Personnage De Clitandre

accusateur de Célimène. Puis, quand elle est là, se plaint à elle de l'excès de complaisance qu'elle témoigne à tous ses soupirants ; il veut la mettre en demeure de choisir, mais en est empêché par l'arrivée des petits marquis à la mode Acaste et Clitandre, qui viennent rendre visite à Célimène. Philinte et Éliante, cousine de Célimène, les accompagnent. Furieux et boudeur, Alceste assiste, d'abord silencieux, à cet entretien, où l'on médit fort du prochain ; puis, n'y tenant plus, sa jalousie étant

siècle. 1670 - 14 octobre : Première du "Bourgeois gentilhomme" A Versailles devant Louis XIV et sa cour, Molière donne la première représentation du "Bourgeois gentilhomme". Satyre de la bourgeoisie française de l'époque, la pièce dépeint un personnage délirant d'imagination, qui se prend à son jeu de grand seigneur. La pièce est une "comédie-ballet", comme beaucoup d'oeuvres de Molière. La musique est signée par son fidèle compagnon, le compositeur Lully. A 47 ans "Le Bourgeois gentilhomme",

P.ES.1 Plan : I- Un langage affecté, maniéré A- Le « snobisme » des femmes savantes B- L’analyse de leur langage II- La satire des caractères (personnages) A- L’identité de deux femmes savantes, ainsi que celle de Martine B- Les traits caractériels de Chrysale III- Le comique de la scène A- Le comique de caractère B- Le comique de situation (déformation des mots, par Martine)

------------------------------------------------- ● Au moment où Alceste va parler du mariage, un valet annonce l’arrivée d’Acaste + Clitandre (= marquis) ------------------------------------------------- > Alceste est exaspéré (et jaloux) de ne pouvoir rester seul avec Célimène, qui le retient de partir. ------------------------------------------------- Scène 4 : ------------------------------------------------- ● Célimène + Acaste + Clitandre se livrent à une scène des portraits > médisent des personnes de leur entourage > Alceste

LES FEMMES SAVANTES Comédie ACTEURS CHRYSALE, bon Bourgeois. PHILAMINTE, femme de Chrysale. ARMANDE, HENRIETTE, filles de Chrysale et de Philaminte. ARISTE, frère de Chrysale. BÉLISE, sœur de Chrysale. CLITANDRE, amant d'Henriette. TRISSOTIN, bel esprit. VADIUS, savant. MARTINE, servante de cuisine. L'ÉPINE, laquais de Trissotin. JULIEN, valet de Vadius. LE NOTAIRE. La scène est à Paris. ACTE I, SCÈNE PREMIÈRE ARMANDE, HENRIETTE. ARMANDE Quoi, le beau nom de fille est un titre, ma sœur, Dont vous

Commentaire du texte : Molière, Le Misanthrope, Acte V dernière scène (v.1757 à la fin) dénouement libérateur ? Tension des scènes précédentes continue, comment ? La lecture des lettres envoyées par Célimène à Acaste et à Clitandre, au début de la scène, rappelle la « scène des portraits » de l’acte II. En effet, Célimène y dresse le portrait tous ses autres amoureux, à leur insu. Toutefois, la situation d’énonciation change radicalement la portée d’une telle charge satirique .Alors que dans

Analyse Intérêt de l’action Genre : “Les femmes savantes” sont une «grande comédie» avec des éléments de farce qui apportés par Bélise (le quiproquo sur les propos de Clitandre, la répétition du mot «chimères»), les pédants, Trissotin et Vadius, et la servante Martine (son langage où elle se plaît à l’enchaînement de proverbes). C’est une comédie de moeurs aux dialogues étincelants. Originalité : Molière y a mis beaucoup de lui-même, y expose ses propres idées. Il faut même penser

blesser ou d’attaquer frontalement → Monde harmonieu. Fiche d’identité de l’œuvre → Genre: pièce de théâtre, comédie → Oeuvre: Satirique → Auteur: Molière,17ème siècle. → Époque: l'Âge classique → Structure : 5 actes → Forme : dialogue en vers → Personnage principaux : Alceste et Célimène Philinte, Éliante, Arsinoé, Oronte, Acaste, Clitande. Outil de lecture → Sonnet: Poème de deux quatrains + deux tercets → Tirade: Longue suite de parole ininterrompues → Satirique : genre littéraire utilisant l’arme

savantes » par rapport aux conceptions du mariage c’est qu’il a y une contradiction entre l’éducation des femmes et leur mariage. A cause de cela, les personnages vont avoir des conceptions du mariage différentes. Pour Chrysale et Armande la femme ne peut pas se marier et être éduquée. Il faut choisir. Même si elle rêve en secret d’épouser Clitandre, Armande argumente contre le mariage. Elle dit que le mariage est un « nœud », qu’il fait de la femme une esclave asservie. Elle ne comprend pas pourquoi

comme femme « savante » et y entraine également sa file aînée, Armande, et sa belle-sœur, Bélise. Son mari, Chrysale, est mécontent de cette passion car à présent, elle délaisse son ménage. La sœur cadette d’Armande, Henriette, veut se marier à Clitandre, prétendant qu’Armande a éconduit. Cependant il lui faut l’accord de sa famille qui est divisée entre son père et son oncle Ariste qui approuvent cette union et sa mère, ses sœurs et sa tante qui lui suggèrent de choisir la science comme elles l’ont