Persistance rétinienne

Cette illusion est crée par notre œil en regardant successivement un ensemble d’image, il garde en mémoire l’image précédente sur laquelle il superpose l’image suivante et crée ainsi l’impression de mouvement : On appelle ce phénomène « la persistance rétinienne ». Pour faire 1 seconde de film il faut 24 images afin d’assurer la fluidité du mouvement. II) Présentation Introduction : Le cinéma d’animation prend de nos jours une part de plus en plus importante dans la production

ces formes et ces objets savent eux pourquoi ils sont là et ce qu’ils ont à faire, comme un ballet organisé… comme si la création avait son propre instinct et qu’elle ne répondait plus à ce que lui dicte le réalisateur. Par le biais de la persistance rétinienne, l’image s’imprime dans notre être pour mieux se révéler, pour mieux nous révéler ; un dialogue s’instaure alors entre écran/film et écran/inconscient. Il me semble que la création d’un sens à ce que l’on voit apaise cette sensation de frustration

évoluons dans un environnement à l’endroit, en couleur, en trois dimensions. Mais le cerveau fait parfois des erreurs d’interprétation : ce sont les illusions d’optique ! Amusez-vous à tromper votre cerveau grâce à des effets de perspective ou de persistance rétinienne. Parmi la vingtaine d’illusions, vous trouverez : Le cube de Necker : la face du cube marquée d’un point est-elle en avant ou en arrière ? Il s’agit d’une figure ambiguë où le cerveau doit faire un choix. Son indécision nous fait alterner

renversée se forme sur la rétine. Les milieux transparents de l’œil se comportent comme une lentille convergente (expérience sur œil de bœuf). C) Au niveau rétinien Observation d’une coupe transversale de rétine au microscope. 1) La rétine est constituée de trois couches de neurones. 2) Un fonctionnement rétinien variable selon la zone concernée. a) L’expérience de Mariotte montre l’existence du point aveugle Au niveau du départ du nerf optique, il n’existe

petit. Petit historique Au 19ème siècle, avant l’invention de la caméra, les chercheurs se partagent entre deux catégories : - ceux qui, partant du graphisme, sont fascinés par l’illusion du mouvement et étudient le phénomène de la persistance rétinienne : Docteur Paris, Joseph Plateau, Emile Reynaud... - ceux qui utilisent la nouvelle invention de la photographie pour travailler l’analyse du mouvement : Edward Muybridge, Etienne-Jules Marey... La conjonction de ces deux démarches va

Thaumatrope. John Ayrton fait une démonstration du fonctionnement de l’appareil à Londres pour étayer ses théories sur la persistance rétinienne. (praxinoscope.free.fr) Déclinaison du principe : le folioscope (dessins sur feuilles de papier que l’on fait défiler à vitesse rapide) 1830 : la roue Faraday. Lui aussi fait des travaux de recherche sur la résistance rétinienne et se livre à une expérience) partir d’une roue crantée posée sur un axe face à un miroir. En plaçant son œil à hauteur

n'engagerait plus aucune énergie. Finie la pagaïe d'où naît la vie foisonnante, fini le monde. Le monde vivant réalise par tous ses atomes mutilés cette unité convoitée : le Dieu Néant. Observait dans la couleur des objets. Il voyait - phénomène de persistance rétinienne - le vert d'un vase dans le fond orange situé derrière. Il appelait passage cette trace de couleur d'un objet dans l'objet voisin. En fait, Cézanne construisait des peintures sur ce mode d'objets réactifs, communiquant les uns avec les autres

colonne correspondantes. Ici aussi, on peut voir qu’un pixel devra être composé de 3 sous-pixels pour pouvoir émettre dans tout le spectre des couleurs. Pour afficher plusieurs pixels simultanément, on utilise l’effet d’optique qu’est la persistance rétinienne : on balaye tellement vite tous les pixels qu’on a l’impression qu’ils sont allumés/éteints constamment. Hélas, les diodes réagissent trop vite (vers les 0,5 ms pour le temps de commutation) et on ne verrait rien, si on n’augmentait pas la

le mouvement et les jouets optiques du 19ème siècle 1820/1827 : L'astronome Hershel créer le premier jouet optique qui est le thaumatrope. Il donne l'illusion d'une troisième image par la vitesse du mouvement de deux images induite avec la persistance retinienne (nécéssaire) 1831 : Jospeh Platon obtient une sythèse d'un mouvement bref avec son phénakistiscope. Son invention est un dique tourné devant un miroir avec des dessins successifs décomposés par le milieu (rayons). Ainsi il y a le célèbre

compétant. B- Le début du cinéma : Depuis que l’homme crée des images, il invente des procédés variés pour fixer la réalité. Le cinéma est né de la rencontre d’innovations dans le domaine photographique et du mouvement utilisant la persistance rétinienne. Le cinéma connait plusieurs étapes : tout d’abord le “pré cinéma” puis il y a le cinéma muet qui est illustré par plusieurs générations de cinéastes, comme l’Anglais Charlie Chaplin. Ensuite vient le cinéma parlant en 1920 avec des images