Personnage Ordinaire Et Malheureux

« Le » : articlé défini + la préposition «  de » qui introduit le complément d'objet direct «  de la fête » ===> insiste sur le fait que ce jour soit un jour spécial, qui le distingue des autres jours quotidiens, s'oppose implicitement aux jours ordinaires. De +, utilisation du passé simple « arriva » ==> exprime des faits importants et qui font avancer l'action. De +, a une valeur ponctuelle d'annoncer une action soudaine, unique. ===> renforce le fait de l'importance du bal aux yeux de Madame

volonté de réalisme. • 1ère personne du singulier « je » apparaît plusieurs fois Le narrateur intervient plusieurs fois et dit avoir connu le héros. • Recours au présent de l’indicatif : pour accentuer l’idée précédente. II. La présentation d’un personnage extraordinaire. a. Par sa taille • Champ lexical de la grandeur (32 Kilomètres de haut) • Abondance de chiffres. • Opposition à la Terre présentée comme minuscule. b. Par son statut social Il est désigné par : « M. Micromégas », « Son Excellence

représentations théâtrales étaient données. Les pièces jouées racontaient des histoires dramatiques et comiques. Deux grands genres existaient alors : - Les tragédies : Les héros des tragédies grecques étaient des rois, des princes ou des personnages issus de la légende et de l’épopée. La tragédie était un drame Figure 1 : Comédien du théâtre grec jouée par les acteurs et un chœur qui commentait en chantant l’action qui se déroulait sur la scène. Auteurs principaux : Eschyle, Sophocle, Euripide

spectateurs (qui sont souvent issus de la haute noblesse et vivent à la cour du roi). Ainsi les événements violents (batailles, meurtres, suicides...) peuvent exister dans la pièce mais ne seront pas joués sur scène. Ils seront par exemple racontés par un personnage qui y a assisté. ex: on ne peut pas répandre de sang sur scène ex: dans une tragédie, il faut que le ton soit toujours noble et élevé D'autres consignes a suivre par les auteurs pour en faire une tragédie : La tragédie : l'action est placée

amants et ce sont eux qui ont assassiné Agamemnon. Oreste les tue par vengeance. Les Corinthiens prennent la ville d’assaut. Le jour se lève sur un spectacle de ruines et de sang. C’est l’aurore généralement symbole de renouveau et d’espoir. Personnages : Electre est la fille d’Agamemnon, roi d’Argos mort dans de mystérieuses conditions, et de Clytemnestre. C’est une jeune fille impitoyable, qui par idéalisme exige « la justice intégrale » et qui hait farouchement sa mère. Oreste c'est-à-dire

nouvelle). Les composantes visuelles et orales vont être comme suit : les élèves devront présenter une partie de leur nouvelle dont ils sont extrêmement fiers et expliquer pourquoi ils sont fiers. Ils doivent aussi présenter un portrait de leur personnage principal en nous expliquant ses traits. (voir le tableau du portrait à utiliser) – Effectuer un remue-méninges pour trouver des idées par rapport au projet final proposé et pour dégager le vocabulaire et les structures liés à ce projet final

démesure des personnages antithétiques. Pour commencer nous nous intéresserons à la notion d’agôn. Le dialogue entre Œdipe et Tirésias fournit un exemple particulièrement intéressant à cet égard. Il s'agit d'une scène d'agôn, ici on peut employer ce terme car il y a un débat régulier, un duel oratoire au cours duquel la parole est prise successivement par chacune des deux partis, où les points de vue en sont défendus jusqu'à épuisement d’arguments. Telle est la marche ordinaire des scènes

beaucoup de gros plan pour montrer les expressions des personnages. Il y a également une abondance de pluie constante traduisant une certaine tristesse des personnages ainsi qu’une atmosphère sombre dans les tranchées. Tout au long du film, il y a une omniprésence de la musique excepté pendant les scènes de guerre. Cette musique donne bien le ton du film. Les actions sont accompagnées d’une musique triste qui reflète la tristesse des personnages, d’une musique joyeuse comme lorsque Mathilde et Manech

tout ce qui aura quelque rapport avec lui, il deviendra bientôt à ses propres yeux un objet de haine, d’aversion et d’horreur. Car la nature, souvent plus marâtre que mère, a donné à tous les hommes, et surtout à ceux qui ont quelque sagesse, un malheureux penchant qui les porte à dédaigner ce qu’ils ont, pour admirer ce qu’ils n’ont pas, penchant funeste qui altère et détruit enfin entièrement tous les avantages, tous les agréments, tous les charmes de la vie. À quoi servira la beauté, présent le

nouvel environnement où la personne qui y est confrontée peut s’imaginer s’y plonger pour y vivre). Pour qu’un écrit soit considéré comme appartenant au registre du fantastique il faudrait donc que : le lecteur parvienne à considérer le monde des personnages du roman comme un monde de personnes vivantes et hésite entre une explication naturelle et une explication surnaturelle des événements que l’on découvre dans l’histoire. De plus, cette hésitation doit être énoncée dans le roman et faire partie