Personnage D Odette

artistique ZAT Montpellier spectacles et surprises urbaines dans l’espace public de 2o1o à 2o2o pour explorer la ville autrement 3 Cooperatzia, le spectacle un univers surréaliste peuplé de sacs à mains aériens, de tuiles facétieuses et de personnages en longs manteaux Imaginez qu’une nuit, des milliers de tuiles soient descendues des toits de Celleneuve. Imaginez qu’elles se soient regroupées pour former une mystérieuse et pacifique armée, dirigée par cinq colonels portant de temps à autre des

avant que ses principes ne nous soient exposés. Ainsi, dans Un amour de Swann , de Proust, si Swann, après l’avoir tout d’abord considéré comme plutôt banale, voire laide, perçoit une forme rare de beauté chez Odette, c’est parce qu’il lui a découvert une ressemblance avec Zéphora, personnage peint sur une fresque qu’il a un jour admiré dans la Chapelle Sixtine. Dans cette situation, comme, finalement, dans toute autre semblable, c’est bien la Vie qui se fait imitatrice de l’Art. Mais quel est

nombreux écrivains qui ont fait ensuite tout autre chose. Un seul exemple, un peu inattendu : dans son autobiographie Les mots (1964), Jean-Paul Sartre (pas vraiment un auteur de romans populaires !) avoue sa nostalgie pour les romans de Zévaco et le personnage de Pardaillan. Il n’est pas le seul ; on trouverait des échos chez bien d’autres (Céline, Queneau). - Avatars du naturalisme: Le roman du début du XX° est très marqué, comment s’en étonner, par le courant naturaliste. Mais ce courant va être

siècle donnent une impression générale de tristesse. En effet, on trouve dans le roman français de cette époque peu de personnages comiques si l'on prend cette expression dans son acception bergsonienne de comiques inconscients. Sauf oubli, dans cette catégorie, il n'y a que le Homais de Flaubert et le Tartarin d'Alphonse Daudet. Ne les confondons pas avec ces autres personnages, dits aussi comiques parce qu'ils nous font rire, tels l'illustre Gaudissart de Balzac ou le Rassi de Stendhal. Ceux-ci

chef monteur, spécialisé dans les ouvrages en fer. Elle est attirée très jeune par l’écriture et la philosophie avec le projet de devenir professeur. La famille Delbo, en 1926, à Vigneux-sur-Seine. De gauche à droite Au premier rang: André et Odette Delbo, 5 et 8 ans (la poupée représente le petit Daniel, qui naîtra quelques mois plus tard). Au second rang: Charles, le père, Erminie, la mère et Charlotte (13 ans). Dans le Paris des années 30, Charlotte fait la connaissance d’Henri Lefebvre qui

sa formation 4 2. Présentation de son « Œuvre » en intégralité 4 3. Point commun entre toutes les œuvres 7 II. Résumé de l’oeuvre 8 1. Résumé détaille 8 2. Contexte de publication 9 III. Les personnages 11 1. Présentation des protagonistes 11 2. Présentation des personnages secondaires 11 IV. Lecture personnelle de l’œuvre 13 1. Signification de l’ouvrage 13 2. Intérêt à le lire 13 3. Argument qui vise à convaincre 13 V. Bilan 15 1. Opinion personnelle 15 Sources

l’auto dissemblance de la mer. «  Invariablement, c’est dans un paysage minutieusement circonscrit par l’auteur, que se montre pour la première fois le personnage proustien. Dès le moment où il y apparaît, ce lieu, s’associant à lui, lui donne une note aussi distincte et reconnaissable qu’un leitmotiv wagnérien. Sans doute, par la suite, le personnage réapparaîtra ailleurs. Mais il ne cessera d’être lié au site primitif dans notre mémoire. » Albertine, on le sait, est apparue sur la plage, « fillette »

le nombre des homosexuels (page 56) - Gomorrhe (page 56). (la pagination est celle de l’édition de la Pléiade en trois volumes) Bonne lecture ! Dans ‘’À la recherche du temps perdu’’, Proust, en suivant le déroulement de la vie de son personnage, Marcel, ne pouvait pas ne pas faire passer tout un flot de vie (saveurs, parfums, nourritures, œuvres d'art, princes, domestiques, rituels mondains, recettes de cuisine, investigations ou fulgurances dans le domaine du plaisir et du désir), ne

été démesurément distendues. Ses vitraux ne chatoyaient jamais tant que les jours où le soleil se montrait peu, de sorte que, fît-il gris dehors, on était sûr qu'il ferait beau dans l'église ; l'un était rempli dans toute sa grandeur par un seul personnage pareil à un Roi de jeu de cartes, qui vivait là-haut, sous un dais architectural, entre ciel et terre (et dans le reflet oblique et bleu duquel, parfois les jours de semaine, à midi, quand il n'y a pas d'office — à l'un de ces rares moments où l'église

et en suite a DOMPOUALIEU et c’est de là que naitra le village BABONE qui a l’époque n’avait qu’environ 3 km de diamètre. Quant à Bakondji, le fondateur fut TCHUITOU, l’un des fils du roi Baboutcheu, un homme désordonné, revanchard, un personnage très singulier à chaque fois que son père était absent de la chefferie, il se fessait passer pour le chef devant ses frères et sœurs ; dés l’apprise de la nouvelle par son père, il fut chassé et il ira s’installé de l’autre bout du royaume à « KOTCHOU »