Personnage De Bardamu

caractéristiques de Ferdinand Bardamu, en tant que personnage ? Quels sentiments, quels jugements vous inspire-t-il ? Pourquoi, d’après vous, Céline a-t-il choisi de mettre en scène un tel personnage ? (Analysez notamment son style, le choix du vocabulaire, les registres de langue : pourquoi un tel parti – pris ? Qu’est-ce que cela nous indique, quant au personnage de Bardamu ?) Idée directrice de la question 2 : les caractéristiques du personnage de Ferdinand Bardamu. 1er § d’analyse : ………………………………………………………………………………………………

de réelle intrigue, il n’y a que des circonstances : tout est sous le signe du hasard . La vie n’est pas soumise à un destin Différences : - le Voyage n’est pas un roman d’apprentissage : l’expérience est nulle, il n’y a pas d’évolution du personnage : il n’apprend rien qui n’ait été révélé d’un seul coup pendant la guerre, l’expérience fondamentale originelle. - Fausse structure linéaire: structure en cercle : où qu’il aille, il retrouve toujours la même chose. Retour de la Place de Clichy :

beaux Draps. 1941 2ième axe de lecture Déterminer le genre Voyage au bout de la nuit peut être qualifié d'autobiographie imaginaire où Céline devient dans la vie le héros de son roman prénommé Ferdinand Bardamu. Autrement dit, l'auteur se fabrique une vie conforme à celle de son personnage. On peut également dire qu'il se fait littéralement « dévorer » par celui-ci. Le reste de sa vie se partage entre la médecine, la littérature et une participation à la vie politique et aux débats. Par ailleurs

première personne suit la vie du personnage principal, Ferdinand Bardamu et possède quelques éléments autobiographiques, notamment le point de vue de Céline sur le monde. Dans cet extrait, Bardamu retrouve sa mère, et tout deux décident de se promener aux alentours de l’hôpital dans lequel il est admis. Le récit les suivra dans leur balade et le narrateur montrera une nouvelle facette de la ville aux lecteurs à travers la vision de Bardamu. Nous nous demanderons donc

d’une quête métaphysique au cours de laquelle Bardamu, le protagoniste ou l’alter ego de Céline, traumatisé à la suite de la première guerre mondiale, va explorer les abysses horrifiques de la condition humaine. Force est de constater l’aspect nihiliste qui se développera chez le personnage principal tout au long du roman, qui se termine d’ailleurs par un discours que l’on pourrait qualifier de nietzschéen. A travers cette énoncé, Céline (alias Bardamu) déplore le désintérêt que porte l’homme au sens

poursuit toujours. Il s’agit d’un auteur qui a traversé les grandes periode historique.Il est le plus traduit dans le monde parmi les auteurs du XXème siècle apres Marcel Proust. Dans cette oeuvre, il nous raconte l’histoire de Bardamu, un perssonnage qui est inspiré de l’expérience personelle de Céline. STYLE DE CELINE Ce livre est une source de scandale pour les hommes de son époque, car il est entièrement écrit en langage parlé, voire en argot

analytique d'un extrait du premier chapitre de Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand CELINE, 1952 Cet extrait du premier chapitre de Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline, paru en 1952, présente au lecteur le personnage de Bardamu, étudiant en médecine, aux côtés de son ami Arthur Ganate, conversant tous deux à la terrasse d'un café parisien. L'histoire se déroule sous la Troisième République, au seuil de la Première Guerre Mondiale, contexte historique déterminant pour

héros et narrateur Bardamu lors de la première guerre mondiale. Dans le passage que nous allons étudier, l’entrainement militaire est une abérration que Céline dénonce. On se demandera alors en quoi les portraits des différents personnages décrits par Bardamu traduisent l’opinion de Céline sur l’armée en Afrique. Pour cela dans un premier temps, nous étudierons le comportement des militaires qui prennent leur mission à cœur, puis dans un second temps, nous verrons que Bardamu trouve que l’ engagement

de l’extrait 1. Une scène de guerre narrée selon point de vue interne Céline campe un personnage-narrateur, Bardamu, plongé au cœur de la guerre des tranchées, comme en témoigne l’utilisation massive du « je » et du « nous » désignant la troupe française à laquelle Bardamu appartient ( « tout autour de nous »). Il s’agit d’un récit rétrospectif à la première personne : Bardamu raconte ses souvenirs de guerre ( « je me souviens »). Le choix narratif de Céline confère une dimension

extrait de Les Misérables, 1862, il raconte l'insurrection en 1832 à Paris. Et le dernier, un texte du pamphlétaire Louis-Ferdinand Céline est extrait de Voyage au bout de la nuit, publié en 1932, il nous décrit la première guerre mondiale selon Bardamu. Ces trois textes traitent de combats, cependant Rabelais et Céline racontent la guerre, tandis que Hugo évoque l'insurrection. Tous trois emploient pourtant des registres différents. Dans l'extrait de Gargantua, c'est le registre comique qui domine