Perversion narcissique

concernant la fin ou le but de son acte, et qui relève du besoin ou de la passion, le pervers agit sans raison, c’est-à-dire sans autre raison, sans autre but ou finalité, que le plaisir de mal faire, de violer l’interdit. La perversité réside dans la perversion de l’acte qui n’est plus un moyen en vue d’une certaine fin, une médiation entre la volonté et le but qu’elle se propose, mais qui est à lui-même sa propre fin. Dans le Gorgias, Platon nous disait que le méchant veut la fin, non les moyens, son

En effet ce voyage passe mal pour bardamu .il doit anouveau faire face à l’hostilité des paasagersqui le prennent comme bouc émissaire .pour eux ,c’est une facilité de de le désigner comme tel .il echappe au sort qu’on veut lui faire en tenant au bar un discours patriotique, de réthorique extraordinaire , aux hommes présents sur le bateau .les rancœurs et les violences à son égard s’apaisent à coup de boisson .mais ce discours est mensonger. . A la première escale bardamu descend du bateau

et brutale » >> Ce qui a brisé l'équilibre de l'état de N ? JJR se livre donc à une dissectiondu sentiment amoureux : il s'agit en fait de dtrminer ce qui ds ce sentiment relève de l'authenticité nat et ce qui relève de la facticité et de la perversion de l'état civil. Pb : En quoi JJR opère-t-il un renversemnt des vals ds le sentiment amoureux ? En quoi va-t-il mm jusqu'à refuser à l'amour sa val propre, tt cela en se conformant à une rigueur argumentative constante ? 3 mvts peuvent

qu’elle ne le fait maintenant, c’est que dans la tableau clinique de la psychose, les manifestations du processus pathogène sont souvent recouvertes par celles d’une tentative de guérison ou de reconstruction. » Freud in « Névrose, psychose et perversion » (1924) ■ Après FREUD ■ Les deux grands courants après FREUD ■ Modèle dynamique analogue à celui des névroses : conflits à un stade précoce de développement ■ K. ABRAHAM, M. KLEIN ■ Modèle dynamique différent de celui

sont des romans épistolaires. La citation est la suivante : « (…) un libertinage poussé à l’extrême conduit à une perversion de la liberté. ». « Libertinage » et  « liberté » proviennent tous les deux du même mot latin « liber » qui signifie « libre, affranchi ». L’expression « un libertinage poussé à l’extrême » signifie que l’on mène le libertinage au plus haut degré et « perversion de la liberté » signifie que la liberté est en faite une fausse liberté, une liberté apparente qui finalement desservit

ajoute que même dans un comportement normal, on retrouve des actes de perversion (attouchements, baisers, regards..) dont l’intérêt commun est toujours l’atteinte du but sexuel par la recherche du plaisir. L’acte sexuel se limite très rarement aux parties génitales. Le fétichisme utilise une partie du corps ou un objet qui n’est en général pas convenue à des buts sexuels comme par exemple la bouche qui peut avoir valeur de perversion lorsqu’elle est en contact avec les parties génitales. Celle-ci peut

un enfant immature. Desnoyers semble à travers ses nombreuses maîtresses, rechercher sa mère. Derrière ses messes et ses maîtresses, il reste l’enfant captif de ses mères. Prisonnier du cordon ombilical, il exerce une sorte de fascination et de perversion ambivalente envers les femmes. Le curé d’Uruffe semble être dans une sorte de dislocation du moi entre son idéal de prêtre et son idéal d’amant. Régine lui renvoie son idéal de prêtre à la figure et porte son enfant, ce sera le point de bascule

de la vie mondaine dont il souligne la facticité. C'est aussi que l'écrivain sait bien qu'il ne sert à rien de parler pour ne rien dire. C'est de façon plus profonde qu'il oppose ici une sorte d'état de nature, celui qui tombe là, des nues à la perversion de la vie sociale. Ainsi, ses défauts même deviennent des qualités. On peut cependant constater l'insistance avec laquelle Rousseau revient ici, sur les problèmes de communication avec autrui. Il démontre lumineusement le mécanisme pervers de cette

Stade anal Le stade génital se voit effacé par une régression à l'analité : l'anus est la région la plus érotisée, et la satisfaction anale est investie indépendamment de l'orgasme génital. La névrose obsessionnelle est le négatif de cette perversion, elle est défense contre ce stade anal si dérangeant. Le névrosé obsessionnel présente une homosexualité latente, liée à l'intérêt pour ce que Freud nomme le cloaque. Le sadisme est particulièrement marqué : il peut être compris comme concomitant

d’accéder à son identification sexuée. Dans la recherche de l’amour pur, l’érotomane recherche le tout avoir, l’objet manquant chez l’autre, elle va le réhabiliter par le don de son amour total, pur, comme pour effacer le manque, le nier (dans la perversion) et passer par l’idéalisation de ce trait unaire de l’objet identifié idéalement à son pur amour. Enfermée dans son état passionnel, elle maintiendra tant bien que mal sa division subjective. Le signe visible qui causera son désir se percevra