Personnage Jean Azevedo

plus secrètement, elle espère que ça l'aidera à devenir une femme comme tout le monde. 5. Que ressent Thérèse pour son mari et pourquoi ? Elle ne parvient pas à l'aimer. Elle le trouve trop borné. 6. Qui est Jean Azévédo ? C'est le fils d'une famille de métayers de la région . 7. Que pensent les Desqueyroux de lui ? Ils le méprisent car il est juif ; autrement dit, ce sont des antisémites.

l’avait réellement épousé. Elle savait en effet qu'en épousant Bernard, elle se rapprocherai d'Anne. Suite à son mariage, Thérèse se sentait malheureuse et dépourvue de liberté. Elle ne supportait pas l'idée qu’Anne et Jean Azévedo puissent connaître le bonheur. Thérèse voyait en Jean quelqu'un d’intelligent et ouvert d'esprit, elle ressentait donc une certaine attirance envers lui. Seulement il était déjà trop tard ; En effet Thérèse attendait un enfant de Bernard mais n’appréciait pas particulièrement

qu’elle ressent depuis le début de l’intrigue reste très présente « un jeune homme qui souffrait à cause d’elle » ou bien « l’empechait de respirer », ce qui prouve qu’elle reste lucide. En outre, elle s’imagine très entourée socialement « avec Jean Azévédo et des jeunes femmes ». Elle est au cœur de toutes les attentions, « elle parlait, expliquait, enchantait » Même intellectuellement, le lecteur comprend qu’elle est entouré de gens de lettre qui lui propose même d’écrire dans un journal « Vous

marqués profondément son œuvre (notamment les Landes de Gascogne que l’on retrouve dans Thérèse Desqueyroux). En 1907, à l’âge de 22 ans, il s’installa à Paris pour ses études qu’il abandonna afin de se vouer entièrement à l’écriture. En 1913, il épousa Jeanne Lafon avec qui il eut quatre enfants. Sa carrière littéraire fut interrompue par la première guerre mondiale : il travailla dans un hôpital avant de reprendre ses activités dès la Victoire de 1918. En 1922, il écrivit Le baiser au lépreux. Il reçut

de Thérése, celui du narrateur, et celui, parfois, des autres personnages, auraient contribué, parait-il, á l'élaboration d'une composition assez complexe de la narration qui toumerait au profit de la vraisemblance. Ainsi, le roman de Mauriac semble étre, pour une grande partie, un soliloque. Le processus de communication serait axé sur «je-je», une autocommunication. Ce qui nous permettrait de pénétrer dans l'interieur du personnage, vu par lui-méme. On aurait, donc, accés direct á la représentation

psycologie même de thérèse, malgré tout l'auteur nous surprend toujours avec ces réaction et celle de son mari. Mauriac arrive aussi a tellement bien jongler avec le passé, le présent et le future qu'on s'y pert avec plaisir. Nous avons apprécier le personnage même de thérèse (ce qu'y est on pense le but du roman) son ambition, sa franchise, et son ironie face au monde de la bourgoisie et de son époque. La chute du livre nous aussi apprécier le roman le fait que l'on soit dans l'indécision: est elle

Thérèse Desqueyroux ou l’itinéraire d’une femme libre Une étude de Jean-Luc. Mauriac est, au cours des années 20, fasciné par ces êtres hors norme que sont les meurtrières et plus particulièrement les empoisonneuses. En 1925, il demande à son frère Pierre des documents sur le procès de Blanche Canaby qui, en mai 1906, avait été acquittée devant les assises de Bordeaux d’une tentative d’empoisonnement sur son mari, mais condamnée pour falsification d’ordonnance. Cette attirance se manifestera

rappelle son voyage de noces, tout deux sont à Paris, dans une chambre et la direction de l’hôtel leur remet un paquet de lettres parmi lesquelles se trouve une lettre de la mère de Bernard à son fils, qui lui apprend qu’Anne est amourachée du fils Azévedo ; la mère demande à son fils d’inciter Thérèse à faire la morale à Anne, car ce jeune homme est juif. Également dans ce même paquet se trouvent trois lettres d’Anne à Thérèse envoyées à trois dates différentes et elle les ouvre donc de manière chronologiques

pleine de souffrance et agitée de luttes contre cette situation. Leurs souffrances possèdent maints éléments semblables. Or chacune lutte avec sa souffrance de façon différente. Nous avons déjà mentionné plusieurs fois que nous analyserions les personnages de Thérèse Desqueyroux, Noémi d’Artiailh, Félicité et Mathilde Cazenave. Nous regarderons en premier lieu une brève description de leur histoire et de leur caractéristique. Ensuite, nous présenterons les éléments communs  des causes de leurs souffrances:

physique, Jean Azévédo dans le roman de Mauriac est un amant platonique. « Dès le commencement, les amants (...) s’embrassèrent, sans embarras, sans rougeur, comme si leur intimité eût daté de plusieurs années. » « Comment persuader Bernard que je n’ai pas aimé ce garçon ? Il va croire sûrement que je l’ai adoré. Comme tous les êtres à qui l’amour est profondément inconnu, il s’imagine qu’un crime comme celui dont on m’accuse ne peut être que passionnel. » Je veux encore mentionner un personnage : la