Perroquet

Virginie, la fille de sa maîtresse, une enfant de seize ans, qui s'étiole et meurt comme une fleur ; c'est le présent qu'on fait à la vieille servante d'un perroquet, avec qui "elle a des dialogues" : "lui, débitant à satiété les trois phrases de son répertoire ; elle, y répondant par des mots sans plus de suite" ; c'est la mort de ce perroquet qu'elle donne à empailler et qu'elle place dans sa chambre ainsi qu'une idole ; c'est enfin la mort de Mme Aubin [sic]. "Félicité la pleura, comme on ne pleure

le fit jouer au mail. Finalement, grâce à sa science, il a réussi à sauver son roi. 3) Histoire du mari et du perroquet  : Autrefois un homme contraint de partir en voyage acheta un perroquet au langage développé pour surveiller sa très belle femme pendant son absence. Mais finalement, pensant que le perroquet était de connivence avec son épouse, il le tua. 4) Histoire du vizir puni  : Un roi avait un fils

et la manière dont le rêve est mis en exergue en illustration finale du titre proleptique. I) Une poésie picturale 1. Désignation de la jungle· Emploi d’un lexique exotique "acajou", "lianes", "perroquets", "singes".· Caractérisation de la flore : « herbe rousse », « roche plate », « plantations vertes », « lianes en fleurs , « bois sombre » : adjectifs épithètes, CDN· Le poème s’ouvre sur un complément de lieu, suivi du sujet (« les lianes en fleurs »

comme les siens. Cependant Félicité est tellement persuadé que la vision qu’elle a du monde est la vrai qu’elle tente d’imposer son monde aux autres a la fin de cette œuvre ou elle expose son perroquet mort qu’elle avait fait empaillé LOULOU aux yeux de tous et en fait le Saint-Esprit. Elle a tant adulé ce perroquet mais aussi la religion qu’elle fait en sorte de les rapprocher pour qu’ils ne fassent qu’un. Elle voulait que tout le monde accepte son monde comme le vrai monde. Dans la prisonnière des

le baron de Larsonnière, ex-consul en Amérique, et qui avait chez lui, outre sa femme, sa belle-sœur avec trois demoiselles, assez grandes déjà. On les apercevait sur leur gazon, habillées de blouses flottantes ; elles possédaient un nègre et un perroquet. Mme Aubain eut leur visite, et ne manqua pas de la rendre. Du plus loin qu’elles paraissaient, Félicité accourait pour la prévenir. Mais une chose était seule capable de l’émouvoir, les lettres de son fils. Il ne pouvait suivre aucune carrière

grande maison, moins mesquine que celles devant lesquelles le régiment avait passé jusque-là ; au milieu d'un grand mur blanc, il y avait une persienne peinte en vert perroquet. «Quel choix de couleurs voyantes ont ces marauds de provinciaux ! » Lucien se complaisait dans cette idée peu polie lorsqu'il vit la persienne vert perroquet s'entrouvrir un peu ; c'était une jeune femme blonde qui avait des cheveux magnifiques et l'air dédaigneux : elle venait voir défiler le régiment. Toutes les idées tristes

Gabriel, homme grand et fort marié avec la douce Marceline, lequel exerce la profession de danseur en tutu dans un cabaret fréquenté par des homosexuels. On fait vite connaissance avec tout le voisinage, Charles, Mado Ptits-pieds, Turandot et son perroquet, Gridoux, puis, plus tard, avec Fédor et la Veuve Mouaque, etc. Chacun des personnages a son langage très particulier. Zazie, dont le rêve est de prendre le métro, malheureusement en grève, part seule à l’aventure et elle est abordée par un personne

Commentaire de texte n°2 Le XVIIIe siècle, est le siècle où apparaît le mouvement des lumières. Ce terme désigne un mouvement culturel et philosophique qui a majoritairement dominé en Europe, et plus particulièrement en France. Les éléments déclencheurs de ce mouvement, sont la mort de Louis XIV et le coup d’état d’état de Bonaparte, qui mettrons fin à la période révolutionnaire et engendrerons des transformations sociales, économiques et politiques. Mais le mouvement des lumières remettront

les autres, comme s'ils étaient proches dans le temps: départ de Victor, son neveu, mort de Virginie, mort de Victor, mort de son perroquet Loulou, suicide de Bourais, mort de Mme Aubain... A travers Un Cœur Simple, Flaubert m'a montré qu'il existe néanmois une simplicité d’esprit chez certains bourgeois. Félicité a reçu un animal de compagnie en cadeau, un perroquet, elle lui ouvre immédiatement son cœur. Elle va très vite s'attacher à lui et va même jusqu'à croire, lors de sa mort, qu'il s'agit

I- Un portrait dépréciatif (péjoratif) 1- Le portrait physique du personnage: Il est poussé jusqu'à la caricature: Le lexique est dévalorisant, Balzac insiste sur son allure (sa marche traînassante), sa laideur physique: «son nez à bec de perroquet» (l9). Il la rapetisse ligne 21 : «une petite femme» ; «avec de petites mains» (l10), il insiste sur son embonpoint : «sa face grassouillette» (l9), sa personne dodue» (l10), «potelées»(l10), «son corsage trop plein et qui flotte» (l11), il insiste