Candide
Ensuite l’auteur présente la misère et la manque extrême du nègre comme l’indique l’expression « n’ayant que la moitié de son habit… ». Comme on le voit à la ligne (27) « On nous donne une caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l’année », cela nous indique la maltraitance de l’esclave et que le nègre a perdu toute dignité humaine. Voltaire expose le parallélisme et le présent d’habitude, par exemple : « Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main, quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe », cela nous