Personnages De Ravage

prudent et qu’il prenne beaucoup de risques. Comme elle le dit, il est plutôt solitaire, grave et c’est un personnage mélancolique, elle dit que ce sont les trois gourmandises de son caractère. Il veut retrouver un de ses amis, carbonaro comme lui, qui serait dans la région de Manosque, son nom est Guiseppe. Son ami a une lettre et de l'argent de sa mère. Mais nous sommes en 1830 et le choléra ravage Marseille et tout le sud de la France. Angelo Pardi décide de se rendre quand même dans cette région

Panneau de droite : Ce panneau contient un autoportrait, Otto DIX se représente en sauveur transportant dans ses bras un soldat blessé. C'est le seul qui fait face au spectateur et qui avance vers le premier plan, enfin il est également l'unique personnage qui ne porte pas d'uniforme complet du soldat : ni casque, ni arme, il avance à découvert ne craigany pas l'attaque ennemie. Prédelle : Panneau inférieur : le peintre représente ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif : des soldats

objective * Panneau central : l'arrière plan du panneau central est occupé par la représentation de ruines : restes de maisons écroulées ou calcinées, paysage désertique au sein duquel aucune trace de présence humaine ne subsiste, évocation des ravages causés par les bombardements. Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés  surplombé par un cadavre, qui à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et a la peau parsemée

1942. Il sera un résistant très actif durant la seconde Guerre mondiale. Avec Sartre il fût l’un des plus grands philosophe de l’après guerre.    La Peste, d’Albert Camus, est un roman écrit en 1947 dont le personnage principal est le docteur Rieux qui combat sans relâche l’épidémie qui ravage la ville d’Oran. Son genre est précisé « Chronique » (Analyse personnelle de la société contemporaine). Camus : « La Peste, dont j’ai voulu qu’elle se lise sur plusieurs portées a cependant comme contenu

porte-manteau en arrière plan est vide, ce qui signifie que les personnages ne peuvent rien accrocher avec leurs invalidités. Celui-ci ressemble fortement à des crochets de boucherie, preuve qu’ils sont entre la vie et la mort. Ce tableau est un plan d’ensemble. Seconde partie : Interprétation Quel est le message du peintre, que veut-il montrer ? Dans cette toile, l’auteur dénonce et critique les ravages de la guerre. Les mutilations corporelles mises en évidence renvoient

œuvre, Zola décrit le monde ouvrier avec sa langue, ses mœurs, et les ravages causés par la misère et l'alcoolémie. Ce roman s'inscrit parfaitement dans les idées naturalistes. Effectivement, à partir de 1848, les romanciers se veulent «  les historiens du présent », les observateurs scientifiques de la société et sont à la recherche de «  l'illusion du vrai » dans leur œuvre. Pour cela, le plus souvent, ils utilisent comme personnages principaux des individus déclassés, issus de milieux populaires.

représenté dans le panneau de gauche, l'arrière plan du panneau central est occupé par la représentation de ruines : restes de maisons écroulées ou calcinées, paysage désertique au sein duquel aucune trace de présence humaine ne subsiste, évocation des ravages causés par les bombardements (bataille de Verdun). Au premier plan c'est la tranché, avec des cadavres dechiquetés, tous les uns sur les autres.Au dessus de cet amas de viscères et de corps, flotte un squelette embroché sur un résidu d'architecture

allemands qu'on reconnaît facilement grâce à leurs casques. Les soldats sont très lourdement chargés. Ils font rentrer le spectateur dans le tableau. Panneau central : On est sur le champ de bataille. Au fond, on distingue un paysage dévasté, ravagé, par les obus. Les arbres sont déchiquetés, ils perdent leurs feuilles et branches. On perçoit des cratères, les formes d'arbres font pense a des croix, similaires a ceux qu’on pouvait retrouver sur le champ de bataille. Au premier plan, dans une

caracteristique des guerrier gaulois et les cheveux roux. Il s'agit donc d'une defaite puisque les deux soldat sont attaché avec des cordes et encerclé par de nombreux soldat romains. Il y a superiorité numerique du vainqueur De plus la ville ravagé par les flammes en haut à gauche du tableau fait penser à la la ville gauloise d'alesia. Le bras de vercingetorix fait signe d'abandon. 2) de l'inégalité à la superiorité du vaincu On remarque que l'espace occupé par vercingetorix et son

le front et ses atrocités. Panneau central : L'arrière plan du panneau central est occupé par la représentation de ruines : restes de maisons écroulées…Paysage désertique au sein duquel aucune trace de présence humaine ne subsiste, évocation des ravages causés par les bombardements . Au premier plan c'est la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides,