Personnification Chez Victor Hugo

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(l.10, 12, 13, 42), dont la deuxième occurrence est soulignée par l’anaphore, la troisième par le présentatif : « C’est » (l.13). L’anaphore de l’interjection élégiaque, combinée à la modalité exclamative : « Hélas ! Hélas ! » (l.26). Les personnifications : « La mort qui a sucé le miel de ton haleine (l.1-2), le spectre de la Mort est amoureux (l.19-10), l’affreux monstre décharné te garde ici dans les ténèbres pour te posséder (l.10-11), ta chambrière, la vermine (l.12-13), soustraire au joug

l’emplacement de deux petites maisons qu’il avait acquises en 1788. Il mourut à Paris le 8 mars 1810. Sa veuve le vendit le 24 mars 1816, suivant acte reçu par Me Demolombe, notaire à Villers-Cotterêts, père du célèbre jurisconsulte, à un avocat, M. Jacques-Victor Picot, et au prix de 6,500 fr. Les héritiers de M. Picot, décédé à Villers-Cotterêts le 4 octobre 1842, la cédèrent le 23 avril 1843, au prix de 10,500 fr., et par acte devant Me Besnard, notaire en la même ville, à M. MarieAuguste Cartier, hôtelier

du jugement des autres que traduit la métonymie : « les fenêtres » pour les gens derrière les fenêtres car la ville est le lieu, certes de l’anonymat, mais aussi celui de la démultiplication des regards. Impression de malaise que renforce la personnification « observent » donnant à cette évocation des allures fantastiques. L’enjambement entre les vers 9 et 10 : « te retient/D’entrer dans une église » mime l’hésitation du narrateur en différant l’annonce du complément à l’infinitif « D’entrer ». Est

l’homme par rapport au monde qui l’entoure. Il l’incite donc à se réfugier dans la foi. Ouverture : Pascal était lecteur de Montaigne, qui a lui aussi rendu l’homme perdu sans la foi dans L’apologie de R.S.   « Les feuilles d’automne » (1831), Victor HUGO Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées ; Demain viendra l’orage, et le soir, et la nuit ; Puis l’aube, et ses clartés de vapeur obstruées ; Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s’enfuit. Tous ces jours passeront ; ils

d’artistes engagés. ------------------------------------------------- I- L'art engagé • Caractéristiques formelles        La poésie engagée met en jeu: - des symboles, - des personnifications, - et des allégories. Elle incarne les idées par des images concrètes.      Par exemple : « L'allégorie de la liberté »  chez Eluard.      Les figures de style : hyperboles, métaphores, comparaisons…, sont nombreuses, et utilisées dans une démarche argumentative, afin de solliciter l'imagination et la

Micromégas (p. 395 ES/S / p. 397 L/ES/S) SÉQUENCE 2 – La justice sociale dans les Fables de La Fontaine • Victor Hugo, Discours sur la misère (p. 342 ES/S et Techno / p. 344 L/ES/S) SÉQUENCE 3 – La question de la femme au xviiie siècle • Victor Hugo, Les Misérables (p. 364 ES/S et Techno / p. 366 L/ES/S) Corpus bac (Séries technologiques) – Victor Hugo, Les Contemplations (p. 394 Techno) – Victor Hugo, Les Misérables (p. 395 et 396 Techno) SÉQUENCE 1 – Le projet de Michel de Montaigne : les Essais • Claude

en imaginer une autre, justification à l’appuiÞ? Un titre différent peut être préféré et l’on envisagera de demander aux élèves à la fin du livre d’en inventer un autreÞ: ils pourront penser à l’idée de sagesse ou celle de liberté découvertes chez les Shuar. B) Pistes pour continuer la route… Demandez aux élèves de choisir des extraits du roman de Sepúlveda en accord avec cette couverture et l’émotion que l’on ressent à la regarder. Certains retiendront des lignes où l’auteur rend hommage

existence (voir séance 8). 4- a) et b) Les figures de style utilisées pour évoquer la nature sont : – la métaphore : « l’incendie du ciel » (l. 11). L’incendie renvoie à un phénomène à la fois ardent et incontrôlable comme la passion. – la personnification : « faisait saluer sur son passage tous les arbres de la berge » (l. 8). La nature est personnifiée à tel point que la jeune fille n’agit plus : tout agit autour d’elle. – la comparaison : « comme le soleil » (l. 12). L’intensité du désir

formes pour se renouveler et nous surprendre un peu plus à chaque étape de son évolution. Pour de nombreux poètes de l'histoire du monde, la poésie est quelque chose que tout être porte en soi : 1 « Un poète est un monde enfermé dans un homme. » V. Hugo. A mes yeux, la poésie c'est avant tout une création et une représentation de l'homme par l'homme, avec ses qualités et ses défauts. Le poète utilise ses dons d'éloquence pour transmettre avec subtilité ses messages par les mots. Chaque homme