Personnage De Pecqueux

roman La bête humaine, Zola, aborde le thème du meurtre et de la brutalité. Derrière la civilisation, se cacherait donc une violence primitive et « animale », ce qui confère, à la fin du XIXe siècle, un caractère moderne à la démarche de Zola. Les personnages de son œuvre sont ainsi, liés par le besoin de meurtre. Tout d'abord, le protagoniste principal, Jacques Lantier, est présenté comme un homme sérieux, assidu dans son travail bon et aimé des femmes, allant prendre des nouvelles de sa tante Phasie

littérature française. Il fut aussi un ardent combattant pour la justice et la vérité, lors de l'affaire Dreyfus, qui déchira la France de la IIIe République. Ses romans les plus connus sont : Germinal, La curée, L'assomoir et Au bohneur des dames Les personnages : Roubaud : t employé modèle et mari amoureux, il devient meurtrier par jalousie puis il tombe dans une déchéance profonde : culpabilité, alcool, apathie, jeu, jusqu'au désintérêt de sa propre personne. Jacques Lantier : Le "Rougon-Macquart"

« renversait son visage soumis » « d’une tendresse suppliante » mais le roman nous montre pour la première fois la fureur meurtrière de Jacques poussé à son extrême limite, la déraison et le crime. Il nous signal également la disparition de l’un des personnages principaux (Séverine) et de ce fait sa délivrance pour le meurtre du président Grand-Morin. Celle-ci ayant compris les intentions meurtrières de son amant grâce aux verbes de perceptions « aperçu », « voyant » reste « béante de surprise et de

Emile Zola publie La Bête humaine, dix-septième volume de la série colossale des Rougon-Macquart. L’action se déroule le long de la ligne de chemin de fer entre Paris et Le Havre, et relate l’histoire d’un mécanicien, Jacques Lantier. Le second « personnage » central de ce roman est La Lison, sa locomotive, qu’il traite comme un être humain. Dans cet extrait, un accident a été provoqué par Flore, qui, jalouse de la relation amoureuse de Jacques et Séverine, veut entraîner leur mort. Plan détaillé :

Séverine inanimé) sont condamnée pour les deux meurtres. Jacques conduit sa locomotive lorsqu’une bagarre éclate entre lui et son chauffeur, Pecqueux, car Jacques a couché avec sa maîtresse. Ils tombent de la locomotive et meurent tous les deux. La mort de Jacques, le héros de l’histoire, met fin aux actions. La fin est très brutale et les personnages principaux sont tous morts (Jacques, Séverine…) ou malheureux (Roubaud, Cabuche…). Les trains continuent de circuler, la vie continue. Les crimes

de ses personnages. Selon lui, derrière la civilisation se cache une grande violence où les passions meurtrières et amoureuses sont liées. En quoi la bête humaine se présente t-elle comme une oeuvre naturaliste ? Pour répondre à cette question, une étude de personnages est mise en place ainsi qu'une analyse sur l'intrigue des meurtres et pour conclure : l'inspiration grâce aux inventions technologiques au 19eme siècle. Dans son roman, Zola veut montrer la complexité de ses personnages. Il entre

ses écrits. En décrivant la Lison comme une femme, il crée un mythe. De plus, nous voyons bien à la suite du récit l'importance de ce passage, c'est un tournant décisif qui entraîne la mort des autres personnages : Flore se suicide après le déraillement du train et le combat entre Jacques et Pecqueux finit en accident mortel, car depuis cet épisode, ils se détestent.

mémoire). Les étudiants doivent aussi photocopier des pages trouvées dans un dossier en réserve à la bibliothèque: le dessin fait par C. Bertrand-Jennings, une de mes deux publications sur ce roman, dix pages du Dossier préparatoire de Zola (Section « Personnages » (12 folios) et naf 10274: folios 338, 346-7, 353-55, et trois images: une de la publicité mélodramatique pour le roman, une photo de la Tour Eiffel prise par Zola, et une image de Jacques dans la locomotive.2 Plus tard, pendant nos lectures, on

fou » Cet extrait ce situe à la toute fin du roman La Bête Humaine d’Émile Zola écrit en 1890. Ce roman est issu de la série Les Rougon-Macquart, Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire. Juste avant cette extrait Pecqueux découvre que sa maîtresse le trompe avec Jacques, ce qui entraîne un corps à corps sur la locomotive 608, ils chutent tout deux accidentellement et meurent broyés sous les roues de cette dernière. Sans chauffeur ni mécanicien, le train fou continue

Compagnie ne lui donnait que cent francs par an, mais elle s'en faisait près de quatorze cents, avec la recette, sans compter le logement, cette chambre où elle était même chauffée. Enfin, une situation bien agréable. Et Roubaud calculait que, si Pecqueux, le mari, avait apporté ses deux mille huit cents francs de chauffeur, tant pour les primes que pour le fixe, au lieu I 10 La Bête Humaine de nocer aux deux bouts de la ligne, le ménage aurait réuni plus de quatre mille francs, le double de ce