Persistance rétinienne

images par seconde. C’est la succession rapide de ces images, différant en moyenne peu les unes des autres, qui, par illusion, fournit une image animée au spectateur, reproduisant notamment les mouvements et trajectoires de la vie réelle. La persistance rétinienne, l’effet phi et les techniques de projection cinématographique permettent à l’être humain de voir cette série d’images discrètes en un continuum visuel. Le terme « cinéma » est l’apocope de « cinématographe » (du grec κίνημα / kínēma, « mouvement »

Le siGNAL VIDéO I) L'image vidéo – Principe 1 2 3 … 624 625 Un spot lumineux balaye la surface ligne après ligne, point après point, et on voit bouger grâce à la persistance rétinienne (50ms). Europe : 25 images/s, 625 lignes. No scintillement : balayage en deux trames de 312,5 lignes (impaires et paires) → de 25 à 50 Hz. – Caractéristiques temporelles Fréquence trame identique à fréquence secteur (USA et Japon : 60Hz → 30 images/s). Durée d'une trame : 1/50=20ms, durée d'une ligne : 20.10-3/312

d’hypertension artérielle secondaire. Investigations Bilan biologique sanguin et urinaire : fonction rénale ECG Fond d’œil. Evolution, complication et pronostic -En cas de persistance de l’hypertension artérielle, des lésions organiques peuvent apparaître. - vaisseaux : artériosclérose - yeux : hémorragie rétinienne - cœur : hypertrophie cardiaque gauche et coronaropathie. - rein : insuffisance rénale - cerveau : accident vasculaire cérébral Thérapeutique : 1. Mesures hygiéno-diététiques

directement le plus de lettres, ils en rappellent 4 ou 5 et le 2eme cas : la situation de report partiel : Ils doivent rappeler une des lignes, ils rappellent 3 ou 4 lettres La durée de cette mémoire est d'une demie seconde. Expérience 2 : Persistance rétinienne avec les expériences de masquage. On montre une image puis une un grand flash on ne se rappelle plus de la première image. La mémoire sensorielle auditive a la même capacité que la mémoire sensorielle visuelle. Rappel : méthodes d’études

troisième œil qui voit les tableaux… » L’œil et l’esprit, Merleau-Ponty 1964 « Le paysage est dans l’œil de celui qui regarde. » Écrits de Paul Cézanne Ce qui modifie le regard La polysémie de l’image Les illusions d’optiques Persistance rétinienne Contraste maximum La circulation du regard « L’œil suit les chemins qui lui ont été ménagés dans l’œuvre. » Théorie de l’art moderne Paul KLEE Séparation nocturne 1922 Le discours du geste et des regards La bonne aventure

datant de -2500 (comme la chèvre de Shahr-e Sokhteh) témoignent d’une tentative de la représentation du mouvement par la découpe de celui ci. Par la suite, des outils comme le thaumatroppe ou le phénakitiscope utilisent le phénomène de la persistance rétinienne ou l’effet Phi pour non plus représenter le mouvement, mais aller au delà : faire croire au mouvement. Le mouvement n’est pas réel, il n’a jamais existé comme tel contrairement aux images en PVR : les nouvelles techniques permettent de créer

brevet du cinématographe en février 1895 avant d’organiser la première projection publique de l’histoire le 28 décembre de la même année, est d’avoir su perfectionner les procédés existants de reproduction du mouvement. Le phénomène de la persistance rétinienne, découvert au XVIe siècle, a déjà suscité moult jouets optiques : lanternes magiques, phénakistiscope basé sur la stroboscopie, zootrope avec son tambour à fentes, praxinoscope et son miroir à facettes… Parallèlement à la mise au point par

* La connotation désigne tous les éléments de sens qui peuvent s'ajouter à ce sens littéral. LA RECLAME Photographie de 1967. « Dédoril » Le schéma en Z : C’est l’itinéraire suivi par l’œil lorsqu’on regarde une image. * Persistance rétinienne. Point en bas à droite. C’est le dépôt du produit que l’on veut vendre. Texte en oblique en bas à droite = signature. Le schéma en Z veut nous conduire à cette signature, ils veulent qu’on retienne ça. * Point de départ. Le front

de réfraction. – Propagation de la lumière dans un milieu à indice variable. – Détermination approchée de la durée de persistance des impressions rétiniennes. – Observation en éclairage stroboscopique. – Vision stéréoscopique et illusions d'optique. – Dessin animé, construction d'un zootrope. – Disque de Newton. Notions et contenus – Utiliser la notion de persistance rétinienne pour interpréter un mouvement apparent. – Distinguer les phénomènes de réflexion, de réfraction. Ce chapitre a pour

qu'une impression lumineuse reçue sur la rétine persiste 1/10 de seconde après la disparition de l'image; il en conclut que des images se succédant à plus de 10 par seconde donnent l'illusion du mouvement (La découvert du principe de Persistance des impressions rétiniennes remonterait au IIéme après J.C. Différents appareils ont été construits sur la base de ce principe : o      Le Phénakistiscope (J. Plateau, 1829), o      Le stroboscope (Simon Von