : salle rectangulaire avec une absides : fonctions publiques, mais pas une

l’eau de pluie dans un bassin (impluvium) ; leur ouverture centrale (compluvium) sert aussi de puits de lumière pour éclairer les pièces qui entourent l’atrium. A partir du II° siècle avant J.-C., sous l’influence grecque, s’ajoute à l’arrière un péristyle : jardin d’agrément (éventuellement avec statues et pièce d’eau) entouré d’un portique soutenu par une colonnade, sur lequel s’ouvrent les pièces d’habitation ; la première partie de la demeure, autour de l’atrium, devient alors l’espace public

factices théatraux), on y voyait des sujets mythologiques et athlétiques dépeints de façon étonnament vivante: Hercule et Hylas, souvent présents dans les palestres, de même que les Nymphes, Persée et Andromède. De même au dessus du toit incliné du péristyle, fut mis au jour une autre décoration peinte, bien que déja fortement détériorée à l'instant de la découverte. Dès lors, une aquarelle relevée à cet instant nous transmet un témoignage d'une scène de chasse. Dans un paysage parsemé de roches et