Persistance rétinienne

.......................................................14 2-7. Les deux voies antagonistes .................................................................................................................................15 2-8. Champ récepteur rétinien .....................................................................................................................................17 2-9. Mesure du contraste par les cellules horizontales......................................................

absolument joindre l’objet à l’œil. La propagation de rayons lumineux provenant de l’objet, est rectiligne dans un milieu transparent et homogène. Pour qu’un objet soit visible il faut que l’image de l’objet se forme sur la rétine : ceci s’appel l’image rétinienne. Si l’image d’un objet se forme sur la rétine, plus particulièrement sur la tache jaune appelé la macula, situe sur une petite région de la rétine alors l’objet est vu nettement. Cependant le travail de l’œil est différent selon la position de

par les élèves : o le mouvement vient de l’air (ventilateur), d’engrenages, des passants qui participent, utilisation de l’énergie mécanique ou électrique ; les illusions d’optique viennent des jeux de couleurs, des courbes, de la persistance rétinienne (rotorelief et hypnose) … o Les couleurs chez Vasarely : période disco qui démarre à la fin des années 60, couleurs très vives, « pop », les formes rondes, o Certaines représentations font penser à des immeubles, c’est

du cinéma : 1. Le mouvement [pic] Au II ème siècle après JC, l'astronome Ptolémée a étudié la perception du mouvement. Il a fallu attendre 1823 pour que PARIS utilise son Thaumatrope pour démontrer la persistance rétinienne : un petit disque comportant deux images complémentaires sur chaque face. En le faisant tourner rapidement à l'aide de deux ficelles tendues, on voit les deux images se superposer (l'oiseau dans sa cage en est l'exemple le plus connu). La

le placement et constance des éléments scéniques comme la lumière et la propreté. Les images sont ensuite montées ensembles. En animation, les prises de vue sont souvent doublées afin d'en limiter le nombre et accélerer la production. La persistance rétinienne assure l'illusion de mouvement continu lors du visionnage. Pour conclure, les réalisateurs mettent en scène une véritable happy end. Le film se referme sur une image de conte de fée, celle d’un avion qui emporte avec lui l’ensemble des

suffisamment grand. Pour autant ce nombre doit être limité pour des raisons de capacité mémoire de l’appareil ; cette limite correspond à une limite physiologique, la capacité de nos yeux à distinguer temporellement deux évènements distincts (persistance rétinienne). Questionnement : Comment mesurer la fréquence à partir de laquelle l’image apparaît continue ? Comment mesurer le nombre d’images générées par seconde sur un écran d'ordinateur (ou un téléviseur)? Démarche : Mettre en oeuvre une démarche

maternel et filial. Dans cette stratégie contemplative, le modèle a su se laisser posséder, absorber, dérober, pour ne pas être dans ce double qu’une simple copie, mais la résurgence éternelle sur la toile de sa trace visuelle et spirituelle, persistance rétinienne, l’image de sa fidèle présence... Se livrant à son fils en une figure qu’il pourra évoquer, c’est-à-dire rappeler à lui, ce portrait de Marie Serre est un don de soi, le plus beau cadeau qu’une mère puisse faire à son fils : la promesse de

Cinéma d’animation. Commencement : « jouets d’optiques ». Apparus après le jeu des ombres chinoises ou images projetées (notamment grâce à la lanterne magique), les « jouets d’optiques » sont basés sur le phénomène de persistances rétiniennes : - 1832 : Joseph Plateau : phénakistiscope : disque de carton perforé de pls fentes où ya des images. L’appareil ne peut qu’animer que des cycles. - 1878 (1892 dans mon livre..) : Emile Reynaud : théâtre optique : invention du praxinoscope, adieu

a un déclin progressif. Tandis que lors de la présentation d’un post-champ clair, qui stimule de nouveau la rétine, au bout de 0,25s le report partiel rejoint le report totale. La mémoire visuelle dépend donc de la persistance rétinienne ainsi mise en évidence. La persistance rétinienne est extrêmement faible, de 250ms. Mémoire auditive : Les sujets entendent des trigrammes, suivis d’une tache interférente vocalisée puis, le rappel. Si la présentation est visuelle, on remarque, dans des résultats

Court Terme (MCT), laquelle ? a) le contenu de la MCT est quantitativement limité b) l’oubli est rapide en MCT (quelques secondes) c) la MCT est augmentée lorsque la cadence de présentation des items est plus lente d) la MCT résulte seulement de la persistance sensorielle 14) L’une de ces mémoires ne fait pas partie de la mémoire déclarative. Laquelle ? a) les réponses émotionnelles b) les évènements autobiographiques c) les connaissances sémantiques d) les souvenirs épisodiques 15) L’une de ces tâches