Vigarello le propre et le sale
Le propre et le Sale
Vigarello
Thèse principale : Il ne faut pas confondre le renforcement de l’exigence de propreté, toujours plus insistante depuis le XVI ème, avec les pratiques qui ont aujourd’hui charge d’assurer la netteté du corps. Transformation du rapport que les hommes ont avec leur coprs.
De l’eau qui pénètre le coprs à celle qui le renforce.
• Une douce sensation de la peau
1746 : Longchamps décrit le bain de la marquise du Châtelet. Aucune pudeur de la part de sa maitresse, car le valet n’est pas une personne à ses yeux. Bain ne surprend plus, pratique quotidienne., le fait que l’eau s’infiltre commence à être accepté. Mais reste originalité aristocratique. Un traitement de l’eau nouveau existe.
= symbolise les moeurs de l’ancien régime qui vont changer
• Un bain nouveau et rare
Versailles, pièces résrevées aux baignoires. Mais ‘eau est toujours supposée pénétrer le corps, se diffuser, donc il la faut pure
• Effluves populaires urbaines
Prise de conscience après 1770
La quantification de la mort : 1773 créaation de la Gazette de Santé + révèle un changement des mentalité dans le dernier quart du 19 ème. Elle pormeut une vigilance , elle banalise les réègles d’hygiènne, sensibilisant au thème des propretés. Recenser les épidémies, cerner les maux mal maitrisés, renforcer les santés = agir sur la quantité des habitants.
“ Les hommes sont la vraie richesse des Etats et c’est celle qu’on néglige le plus”. Prise de conscience démograpique dont la gazette n’est que’une conséquence ârmis d’autres. Premiers calculs de mortalité...
Le raisonnement économique sous tend le geste d’oganisation sanitaire des collectifs. La prévention commene à relever de pratiques politiques dont les administrateurs et les médecins devient les acteurs. Le travail de la contagion est d’abord un tavail sur les climats, qui fait la différence des morts.
Localisation de l’insalubre :
- Les villes
-Les lieux de stagnation et