Perversion

prouve : « je l’ai vue », « de ses yeux », « une si belle vue », « une trop belle image ». Néron en peut détourner son regard. Il va se satisfaire de la souffrance de Junie. Toute la scène rêvée témoigne de son sadisme, il veut agir sur elle. La perversion de Néron lui permet de satisfaire un désir, il comble un manque. Racine utilise des hyperboles pour montrer la réaction disproportionnée de l’empereur : « J’aimais jusqu’à ses pleurs que je faisais couler». Junie est présentée comme une apparition

transposition des passions sur un plan supérieur, une sublimation. Pour Freud, la création artistique est une façon de rester enfant,: on ne sort pas de l'enfance, devenir adulte, c'est choisir un moyen de rester enfant. L'art nous permet d'échapper à la perversion ( l'adulte qui n'a pas renoncé à ses jouissances de pervers polymorphe) et à la névrose(les névrosés avec leur symptômes morbides sont prisonniers de l'enfance. Dans l'art les tendances infantiles ne sont ni refoulées, ni satisfaites mais déplacées

pour contenir ce qui a été refoulé. Elles orientent la sexualité vers la voix « normale ». Il peut arriver que les instincts partiels ne se soumettent pas tous à la domination des zones génitales ; un instinct qui reste indépendant forme une perversion et substitue au but sexuel normal sa finalité particulière. Avec le temps et l’arrivée de la puberté, les tendances se soumettent à la suprématie de la zone génitale, processus par lequel toute la vie sexuelle entre au service de la reproduction

car elle trouve la jeune fille trop transparente dans ses lettres et trop immature, et aussi son professeur de libertinage, elle lui apprend la manipulation avec les hommes. Cécile est le fruit d’une vertu pervertie. Son innocence favorise cette perversion et elle est transformée en « femme facile ». Elle incarne la fausse vertu basée sur l’ignorance, elle est gouvernée par sa nature et ses pulsions. Dans le personnage de Cécile nous remarquons l’aspect comique de ce dernier, tout d’abord avec

corporelles, sans problèmes organiques. Selon Freud, le symptôme de conversion pourrait servir à établir un « lien sémantique entre le symptôme et le refoulé ». Il est réversible, même s’il se montre rebelle et durable. Dans Névrose, Psychose et Perversion, traduit par J.Laplanche, on retrouve la même idée. L’hystérie est considérée comme une importante excitation psychique se traduisant au niveau corporel. Freud, parle alors de représentations inoffensives. Il donne pour origine à cela, un moi chargé

noires qui nuisent a la biodiversité animales et florales marine, il en faut aussi pour alimenter les voitures, pour fabriquer toutes sortes de choses. …. Si on dit que dans la société il y a obligatoirement un coté bienfaiteur et un autre de perversion, l’un ne va pas sans l’autre et quand on fait une action quelque soit laquelle, il y aura toujours des répercutions dans le futur. En effet, la société tient une place importante dans l’attitude des hommes même si on est maitre de ses choix et de

semble redoubler de fougue transgressive. Au-delà du vomis suggérer il fait maintenant par des termes ouvertement sexuels tel « Ithyphalliques ». On remarque que ce sont les insultes des soldats qui sont Ithyphalliques et Pioupiesques, une sorte de perversion s’installe, et se manifeste par l’emploi du mot dépravé. Le narrateur dans sa solitude difficile à l’arrière du navire se trouve recouvert, ou plutôt son cœur à la double facette physique et sentimental, de jets de soupes et d’insultes. Il en est

causes liées à la personne des victimes : l’exhibitionnisme la convoitise les conditions de vie difficiles l’immaturité psychologique et affective la confiance et la soumission aux adultes Les causes relatives à la personne des harceleurs : la perversion la déviance sexuelle (dévergondages sexuels, nymphomanie, pédophilie,…) IV. Les conséquences 1. Conséquences psychologiques Considérer ou utiliser quelqu’un comme un objet de jouissance peut provoquer des troubles de personnalité. Se sentant

ses patientes sont accusés d’être manipulatrices mais non car il n’y a aucune cause organique, rien ne peut expliquer ces crises. - Les pervers : trouble sexuel, exhibitionnistes, fétichismes (objet), homosexuel. Pervertir = se détourner de… . Perversion car l’individu tire sa satisfaction sexuel d’un acte qui n’est pas mis u service de la procréation. Sexualité qui est exclusivement tourné vers l’activité qui n’induise pas des actes génitaux sont dites perverse. 2- Freud et l’étude de l’hystérie

plus importantes de la maladie psychique. La société contemporaine de Freud opère une grande censure à l’égard de la sexualité. Il existe une sexualité infantile : « L’enfant est un pervers polymorphe » Polymorphe = plusieurs formes Pervers = perversion, détournement d’une pulsion sexuelle ayant pour but la reproduction vers une autre forme ou un autre but. La sexualité humaine ne se réduit pas à des faits biologiques, elle est le produit d’une histoire ou l’imaginaire joue un rôle essentiel,