Persulfate de potassium

136 Phosphore jaune, en solution 1381 136 Phosphore jaune, recouvert d’eau 1381 136 Phosphore jaune, sec 1381 136 Phosphore jaune, sec ou recouvert d’eau ou en solution 1382 135 Sulfure de potassium, anhydre 1382 135 Sulfure de potassium, avec moins de 30% d’eau de cristallisation 1382 135 Sulfure de potassium, avec moins de 30% d’eau d’hydratation 1383 135 Alliage pyrophorique, n.s.a. 1383 135 Aluminium en poudre, pyrophorique 1383 135 Métal pyrophorique, n.s.a. 1384 135 Dithionite de sodium 1384

Monoxyde de nickel (n° CAS 1313-99-1) Trioxyde de dinickel (n° CAS 1314-06-3) Dioxyde de nickel (n° CAS 12035-36-8) Disulfure de trinickel (n° CAS 12035-72-2) Tétracarbonylnickel (n° CAS 13463-39-3) Sulfure de nickel (n° CAS 16812-54-7) Bromate de potassium (n° CAS 7758-01-2) Monoxyde de carbone (n° CAS 630-08-0) Buta-1,3-diène (n° CAS 106-99-0) Isobutane (n° CAS 75-28-5) contenant > 0,1% p/p de butadiène Cette compilation ne dispense pas de se référer aux JOCE et n’engage en rien la responsabilité

(peroxydase metmyoglo• Évaluation des peroxydes [7, 9] bine [23] ou horseradish peroxidase) [24] en pré• Dosage d’hydroperoxydes [11-13] sence de H2O2 ou d’un oxydant (dioxyde de manganèse • Détermination du malonaldéhyde [14-16] [25, 26] ou persulfate de potassium [27]). Le radical •+ • Examen de dérivés carbonylés sous forme de dinitrophénylhydrazones [9, 12, 19] ABTS , en contact avec un donneur de H conduit à l’ABTS+ (Figure 3) et à la décoloration à 734 nm de la Évaluation de la dégradation du β-carotène

observe un précipité blanc et une réduction immédiate de la viscosité. Le principe de cette préparation est que l’ADN plasmidique se renature instantanément tandis que l’ADN bactérien précipite avec les parois bactériennes. Le SDS précipite avec le potassium et entraîne les protéines. Sans attendre, centrifuger 10 minutes en Eppendorf (20 000 x g). Un précipité blanc compact se forme. Préparer les colonnes QIAprep sur des tubes de 2 mL. Verser le surnageant sur la colonne QIAprep. Si le précipité

22 24 26 28 Arsine 58 Azide de sodium (voir Azoture de sodium) Azoture de sodium 60 Benzaldéhyde 62 Benzène 64 Benzidine 66 Benzo(a)pyrène 68 BET (voir Bromure d’éthidium ) Bétamercaptoéthanol (voir 2-mercaptoéthanol) Bichromate de potassium (voir Dichromate de potassium) Bleu trypan 70 Borax 72 Brome 74 Bromure de cyanogène 76 Bromure d’éthidium 78 Bromure d’hydrogène (voir Acide bromhydrique) 1,3-Butadiène 80 1-Butanol 82 Carbonate de sodium 84 Chaux (voir Oxyde de calcium) Chloroforme (voir Trichlorométhane)

en plastique fourni, ajouter 1,5 mL de la solution étalon d'hydroxyde de potassium* 12,0 N. Boucher et agiter pour homogénéiser. La solution devrait avoir une coloration jaune ou verte, mais pas violette. En cas de coloration violette, reprendre à l'étape a en ajoutant 1 mL supplémentaire de la solution étalon d'acide sulfurique à l'étape d. i. Tout en agitant l'erlenmeyer, ajouter la solution d'hydroxyde de potassium 1,0 N, une goutte à la fois, jusqu'au virage de la solution au vert sale

phosphore, les halogènes (fluor, chlore, brome, iode), parmi les plus importants. Dans les composés organométalliques, des métaux entrent dans la composition de la molécule : on peut citer parmi eux les plus souvent rencontrés, le sodium (Na), le potassium (K), le lithium (Li), appelés métaux alcalins, ou le cuivre (Cu), le zinc (Zn) et surtout le magnésium (Mg). Dérivée de la chimie organique et de la biochimie, il existe la chimie bio-organique, terme redondant dans la mesure où « bio » et « organique

chimique en oxygène (DCO) par la méthode de digestion par réacteur au dichromate de potassium (HACH) en mg/l O2, - la demande biologique en oxygène (DBO5) mesurée après incubation de 5 jours à 20°C et à l’abri de la lumière (OxiTop®) en mg/l O2, - la teneur en azote total (NGL) par la méthode de digestion TNT au persulfate (HACH) en mg/l N, - la teneur en phosphore total (Pt) par la méthode PhosVer 3 avec digestion au persulfate (HACH) en mg/l P. Tous ces paramètres sont suivis par le laboratoire Qualité

fruits séchés du présent Chapitre peuvent être partiellement réhydratés ou traités aux fins suivantes : a) pour améliorer leur conservation ou leur stabilité (par traitement thermique modéré, sulfurage, addition d'acide sorbique ou de sorbate de potassium, par exemple); b) pour améliorer ou maintenir leur aspect (au moyen d'huile végétale ou par addition de faibles quantités de sirop de glucose, par exemple), pour autant qu'ils conservent le caractère de fruits séchés. _________________ N° de position

fruits séchés du présent chapitre peuvent être partiellement réhydratés ou traités aux fins suivantes: a) pour améliorer leur conservation ou leur stabilité (par traitement thermique modérés, sulferage, addition d'acide sorbique ou de sorbate de potassium, par exemple); b) pour améliorer ou maintenir leur aspect, (au moyen d'huile végétale, ou par addition de faibles quantité de sirop de glucose, par exemple), pour autant qu'ils conservent le caractère de fruits séchés. Rechercher SOUSDÉSIGNATION