Personnage Du Docteur Rieux

L'histoire commence le matin du 16 avril 194., date non précise qui nous laisse présager une analogie avec les évènements tragiques qui se sont déroulés pendant cette période. Le docteur Rieux découvre, ce jour là, le cadavre d'un rat sur son palier. Il est étonné mais il n'en prend guère attention. A midi, Rieux accompagne à la gare son épouse qui part se soigner dans une ville voisine. Quelques jours plus tard, une agence de presse annonce que plus de six mille rats ont été ramassés le jour

 La peste – Albert Camus Exposé : le personnage de Tarrou. Introduction : Jean Tarrou = un des personnage principal de la peste. Apparition au début du récit dans la cage d'escalier de l'immeuble du docteur Rieux. ( partie I - p19) Au début du récit (partie I – p28-29), Tarrou est un personnage énigmatique. On en apprend un peu plus sur lui seulement à la 4ème partie du récit. (p222). Présentation du plan. Portrait physique : «  encore jeune, à la silhouette lourde, au visage

Carnet de bord – La Peste – Albert Camus Parties | Quand ? Indices de temps | Quoi ? Résumé de l’action | Progression de la maladie | Proposition de titre | Personnages (principaux, secondaires) | I | - En 194…- Le matin du 16 avril- Le lendemain 17 avril à huit heures- L’après-midi du même jour- Le lendemain matin, 18 avril- Dans les jours qui suivirent- Dès le quatrième jour- La journée du 25- Le 28 avril- Le lendemain- Le même jour à midi- Après le déjeuner- Quelques minutes plus tard-

Carnet de bord – La Peste – Albert CamusParties | Quand ? Indices de temps | Quoi ? Résumé de l’action | Progression de la maladie | Proposition de titre | Personnages (principaux, secondaires) |I | - En 194…- Le matin du 16 avril- Le lendemain 17 avril à huit heures-   L’après-midi du même jour- Le lendemain matin, 18 avril- Dans les jours qui suivirent- Dès le quatrième jour- La journée du 25- Le 28 avril- Le lendemain- Le même jour à midi- Après le déjeuner- Quelques minutes plus tard- A ce moment-

. ( Relater objectivement certains événements historiques). 2. Résumé apéritif. Depuis un certains temps , dans la ville d Oran , la paix , la sérénité et la tranquillité étaient en harmonie avec ses habitants . Mais un jour , Rieux , un docteur , découvrit un rat mort en bas du palier . Le lendemain , il retrouva de nouveau un autre petit corps inerte .Sur ce fait , il ne découvrit aucune explication et il accusa certains plaisantins de les avoir introduits dans sa maison . Hélas

d’un enfant est un échec pour un médecin, qu’un enfant meurt prématurément est incompréhensible. Le docteur à un sentiment d’impuissance, il est animé de colère, de révolte. Sachant que c’est un médecin, il est en capacité de le sauvé mais l’enfant est mort donc il n’a pu rien faire. Lors d’un serment auxquelles le docteur a assisté le prêtre dit que la peste est un châtiment divin, alors là le docteur dit que l’enfant est «  innocent » donc pour lui c’est incompréhensible, l’enfant n’a pas fait de

LA PESTE - CAMUS Étude 1 : L’incipit «le matin … farce » I) Le récit Le temps du récit est au passé simple « sortit » « écarta » «retourna » décrit les actions du personnage Mais on observe aussi de l’imparfait «  avait » « était » « restait » qui est utilisé pour décrire les pensées des personnages Employé avec l’imparfait, le passé simple exprime une action soudaine. On peut notamment observer un verbe du passé composé «  avait paru » Le narrateur est «  extérieur » à l’histoire présence

« gerbes multicolores » l.6, « cris d’allégresse » l.17§ « allégresse » récurrent comme pour compenser le mal mais Rieux nuance cette joie, elle est précaire avec « toujours menacé » l.18II Rieux : symbole de l’homme révoltéOn s’aperçoit qu’il prend un ton d’introspection et un ton didactique.1) Un ton d’introspection§ L’introspection commence avec « le vieux avait raison » l.3§ Rieux en décidant d’écrire cette chronique (avec «rédiger le récit » l.7) passe dans le camp de ceux qui vont se révolter

que l’évolution morale et physique des personnages dans la maladie. La partie I est consacrée à la description de la ville avant qu’elle ne se voit accablée par le fléau, puis se finit par l’identification de la maladie par le vieux Castel : la population reste résignée à cette idée, et persiste à croire que la maladie ne les touchera pas ; Rieux définit les hommes « d’humanistes » car ils ne pensent qu’à eux : il dénonce leur égocentrisme. Les personnages principaux demeurent pour la plupart inquiets

créer un service de bénévoles. Il en parle à Rieux qui, bien sûr, lui donne raison mais ne voit pas très bien qui acceptera. Il se trompe ! Tarrou va former, avec son aide, toute une équipe à l’intérieur de laquelle il travaillera en collaboration avec Grand, Panelou et même Rambert. Pourtant, celui-ci avait enfin trouvé le filon pour s’échapper d’Oran ! Mais il recule à la dernière minute s’estimant solidaire de cette ville et de ses habitants. Rieux, qui comprenait ses motivations, n’en revient