Personnage De Clytemnestre Dans Agamemnon

par Alfred de Musset en 1834. Enfin, le troisième texte est un extrait d’Electre, de Jean Giraudoux, publiée en 1937. Ces pièces mettent en scène des personnages qui ont commis des crimes. Comment les dramaturges rendent-ils compte de la violence de ces crimes ? Tout d’abord, les meurtriers, qui sont Horace (Corneille), Lorenzo (Musset) et Clytemnestre et Egisthe (Giraudoux), ne commettent pas leur crime pour les mêmes raisons. Chez Corneille, Horace a tué Curiace, un guerrier d’Albe par patriotisme

Agathe, femme du président a un amant comme Clytemnestre (on l’apprend dans notre scène). Dans la scène que nous vous présentons, Oreste est entrain de dormir paisiblement dans les bras de sa sœur Electre et va se réveiller et apprendre des nouvelles catastrophiques (Amant et Assassinat) Personnages : Présents : Le mendiant, l’hésitation sur ce personnage est toujours présente. On ne sait toujours pas si c’est un vrai mendiant ou un dieu. Ce personnage commente un peu tout ce qu’il se passe mais

Hyppolyte. Le roi Thésée étant absent, Phèdre finit par avouer son amour à Hippolyte. Electre, qui est aussi une pièce de théâtre fut écrite par Jean Giraudoux au XXème siècle. Dans celle-ci, Electre recherche le coupable du meurtre de son père, Agamemnon et ressent pour sa mère une haine inexplicable. L'arrivée d'Oreste, son frère l’aidera dans sa volonté de découvrir la vérité. Un critique a dit que l’on pouvait opposer Phèdre, la passionnée à la froide Electre. Cette opposition entre les héroïnes

Louis Jouvet au théâtre de l'Athénée, le 13 mai 1937. Encouragé par le succès de La Guerre de Troie n'aura pas lieu, Giraudoux a choisi de reprendre à sa façon un épisode du mythe antique des Atrides : Agamemnon, Le Roi des Rois, a sacrifié sa fille Iphigénie aux Dieux. Son épouse, Clytemnestre, aidée de son amant, Egisthe, l'assassine à son retour de la Guerre de Troie. Oreste, le fils est banni. Reste Électre, la seconde fille: «Elle ne fait rien, ne dit rien. Mais elle est là ». Aussi Egisthe

d'Agamemnon, roi de Mycènes, et de la reine Clytemnestre. Après le meurtre d'Agamemnon par Clytemnestre et son amant Egisthe, Electre put se sauver, et réussit à amener son frère Oreste, en le cachant sous robe, à la cour du roi Strophios, en Phocide.  Là il fut élevé en même temps que le fils du roi, Pylade, qui deviendra son ami inséparable et le futur mari de sa soeur. Elle resta à Mycènes, vivant pauvrement et sous surveillance constante de Clytemnestre et d'Egisthe qui régnaient sur le royaume

nombreux articles consacrés à l’analyse de l’esthétique théâtrale. Le théâtre en effet – du moins celui que connaît Sartre dans cette première partie du xxe siècle – fait exister des personnages dans le cadre d’une action (drama). C’est donc tout naturellement qu’il peut mettre en jeu des situations permettant aux personnages, conformément à la philosophie existentialiste, de se construire et de se définir par le libre choix d’actions assumées. Que pour s’engager sur ces chemins de la liberté, Sartre

pièce donne plus de détails que sa représentation. La lecture nous permet d'apprècier pleinement le point de vue de l'auteur, le texte. Grâce aux didascalies, on sait les actions des personnages, leurs émotions, quelques élément de la mise en scène. Avec les didascalies, on comprend tout de suite ce que les personnages font car nous lisons leurs actions. Par exemple, dans La Machine Infernale de Jean Cocteau, dans l'acte I : "Long silence. Les deux soldats, de dos, contemplent sans fin la place du

l’homme condamné à être libre, nous parlerons de l’absurde d’Albert Camus par la philosophie déterministe de Baruch Spinoza qui s’oppose à l’existentialisme mais qui nous ouvre à une nouvelle vision de la liberté. Enfin, nous nous attarderons sur le personnage d’Oreste, héros principal de la pièce de théâtre « les mouches ». La Liberté est tout d’abord définie comme un pouvoir d'agir ou de ne pas agir. C'est un état qui est opposé à la captivité, à la servitude et à la contrainte. C'est l'état d'une

cette présente analyse nous constaterons les arguments de Clytemnestre qui motivent son opposition face au sacrifice. D’une part, celle-ci à la volonté d’être une bonne mère. D’autre part nous verrons qu’elle trouve que le roi ne souhaite que la gloire et non le bonheur de son enfant. Finalement qu’elle attribue le malheur de sa fille au sauvetage de sa sœur, Hélène, qui selon elle a toujours eu une conduite indigne. D’une part, Clytemnestre est déchirée par le sacrifice de sa fille, car elle est

atteindre Troie, car les dieux retiennent les vents nécessaires au départ de l'expédition. Agamemnon, leur chef, est donc contraint de consulter l’oracle Calchas, qui lui ordonne de sacrifier sa fille, Iphigénie, afin d’apaiser la déesse Diane. Dans le chaos provoqué par les indécisions d'Agamemnon, Iphigénie se soumet aux volontés de son père. Ambition d'Agamemnon, désir de gloire d'Achille, orgueil de Clytemnestre, jalousie d'Ériphile : la pièce donne à voir des passions déchaînées qui, toutes, font