Personnages de l'Héritage

Voltaire à voulu éviter la censure. Les personnages sont peu décrits, seul le Héros est nommé, Memnon, mais on ne connait rien de lui. Au contraire, les deux autres protagonistes qui font leur apparition dans le quatrième paragraphe, ne sont pas nommés. Celles-ci sont d’autre part décrites, peu mais on apprend que l’une est « jeune et jolie » (l.23) et que l’autre est « vielle » (l.23). Le fait que les personnages ne soient pas décrits fait aussi parti de l’héritage du conte merveilleux, ou l’on ne connait

sacre, toge pourpre avec la couronne de laurier. IL couronne josephine qui est agenouillée et ne reçoit pas la couronne des mains du pape. Second et arrière plans Sur le second et l’arrière plan on peut voir la famille de l'empereur, des grands personnages d'Etat, pape et membres de l'Eglise et ambassadeurs. Maria Letizia, mère de Napoléon, a été placée dans les tribunes par le peintre. En réalité, elle n'a pas assisté à la cérémonie mais demanda au peintre de lui attribuer une place d’honneur.

certain nombre de personnages historiques apparaissent (« Henri II ; Diane de Poitiers ; Elisabeth ; Marie Suart ; Le duc d’Orléans. ») La vie de cour est représentée de façon très précise : procédés d’écriture : énumération ligne 12. Il y a donc une volonté d’afficher la cour avec une certaine authenticité. Authenticité corroborée par la galerie de portraits. La galerie est organisée selon un principe d’ordre de hiérarchie stricte car le narrateur commence par les personnages les plus importants

met en scène des personnages bien identifiés, des situations enracinées dans la réalité contemporaine. • Retour au désert : affrontement, situation banale, à l’intérieur d’une famille (qui peut faire penser au drame bourgeois de Diderot). Le cadre géographique : la France ; historique : après la guerre d’Algérie ; les protagonistes : Adrien Serpenoise, un ancien colon, qui dirige une fabrique / sa sœur Mathilde ; ils ont des préoccupations quotidiennes, matérielles (l’héritage de leur père). ©HATIER

« petite ville de Bohême ». Le père subvient à leurs besoins, tout en désapprouvant l'attitude de son fils, qui gâche selon lui sa jeunesse et son talent. Une année passe. Le père d'Ellénore meurt et les amants partent tout deux en Pologne pour toucher l'héritage. La vie là-bas ennuie profondément Adolphe, qui finit par se lasser du pays et découvre que son amour pour Ellénore a passé. Il aimerait partir, mais hésite et reviens toujours auprès d'elle, bien que cette situation le rende extrêmement malheureux

normands, qui va grimper les échelons de la société à l’aide des femmes pour combler son bonheur presque illimité. Ce récit se passe dans le Paris du XIXème siècle lors du développement de la presse. Georges Duroy en est le personnage principal. Il y a beaucoup à dire sur ce personnage mais on peut s’interroger sur le statut de héros. Dans la mythologie, le héros est un demi-dieu et dans un second sens le héros est une personne invincible « qui se distingue par des exploits des qualités exceptionnelles

faits réels ou sur le thème du meurtre. Réflexions Personnelles. a) Thème traversant l'oeuvre : - Le thème le plus récurrent est celui des chemins de fer, du train. Il revient beaucoup lorsque l'on parle des pensées des personnages ; un train passe, le personnage regarde à sa fenêtre le train passer, on parle également beaucoup du chemin de fer qui « coupé un endroit en deux. «  A La Croix-de-Maufras, dans un jardin que le chemin de fer a coupé, la maison est posée de biais, si près de la

dos. La vénus est installée à l’intérieur d’une chambre, lieu d’intimité dans lequel la Vénus nous invite à rentrer par le jeu du reflet sur le miroir. Le décor est très épuré et montre que Vélasquez a préféré concentrer son attention sur le personnage féminin. La composition du tableau est faite de lignes sinueuses : le corps lascif de Vénus répond aux courbes des drapés du lit et au rideau d’une teinte rose-rouge. Le décor et la composition rendent donc la scène compréhensible puisqu’aucun détail

lui propose d’intégrer l’école du TNS ; il y entre en section scénographie, puis y réalise une dizaine de mises en scène. Il commence alors à écrire pour le théâtre. En 1970, il monte sa propre troupe de théâtre, le « Théâtre du Quai » et écrit L’Héritage que Maria Casarès lit pour la radio. Entre un passage au Parti communiste français (1974-1978), de nombreux voyages en Amérique latine, en Afrique et à New York, Koltès crée de nombreuses pièces, comme le long monologue écrit pour Yves Ferry La

se promène souvent seul, remarque qu'on ne l'attend plus pour le dîner, et que toutes les discussions tournent autour de son frère cadet et de sa fortune. Il est incompris.(CITATION) En effet, Jean ne s'aperçoit pas des interrogations que suscite l'héritage chez Pierre, et lorsque sa mère lui fait des aveux, il a une réaction opposée à celle de son frère aîné : il rassure Madame Roland et prend soin d'elle. Monsieur Roland, quant à lui, semble très naïf et ne se rend pas compte du malheur de Pierre