Perroquet

à la maison. Ils ne sont pas bruyants et souvent nécessitent peu d'entretien. Les oiseaux domestiques sont très populaires pour leurs chant et couleurs, comme le pinson, la perruche... Certains sont très bruyants comme le cockatiel ou certains perroquets qui crient ou sifflent et peuvent devenir désagréables. Les insectes sont rarement utilisés comme animal de compagnie. Certains aiment les grosses araignées comme la tarentule et vont en garder une dans un aquarium, mais c'est plutôt rare. Certains

ils lui avaient dit qu'il serait riche et heureux en servant les blancs tout en faisant le bonheur de ses parents.Mais bien au contraire son infortunelui fit constater le bonheur des animaux par rapport à lui , il déclare que « les singes et les perroquets sont mille fois moins malheureux que lui» (ligne 15-16). Sont malheur est causé par les blancs qui exploitent les esclaves en les maltraitants, les blancs ont le pouvoir sur les esclaves, les noirs considérent les blancs comme leurs seigneurs (ligne14)

rose était un génie, le deuxième un imbécile", a dit Roger CAILLOIS. Avant lui, VOLTAIRE avait déjà remarqué dans son dictionnaire philosophique : "Les premiers qui découvrirent ces images passaient pour des inventeurs, les derniers ne sont que des perroquets". Le charme des métaphores vient de leur justesse et de leur nouveauté. Reprises sans cesse, elles deviennent lieux communs, clichés de la conversation, pacotille de bazar. (L. Timbal-Duclaux) A propos des figures de style se pose la

Autoportrait, huile sur toile, 54 x 46 cm, Paris, Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou. * 1907 : o Nu aux ibis, huile sur toile, 55 x 46 cm, Paris, collection Éric et Jean-Louis Delaunay. o Nature morte au perroquet , huile sur toile, 80 x 65 cm, Colmar, Musée d'Unterlinden. * 1909 : o Autoportrait, huile sur toile, 73 x 60 cm, Paris, Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou. o Saint-Séverin n°3, huile sur toile, 112,6

main » ; « quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe ». Ces deux paroles nous montrent la terreur du nègre. Il cherche a provoquer de la peur, de la pitié, de la compassion au lecteur grâce ses termes. « Les chiens, les singes et les perroquets sont milles fois moins malheureux que nous ». En ce comparant à des animaux il se rabaisse et cherche une nouvelle fois à provoquer de la pitié chez le lecteur. Il le touche d’autant plus quand il annonce que ses parents l’ont vendu pour faire leur

l’histoire. d) L’auteur est l’un des personnages, il et Félicité. 6 L’arrière-plan a) Le premier problème et que Félicité ne trouver pas de travail, mais cela fut résolu car elle travailla pour Mme Aubain. Le second est que Félicité a perdu son perroquet mais c’est résolu une femme le retrouve te lui ramène. Le troisième et que Mme Aubain pense que Mr Bourais lui a volé de l’argent mais ce n’est pas résolu. b) Il y a un renseignement sur une religion chrétienne. c) Les thèmes présentés sont :

liberté et en mouvement alors que le nègre n’est pas en liberté et il est à terre « étendu par terre », il présente donc une opposition entre la liberté et l’absence de la liberté. On remarque une litote à la phrase « Les chiens, les singes et les perroquets sont mille fois moins malheureux que nous », cela désigne l’horreur de l’esclavage et il s’agit d’une comparaison entre les animaux et les êtres humains. Ensuite l’auteur

défilé militaire dans une ville de province du dix-neuvième siècle. Le cadre est médiocre « les murs écorchés et sales », étroites « Un embarras » et certains détails sont ridicules et de mauvais goût aux yeux du jeune officier « persiennes vert perroquet ». Les deux personnages n’ont que le temps de croiser un regard. Romain Gary, auteur contemporain nous transporte dans un lieu banal : la rue passante d’une ville moderne. Il s’agit bien de notre époque. La rencontre est accidentelle donc imprévue

Bientôt la veuve se montre, attifée de son bonnet de tulle sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis, elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet ; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d’église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s’est blottie la spéculation, et dont madame Vauquer respire l’air chaudement

marche », « Le roi se meurt », « Le roi se relève ». Des annonces comme dans une presse féminine où de grandes révélations anodines donnent l’illusion d’une célébrité éternelle. Le Garde parle, annonce, ne réfléchit pas, ne réfléchit plus, il est le perroquet d’une vulgaire noblesse au service d’un peuple qui n’a plus le temps de feindre un intérêt pour la cour des ridicules. Comme Bérenger 1er étonné de voir que le soleil ne répond plus à ses ordres, Michel Bouquet nous regarde, reconnaissant, presque