Personnages Debout Les Morts

tricolore -Révolution de 1830 -monarchie de juillet description : 1er plan : -nuage de poussière -brandissant des armes -1 femme au centre -franchisement des barricades -déesse mythique -arrivent dans le camp adverse -mène à la libertée -4 personnages en tête debout -A leurs pieds gisent des soldats 2eme plan : -L’action s’élève en pyramide Le second est au centre, vertical, celui du peuple vivant, en marche. C'est l'assaut final, la foule converge vers les spectateurs. Dans ce mouvement on perçoit

scandale social et politique. Description de l’œuvre : La scène se passe sur l'eau. Le ciel est nuageux et sombre. On voit des personnes. Ce sont des hommes, d'âges différents. Certains sont habillés, d'autres sont en partie dévêtus. Les hommes sont debout, assis ou couchés sur un radeau. Il y en a un que l'on ne voit pas en entier, en bas à droite. Ils regardent presque tous vers le fond du tableau. Il y en a deux qui tendent le bras en tenant un tissu dans la main. Le radeau est fait avec des planches

marbre. C'est ce légitime appel du monde des rêves qui vient bouleverser nos certitudes et embraser notre imagination. C'est celà, la poésie, le berceau de l'indéfini : on y nout le subjectif et l'objectif, on y fait parler les choses inanimées et les morts.. J'ai particulièrement étais touché par trois des poèmes de Guillaume Apollinaire : " Rhénane d'Ataumne ", " La Loreley " et " Nuit Rhénane ". Quand l'un me fera rêver à d'incommensurables et de lointains horizons d'Allemagne et me bercera

Histoire des Arts Les monuments aux morts Domaines Arts du quotidien / Arts du visuel Thèmes Arts, créations, cultures / Arts, Etats et pouvoir / Arts, mythes, religions / Arts, techniques, expressions / Arts, ruptures, continuités Contexte historique S’interdire l’oubli Avec 8 millions de morts et 6 millions d’invalides en Europe, la guerre a engendré un profond traumatisme. Les traces de guerre obsèdent les sociétés des années 1919-1939. Les cérémonies commémoratives, la présence dans

chambres à gaz ou fours crématoires directement après leur sélection. Ils n’avaient aucune chance d’être sélectionnés pour le travail. Mais certains sont tout de même restés soit avec leur mère ou leurs soeurs et frères; Les femmes; les personnages agés ; les faibles sont envoyés dans les chambres à gaz puis dans les fours crématoires ; les hommes; Ensuite, ils sont fouillés, puis les SS les obligés à abandonnés tout leurs biens, ils leur décerner un matricule qui était tatoué sur

gauche à droite ou de haut en bas. Position du personnage ( assis, couché, debout ), ou orientation ( bien regardé main, pied + expressions du visage ) Différents accessoires ( chemise, seau, fils barbelés ) Environnement ( poteau de fer, terre, gravier, planche de bois, lumière ) … Vêtements ( encore là ? ) Parler des plans : Américain : genou Plan rapproché taille Plan très rapproché Vue de semi ensemble 3 - Interprétation a) Côté personnage Si dehors du cercle : libre Si dedans

au musée du Louvre à Paris. Il s’agit d’une huile sur toile mesurant 4,91 m x 7,16 m. 2. Analyse thématique : Les éléments représentés sont une montagne d’hommes les uns sur les autres, certains sont morts, d’autres à bout de force, ceux qui le peuvent encore sont debout sur un tonneau en haut de la pyramide humaine et agitent des tissus afin de faire signe au bateau venu les sauver que l’on aperçoit au loin. On distingue au premier plan un homme âgé tenant dans ses bras un jeune homme

ne connaissait plus les chefs ni le drapeau. Hier la grande armée, et maintenant troupeau. On ne distinguait plus les ailes ni le centre : Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés On voyait des clairons à leur poste gelés Restés debout, en selle et muets, blancs de givre, Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre. Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs, Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants, Marchaient

franchit la barricade et déferle vers le camp adverse. Le spectateur n’est pas passif. Il est dans la position de l’ennemi. Il doit soit fuir, soit combattre. On sent bien le mouvement de ce groupe. Il avance au milieu des morts et des blessés. A sa tête, 4 personnages debout, avec au centre une femme. Ces hommes sont d’origines sociales diverses, comme on peut le voir à leur allure et leurs vêtements. A l’arrière plan, on voit les tours lointaines de Notre-Dame, avec le drapeau tricolore, ce

Les Jeux de l’amour et de la mort récompensé au Festival de Cognac en 1986. Ses romans sont caractérisés par une énigme construite à partir d’un “rien” et elle préfère explorer avec minutie et finesse des personnages décalés. On trouve dans ses romans des traces autobiographiques : son personnage de Lucien dans Un peu plus loin sur la droite est inspiré par son frère Stéphane qui est un éminent spécialiste de la Première Guerre Mondiale. Pour concilier ses deux métiers, Vargas a une technique de travail