Perversion narcissique

Apocalypse bébé. Un roman d'une violence et d'un franc parlé comme je n’en avais encore jamais lu auparavant. Cette violence m'a profondément touché et m'a fait découvrir une toute autre conception de l’amour, et surtout le regard qu’a l’auteur sur l’amour. Pas celui avec un grand A, mais plutôt au sens charnel, faire l’amour en d’autres termes … Cette façon obscène de parler des choses de la vie, de dénuer l'amour de sa beauté et de son romantisme, m’a beaucoup questionné. Comment est il

pas prévu ; il a imaginé des tortures que l’Inquisition n’a pas devinées. » C’est Krafft-Ebing, médecin allemand, qui donne, à la fin du XIXe siècle, un statut scientifique au concept de sadisme, comme antonyme de masochisme pour désigner une perversion sexuelle dans laquelle la satisfaction est liée à la souffrance ou à l’humiliation infligée à autrui.

LA PERVERSION I. Définition et histoire de la notion de perversion jusqu’à Freud 1. Définition classique de la perversion : La perversion, dans le langage courrant, c’est l’action de détourner quelque chose de sa vraie nature ; et c’est même plus souvent le fait de remplacer le bien par le mal. Le terme apparaît pour la première fois dans les écrits en 1444, et il est très utilisé au 19ème ; on le voit apparaître dans le code civil français de 1804. En psychanalyse, d’après le Vocabulaire

Les deux Eros[1] chez Racine La passion racinienne est une conception tragique de l’amour. R. Barthes y distingue un « Eros sororal » et un « Eros immédiat ». Le premier représente une relation amoureuse apparemment paisible où les deux sujets éprouvent un amour réciproque et durable. Cette relation n’est contrariée que de l’extérieur. Au contraire, l’Eros immédiat se caractérise principalement par le fait que les sujets n’éprouvent pas un amour réciproque. Cette passion à sens unique naît

La sexualité infantile in Trois essais sur la théorie sexuelle de Sigmund Freud Ce que Freud affirme de nouveau dans les Trois essais n’est pas tant qu’il existe une sexualité infantile, c’est que cette sexualité infantile est universelle et intrinsèquement perverse et que tout la sexualité adulte, normale ou perverse, en procède. Les Trois essais ouvrent un nouveau domaine de la sexualité, un domaine «limitrophe de la biologie» : une sexualité pulsionnelle, présente «en germe» dès le départ chez

plus importantes de la maladie psychique. La société contemporaine de Freud opère une grande censure à l’égard de la sexualité. Il existe une sexualité infantile : « L’enfant est un pervers polymorphe » Polymorphe = plusieurs formes Pervers = perversion, détournement d’une pulsion sexuelle ayant pour but la reproduction vers une autre forme ou un autre but. La sexualité humaine ne se réduit pas à des faits biologiques, elle est le produit d’une histoire ou l’imaginaire joue un rôle essentiel,

apparues à des époques précises de l'Histoire. Il existe aussi un certain nombre de désordres psychiques liés à l'amour, et étudiés par la psychologie, comme l'érotomanie ou le narcissisme. Certaines formes d'amour sont par ailleurs perçues comme des perversions ou des déviances (voir paraphilie), telles que la pédophilie (attirance sexuelle pour les enfants) et la zoophilie (attirance sexuelle pour les animaux). De telles amours peuvent être étudiées aussi bien par la psychologie que par les sciences humaines

transposition des passions sur un plan supérieur, une sublimation. Pour Freud, la création artistique est une façon de rester enfant,: on ne sort pas de l'enfance, devenir adulte, c'est choisir un moyen de rester enfant. L'art nous permet d'échapper à la perversion ( l'adulte qui n'a pas renoncé à ses jouissances de pervers polymorphe) et à la névrose(les névrosés avec leur symptômes morbides sont prisonniers de l'enfance. Dans l'art les tendances infantiles ne sont ni refoulées, ni satisfaites mais déplacées

qu’il a était un Œdipe, on remarque que tous ces désirs trouvent explication à l’adolescence. Les rêves sont lié aux désirs incestueux cela s’explique par la libido. Cependant les normaux aussi se sont développées par la déformation d’objets et la perversion du complexe d’Œdipe

lesbiennes; il y a partout beaucoup de bars ou d'organisations pour hommes et peu ou pas pour femmes. La culture sexuelle qui s'est développée entre les hommes avec dans les parcs, les bains, les urinoirs, n'a pas d'équivalent pour les lesbiennes. La perversion, fétichiste ou sadomasochiste, a toujours été le fait des hommes plutôt que des femmes. C'est depuis peu seulement que les femmes s'aventurent sur le terrain des plaisirs sexuels plus marginaux. Le marché de la pornographie s'est longtemps adressé