Personnage De Néron

Racine utilise plusieurs procédés stylistiques pour ainsi donner du relief et de l’intensité à l’horreur représentée : tout d’abord, le choix du personnage porteur du récit des événements, Burrhus, étranger aux agissements machiavéliques et donc particulièrement horrifié, voire terrorisé. Pour donner plus de vie à son récit, Burrhus rapporte les propos de Néron, l’usage du style direct introduit ainsi le spectateur tel un témoin au milieu du banquet et des convives. L’adverbe « mais » et la locution

sur la princesse, ses activités, ses pensées et la dernière serait l'introspection sur le duc de Nemours. PROBLEMATIQUE : contraste, ressemblances et parallèle pour réinventer le topos du regards amoureux → début, pas d'appartition des personnages principaux, présence d'un tiers qui espionne. → louanges excessives du gentilhomme espion : « avec toute l'exactitude imaginable » → suit le Duc de N → scène de crime, il fait nuit, un homme en suit un autre qui pénètre ce dernier dans un jardin

Forme de comique reposant sur l’éxagération + emploi d’un voc grossier , familier pour parler d’un sujet noble a) Un sujet noble Lieu : palais (didascalie initiale ) Enumération des titres de noblesses + terres Proclamation des édits (l40) Personnages de noblesse ( roi , compte , duc , …) b) Un sujet détourné de façon comique Comique de mot : jurons « merdre (v1) , « boufferesque » + injures « tu as une sale tête » , « stupide bougre » Visuel , gestuel = usine ou jeu = nobles arrivent , on

galante d’Hippolyte mais aussi une fragilité amoureuse en plus d’un aspect jaloux de Phèdre. Racine justifie cette création en soutenant qu’ainsi il est montré que le personnage d’Hippolyte n’est pas uniquement bon. De là émerge la tragédie (personnages caractérisés par une part de « bon » et une part de « mauvais »). Le personnage d’Aricie accélère l’intrigue à la fin de la pièce car Phèdre découvrant la liaison entre Hippolyte et Aricie, décide de ne plus protéger Hippolyte ce qui entraîne la mort

essai sur les théories du théâtre : de la poésie dramatique. dans le Paradoxe du comédien, en 1773, Diderot Explique que le talent de l'acteur consiste à reproduire mécaniquement et sans émotion les gestes du personnages qu'il joue. En aucun cas l'acteur ne doit "vivre" les sentiments du personnage joué. 1760 : Diderot écrit La Religieuse, roman par lettres qui fait la satire de la vie conventuelle. 1761 : Diderot rencontre Jean-François Rameau, le neveu du musicien ( 1883-1764), et

de l’absolutisme :  Louis XIV impose l’idée de la domination d’un seul (prestige du monarque, centralisation des talents, des charges et donc des richesses, à la cour de Versailles). La seule gloire dispensée est celle du  monarque. Ainsi, les personnages de RACINE ne sont plus de  vaillants héros recherchant l’exploit chevaleresque qui fondera leur gloire et assurera leur conquête amoureuse (comme chez CORNEILLE par exemple) • Le refus des faits d’actualité : aucun des événements importants de l’époque

texte propose donc une syntaxe très simple, très épurée. b. Le choix de phrases simples, sans lien de coordination, donne au lecteur l’impression qu’il assiste en quelque sorte à la scène évoquée. Le narrateur est effacé, seules les actions des personnages sont transcrites. Ces choix manifestent donc un parti pris de neutralité, une mise en valeur brute de l’action au détriment des circonstances. C’est au lecteur de les reconstituer. L’emploi du présent et le choix de phrases courtes soulignent également

texte propose donc une syntaxe très simple, très épurée. b. Le choix de phrases simples, sans lien de coordination, donne au lecteur l’impression qu’il assiste en quelque sorte à la scène évoquée. Le narrateur est effacé, seules les actions des personnages sont transcrites. Ces choix manifestent donc un parti pris de neutralité, une mise en valeur brute de l’action au détriment des circonstances. C’est au lecteur de les reconstituer. L’emploi du présent et le choix de phrases courtes soulignent également

VI. – Scène dernière. • Esther • Préface • Noms des personnages • Prologue • Acte premier – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. • Acte deuxième – Scène I. 11 Théâtre complet Scène II. Scène III. Scène IV. Scène V. Scène VI. Scène VII. Scène VIII. • Acte troisième – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. – Scène VI. – Scène VII. – Scène VIII. – Scène dernière Athalie • • Préface • Les noms des personnages • Acte premier – Scène I – Scène II – Scène III – Scène

ce n'est que mon interprétation! j'espère t'avoir aidé! 8Rumplestilskin07/05/2008 à 15:50 Bonjour en révisant mes textes de français, j'ai pensé a rapprocher deux textes de voltaire : - le chapitre XXX de candide où candide et les autres personnages du conte se retrouvent dans une petite propriété qu'ils exploitent. Le travail apprend à chacun que le bonheur est à la mesure de ses efforts. - le poème Le Mondain où voltaire explicite sa conception du bonheur, un bonheur épicurien. Voilà