Personnage De Clitandre

grandeur, confrontés à des situations nécessitant des choix difficiles. L'honneur, le devoir, l'élévation de pensée sont les qualités de ses personnages. Modèle incontesté de ses pairs au milieu du siècle, Pierre Corneille n’a de cesse d’innover tout au long de sa carrière. Il utilise la démesure dans sa peinture des caractères. Le comique y naît des personnages et non de situations stéréotypées. Tour à tour condamné par Boileau et Voltaire, réhabilité en partie par Hugo, Corneille souffre de leurs

ment une catégorie | d’individus ou un | caractére | Personnage uti / comme simple | outil de narra- ' tion - anecdote | ne porte pas vrai- | ment sur le person- | nage désigné mais _ rend la legon plus | concréte, plus | vraisemblable, a _lamaniére d’un apologue _ Evaluation des | conséquences d’une attitude dans la société - illustra- tion d’un tempé- | rament par une | situation ou un dénouement Adresse directe aun personnage pour le conseil- ler, le moquer ou le louer (souvent

l’honneur, la beauté physique, intellectuelle et sociale). L’usage du beau langage devenu excessif, Molière se moque de ses personnages qu’il rend alors ridicules. Intro après lecture: Ce texte est extrait d’une pièce de théâtre en alexandrin ayant pour thème les choix d’existences pour la femme et plus précisément le mariage. Henriette annonce qu’elle va se marier avec Clitandre , qui a été éconduit par Armande, l’ainée, auparavant. La jalousie d’Armande -qui semble honteuse à l’idée de devenir

|dont Watteau nous en reproduit les traits sous la forme de rencontres |crème | | |impromptues entre personnages de romans pastoraux du XVIIè (Tircis, |Courbature | |Et l'Amour comblant tout, hormis |Aminte, Clitandre) ou de la Commedia dell'arte (Arlequin, Colombine, |Douleur musculaire due| |La faim, sorbets et confitures |Pierrot), dans un paysage clair-obscur. Même

dramatique    (=  du  théâtre)  est  particulier  :  la  représentation  est  déjà inscrite dans le texte ; le texte de théâtre est constitué des deux discours différents : les paroles  des  personnages  et  les  didascalies  ;  les  uns  et  les  autres  sont  conçus  pour faciliter au  lecteur  la compréhension des personnages, guider  les acteurs et suggérer une mise en scène. A vous de rechercher tous  les  indices plus ou moins explicites qui permettent d’imaginer une mise en scène (décor, déplacements

lire une œuvre dramatique en ne perdant pas de vue que son aboutissement est la représentation. I COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE (lire FMH, p. 262-3) Le prologue : Avant-propos qui précède parfois l'action proprement dite, récitée par un personnage généralement étranger à l'action, et qui raconte des événements antérieurs, explique les intentions de l'auteur ou s'efforce de gagner l'indulgence du public. Exemples : Le prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur

misanthropie est la haine du genre humain. Ce titre a pour sous titre « l'atrabilaire amoureux ». On nous présente alors dans l'acte premier Alceste, misanthrope, atrabilaire et amoureux de la coquette, Célimène qui incarne son opposé, Philinte, un personnage calme et flegmatique qui nous révèle qu'Alceste est aimé d'Harcinoé et d'Eliante et qu'Eliante est aimé de lui même. L'acte deux s'ouvre sur une confrontation entre Célimène et Alceste. Il espère connaître les sentiments de Célimène à son égard

avocat en 1628, métier qu'il exerce jusqu'en 1651. Il écrit sa première comédie, « Mélite ou les fausses lettres », en 1629. Elle est jouée à Paris en 1630 par le célèbre acteur Mondory. Après cette pièce, Corneille publie, entre 1630 et 1633, « Clitandre ou l'Innocence délivrée », puis « La Veuve ou le Traître trahi », « La Galerie du Palais ou l'Amie rivale », « La Place Royale ou l'Amour extravagant ». En 1635, Corneille écrit une tragédie ; « Médée ». La même année, le cardinal de Richelieu fait

L'honneur, le devoir, l'élévation de pensée sont les qualités de personnages dont le code moral et politique exigeant s'exprime dans un parcours dialectique qui n'exclut ni les sentiments ni l'ironie. Il écrit sa première comédie, Mélite ou les fausses lettres, en 1629. Elle est jouée à Paris en 1630 par le célèbre acteur Mondory, auquel Corneille confie toutes ses pièces jusqu'en 1647. Puis entre 1630 et 1633 parurent Clitandre ou l'Innocence délivrée, puis La Veuve ou le Traître trahi, La Galerie

poèmes, Verlaine s'inspire de Watteau et des autres peintres qui, au XVIIIe siècle surtout, ont évoqué les plaisirs d'une société élégante et frivole. Sous le nom de fêtes galantes, on désignait alors une variation sur le thème du théâtre : des personnages élégants se livrant à des songes amoureux et à des conversations tendres. A la différence des Poèmes saturniens, le livre n'est pas subdivisé en sections, les poèmes étant seulement regroupés par thème. Verlaine évoque ces " fêtes galantes "