Pétrus Borel

typiques du trickster appartiennent au personnage Loki 46 » de la mythologie scandinave. « D’autres tricksters présents dans les grandes religions : Seth, Prométhée et Indra 47 . » Mais, entre les Alberto M. di Nola, op. cit., p. 45. Ibidem. 45 Ioan Petru Culianu, Gnozele dualiste ale Occidentului [Les gnoses dualistes de l’Occident], Nemira, Bucureşti, 1995, p. 33. 46 Ibidem, p. 35. 47 Ibidem, p. 38. 43 44 34 tricksters, Prométhée est sans doute le plus connu 48 . » Parmi ses exploits les plus

Faust et Barabbas jusqu'à Magie rouge, Mademoiselle Jaïre ou Fastes d'enfer. Il y a un peu de tout dans le foisonnement du délire ghelderodien : du Shakespeare, du Maeterlinck, du Jarry, du Calderón, de l'expressionnisme allemand, du romantisme à la Pétrus Borel... Et tout cela est entraîné dans un carnaval macabre où fuse la facétie, dans une cruauté où se défoulent la peur de la mort et la folie ardente de la vie. Poésie donc ! Nous la retrouverons dans le Burlador de Suzanne Lilar, et jusque dans les

rares sont ses pièces en prose (Lucrèce Borgia, Marie Tudor). Un accueil mitigé Article détaillé : Bataille d'Hernani. Victor Hugo, s'il possède d'ardents défenseurs de son théâtre comme Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Hector Berlioz, Petrus Borel, etc.[95], a aussi rencontré de nombreuses difficultés dans la présentation de ses pièces. La première est une opposition politique. Sa remise en question des représentants du pouvoir ne plaît pas, Marion de Lorme est interdite, le Roi s'amuse

et rares sont ses pièces en prose (Lucrèce Borgia, Marie Tudor). Accueil mitigé Article détaillé : Bataille d'Hernani. Victor Hugo, s'il possède d'ardents défenseurs de son théâtre comme Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Hector Berlioz, Petrus Borel, etc.96, a aussi rencontré de nombreuses difficultés dans la présentation de ses pièces. La première est une opposition politique. Sa remise en question des représentants du pouvoir ne plaît pas, Marion de Lorme est interdite, le Roi s'amuse

aussi leur source dans I'héritage romantique, en particulier dans cette prédilection pour le bizarre qu’il proclama comme un des principes de sa poétique et qui explique la fascination qu'exerça sur lui la «lycanthropie» d'un poète romantique comme Pétrus Borel, à qui il consacra une étude critique pénétrante. Mais, à travers le romantisme du XIXe siècle et sa traduction dans le langage de la sensibilité moderne, Baudelaire poursuivit un achèvement qui porta plus loin. Ce fut d'abord, dans ‘’Les fleurs

leur adhésion au parti communiste français. Aussi commença-t-il sa collaboration à la revue “Clarté”, qui était dirigée par des intellectuels communistes. Il y donna un article sur Pétrus Borel, puis un autre sur Sade. Dans un autre article, intitulé ''L'intelligence révolutionnaire", il exalta «le génie de Sade, de Borel, de Lautréamont, de Rimbaud et de bien d'autres», dont l'intelligence «ne saurait avoir de maîtres». En mai, il fut séduit par la première exposition des tableaux d'Yves Tanguy.

(celle de Viatte, de René Alleau, notamment), les « supérieurs inconnus », comme Breton les nomme en 1948, dévident le fil rouge d’un contre-canon ésotérique qui va de Nerval, Bertrand, dont la cote a considérablement monté depuis Les Pas perdus, Petrus Borel, Baudelaire, Rimbaud, Lautréamont, Mallarmé, Jarry jusqu’à Roussel et Kafka. D’autre part les écrivains réformateurs, précurseurs du socialisme sont de mieux en mieux placés : Saint-Simon [1760-1825], Le Père Enfantin, « toujours actuel », Fourier

et rares sont ses pièces en prose (Lucrèce Borgia, Marie Tudor). Accueil mitigé Article détaillé : Bataille d'Hernani. Victor Hugo, s'il possède d'ardents défenseurs de son théâtre comme Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Hector Berlioz, Petrus Borel, etc100., a aussi rencontré de nombreuses difficultés dans la présentation de ses pièces. La première est une opposition politique. Sa remise en question des représentants du pouvoir ne plaît pas, Marion de Lorme est interdite, le Roi s'amuse

avec la poésie des petits romantiques , avec ThéophileGautier et sa Comédie de la Mort, Alphonse Rabbe et son Album d’un pessimiste ou Les Rhapsodies de Petrus Borel , dit le Lycanthrope . C’est à l’auteur d’Albertus que sont dédiées les Fleurs du Mal autant qu’à celui d’Émaux et camées de Théophile Gauthier. C’est sans doute

porte le manteau gris, la triste livrée du travail, du travail des champs, le plus noble, le plus utile, le moins rétribué, le plus ingrat de tous... » Elle restera à jamais « la compagne du laboureur ». Elle est fille du sillon ; comme le dit Petrus Borel : on ensemence pour elle 46. Mais symbolisme moral, symbolisme politique nous écartent du symbolisme naturel, du symbolis-me cosmique qui, nous le verrons, s'attache à l'alouette. Cependant, l'exemple de Michelet et de Toussenel est déjà symptomatique