Peste et Choléra

Les travaux du préfet Haussmann [pic] Portrait de Georges Eugène Haussmann "Haussmann avait entrepris de faire de Paris une ville magnifique et il a complètement réussi. On criait qu'il donnerait la peste, il laissait crier et nous donnait, au contraire, par ses intelligentes percées, l'air, la santé et la vie…" Jules SIMON (1880) Introduction: Nous allons vous présenter les travaux d’Haussmann sous le Second Empire. Georges Eugène Haussmann, fils d’un intendant militaire de Napoléon

maire peu faire police de la circulation ou encore prévoir des services de secours ou encore nettoyage des rues. La salubrité publique : permettre que les personnes ne tombent pas malade par manque d’hygiène de la ville. Notion citadine. Eviter : peste, choléra, surveillance des foires et marchés, épidémies et pollutions. Ex : lutte contre le tabagisme CE 19 mars Mme le Gac et autres. La tranquillité publique : préserve le « calme des citoyens ».ex : tapage nocturne ou encore les troubles du voisinage

: école, enseignement, amitié, adolescence, amour, nature, émancipation, vie dans les campagnes GIONO Jean, Le Hussard sur le toit (1951) Dans les années 1830, Angelo, un révolutionnaire italien, arrive en Provence en pleine épidémie de choléra… Il y cherche son frère de lait et fait la rencontre d’une intrépide jeune femme. Pourquoi le lire ? Pour son intrigue, riche en rebondissements. Difficulté : la longueur est compensée par le rythme assez enlevé du récit ; à réserver toutefois

banaliser dunuement et immersion. les réticences de la traditions contineuent pourtant à associer tiédeur et lascivité jusqu’a y voir quelque amorce du vice. C’est contre elles que lutte l’hygiène du 19ème. •Les itinéraires de l’eau Mars 1832 Choléra parisien. Premières victimes dans la rue Mazarine. Le mal avance selon des lignes capricieuses , mal cotrôlées, toujours soudaines, franchissant quarantaines et cordons sécuritaires. L’eau et la défense épidémique Réactions sanitaires en avril

familiales, il est difficile d'améliorer son niveau de vie au-delà de la subsistance de base. Les revenus de la ferme ou de l'exploitation dépendent des conditions imprévisibles sur l'environnement et, en période de sécheresse, des inondations ou de la peste. La survie devient alors extrêmement problématique. Les villes, en revanche, sont connues pour être des lieux où l'argent et la richesse sont centralisées. Les villes sont les lieux où les fortunes et la mobilité sociales sont possibles. Les entreprises

plus propices au développement de pandémies ; la médecine de ce fait ne fait, durant tout le Moyen-Age, aucun progrès significatif. En résulte l’apparition des premières grandes épidémies, dès le XIIème siècle et jusqu’au XVIIème siècle : lèpre, peste ou choléra, et la récurrence de grandes famines, accroissant de façon considérable le nombre d’indigents et de mendiants qui se rendent dans les hôpitaux et remplacent les pèlerins. Peu à peu, l’étranger reçu comme hôte par charité chrétienne dans les

faut tous les jours des morts. Il en fait de toutes les façons pour mieux s'amuser. Il a inventé les maladies, les accidents, pour se divertir tout doucement le long des mois et des années ; et puis, quand il s'ennuie, il y a les épidémies, la peste, le choléra, les angines, la petite vérole ; est-ce que je sais tout ce qu'a imaginé ce monstre ? Ça ne lui suffisait pas encore, ça se ressemble, tous ces maux-là ! et il se paye des guerres de temps en temps, pour voir deux cent mille soldats par terre

) permettent au paléolithique d'éviter le cholestérol et surtout les caries dentaires, sources d'infections, certaines maladies infectieuses se transmettront des animaux aux hommes : 7000- tuberculose du bétail à l’homme, 4000- variole, lèpre, choléra, peste. [4] Le paléolithique est divisé en trois sous-périodes : inférieure ou ancienne, moyenne et supérieure. En Europe, le paléolithique inférieur se poursuit jusqu'aux environs de - 150 000, le moyen jusque vers - 40 000 et le supérieur jusqu'à

environnemental Réservoir de la majorité des agents pathogènes pour l’homme= homme lui-même Réservoir uniquement humain pour: ¡  Variole, rougeole, poliomyélite, varicelle, choléra, typhoïde, méningite à méningoccoque, syphilis, paludisme Maladies potentiellement éradicables (variole en 1980) Réservoir animal = zoonoses ¡  Peste : rongeur ¡  Fièvre jaune: singe ¡  Brucellose: bétail ¡  Rage: renard Autres réservoirs: -- Sol: spores tétanique, gangrène gazeuse -- Poussières: histoplasmose

et ulcères gastriques Candidoses Charbon (Anthrax) Chikungunya Choléra Cryptococcose Coqueluche Dengue Diphtérie Ebola Escherichia coli Fièvre de Lassa Fièvre jaune Fièvres typhoïde et paratyphoïde Grippe Grippe aviaire HTLV-I Hépatites virales Légionellose Leishmaniose Sida / VIH Leptospirose Listériose Lèpre Maladie de Chagas Maladie du sommeil Mucoviscidose Méningites à méningocoques Paludisme Peste Poliomyélite Rage Salmonellose Sarcome de Kaposi Sepsis / septicémie