Personnages Les Miserable

SCHMITT DM de français 28/01/2013 Nathan S8 Question de corpus Dans un corpus composé de trois extraits de romans : les misérables de V. Hugo racontant l’histoire de Fantine, une femme faisant tous pour subvenir aux besoins de sa fille ; L’assommoir d’E. Zola racontant l’histoire de Gervaise, une pauvre blanchisseuse tombé dans l’alcool et qui à la fin du roman va mourir de faim et de froid s’en que personne ne s’en rendent compte directement ; Aux champs de

écrivit Belle du seigneur en 1968 et où Ariane attend Solal dont elle est amoureuse et qu'elle a invité à venir prendre le thé. Les deux textes présentent des points communs et la description de leur environnement contribue aux portraits de ces deux personnages de femme. Tout d'abord, on peut remarquer que ces deux textes ont en commun que les deux femmes attendent chacune un être qui leur est cher avec impatience. Au début, elles ont l'intention de les attendre dehors. Dans L'assommoir, « Gervaise

l’injustice» Sommaire I. Textes  1. Victor Hugo, Le Dernier Jour d’un condamné, extrait de la préface, 1829. Première publication anonyme. 2. Stendhal, Le Rouge et le Noir, 2e partie, chapitre 41, 1831. 3. Victor Hugo, Les Misérables, 1862. Le personnage de Gavroche 4e partie, livre V, chapitre 12 + 5e partie, livre V, chapitre 15. 4. Arthur Rimbaud, « Le Dormeur du val », Poésies 1870. 5. Émile Zola, Germinal, 5e partie, chapitre 5, 1885. II. Document iconographique  Eugène

De la femme pauvre au chômage qui se fait prostituée dans Les Misérables de Victor Hugo à la nourrice vieillissante mais généreuse de La Vie devant soi de Romain Gary, en passant par la concierge décédée dans Mort à crédit de Louis-Ferdinand Céline, notre corpus s’intéresse à des figures de femmes du peuple dans le roman aux XIXe et XXe siècles. Mais chacun des romanciers porte un regard bien particulier sur elles. En effet, ces femmes provoquent des sentiments précis sur les narrateurs. Tout d’abord

fille tendre et naïve, le personnage principal a évolué au fur et à mesure que de l'Histoire de la littérature évoluait et que des mouvements artistiques ou des normes se forgeaient. C'est alors que nous pouvons nous demander si, pour exister, un personnage de roman doit-il nécessairement réussir ? C'est ce que nous proposons de démontrer dans un premier temps avec le fait indiscutable qu'il y a un intérêt réel de voir les personnages réussir. Puis nous verrons qu'un personnage en échec peut-être tout

INTRODUCTION Dans les préfaces de leurs romans, nombre d'auteurs justifient leur travail d'écrivain. Ils essaient de manifester l'intérêt de leur activité, considérée par beaucoup comme un loisir superficiel. Ainsi, Victor Hugo, dans la préface des Misérables, datée du 1er janvier 1862, défend son roman : « [ ... ] des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles». Dès lors, on peur se demander si c'est bien la vocation du roman de changer le monde. En défendant ses idées dans ses œuvres

Paris, c'est faire se confronter deux entités absolument contraires. Alors, de là part toute la force de la démonstration des romanciers. Car plus la chute est haute, plus la révélation est grande. Il ne servirait à rien, sinon, de transporter un personnage depuis une province jusque dans le milieu souterrain, si ce dernier passe d'un cadre naturel, sauvage et d'un état végétatif à... un cadre naturel, sauvage et à un état végétatif. Le passage au souterrain est un passage violent, souvent contraint

société de l 'époque sont peint fidèlement. Les sentiments de cette femme abandonnée permettent une identification au personnage car elle se rapproche des réelles femmes de son rang social. *La couleur des sentiments (Kathryn Stockett) : histoire vrai qui retranscrit la ségrégation des années 60 en Amérique Le roman historique décrivent parfaitement le réel EXEMPLES : *Les Misérables (Victor Hugo) centré sue le peuple pauvre de Paris, roman très représentatif de l'image de la société. Hugo nous

côte à côte. Personnage Indication de direction Indication de lieu nommés Passé simple flash back Imparfait plus que parfait On situe l'action le personnage dans un espace grâce à des lieux nommées, ces lieu qui ne sont plus hostiles au personnage comparé a l'incipit. Puis on précise que cet endroit est connu du personnage, qui se souvient

retrouvons une description détaillée d’un lieu, misérable, isole, froid lugubre et sale. Les adjectifs avec lesquelles Zola appuies sa description sont « Jaunâtre », « usées », « descelles », « humide et acre », « blanchâtre ». Tout au long de l’histoire nous découvrons pas a pas, la personnalité et le tempérament de nos personnages. Nous remarquons que ces deux traits de caractère vont en parallèle avec l’état du milieu dans lequel nos personnages sont installes. Une Thérèse dont le paraître couvre