Peuples germaniques

caractéristiques qui perdurent tout au long du XIXe siècle : monarchie élective, mais transmise au sein de la famille ; d’origine et de culture allemande (elle fournit, sauf 1740 à 1745, tous les empereurs du Saint-Empire), mais respectant les cultures et les peuples de l’Empire : défenseur du catholicisme mais tolérant les confessions réformées ; enfin, exerçant depuis Vienne une unité de représentation vis-à-vis de l’extérieur, mais soucieuse de déléguer des pouvoirs. En Autriche, c’est moins un ensemble (historique

il y a un mot gotique Thiuda signifiant peuple. Il a comme adjectif Thiudisk. Thiudisk a été transformé en Theodischus par les Romains, puis en Teudischus. Thiudisk est devenu Diutisca en vieil allemand pour aboutir à Deutsch en allemand moderne ou Tysk dans les langues scandinaves (d'où Tyskland). En ancien français, le latin Theodiscus a donné Thodesche, puis Tudesque. Le français moderne a préféré le mot Allemand issu du latin Alamanni désignant le peuple des Alamans5. Ceci est également valable

ensemble unique. C'est ainsi que les définitions de l'Etat par ses éléments constitutifs glissent immédiatement à l'idée de « peuple » ou de « nation ». C'est-à-dire qu'il ne suffit pas que des hommes vivent les uns à côté des autres pour constituer une population : il faut qu'il y ait entre eux un lien. Pourquoi ce glissement de la population à la nation (ou au peuple) ? La raison en est facile à comprendre : si l'on veut présenter la population de l'Etat comme un élément caractéristique de cette

historiquement un ensemble de pouvoir et de principautés qui sont partagés. Il n'y a pas d'unité de pouvoir. Cette unité va se faire en 1871. l'unité nationale est préalable à la constitution de l'état. Ex : L'Autriche-Hongrie est une agrégation de peuples, de communauté nationale sous un pouvoir de celui de l'empereur d'Autriche-Hongrie. Il y a l'intérieur des autrichiens, des slovènes, des tchèques, des slovaques etc .. et toutes ces population sont rattachées au même pouvoir. Elles vont revendiquées

main gauche. C’est un homme de race aryenne, c'est-à-dire qu’il est considéré de pure, de noble et de supérieur à toutes les autres races par le Peuple germanique. Les ariens seraient les descendants des guerriers mythiques avec un esprit conquérant en un corps sain, vigoureux et parfaitement proportionné. Ces statues rappellent les moines guerriers germaniques que l’on appelait : « les portes glaives » ou « les frères de l’armée du Christ et de l’épée ». Cette statue met en avant la croyance dans la

voisins pour avoir des citoyens, des femmes ou des terres. Ils revenaient dans la ville avec les dépouilles des peuples vaincus : c’étaient des gerbes de blé et des troupeaux ; cela y causait une grande joie. Voilà l’origine des triomphes, qui furent dans la suite la principale cause des grandeurs où cette ville parvint. Rome accrut beaucoup ses forces par son union avec les Sabins, peuples durs et belliqueux comme les Lacédémoniens, dont ils étaient descendus. Romulus prit leur bouclier, qui était

de la tradition germanique en matière "successorale", avait prévu le partage de l'Empire entre ses trois fils, dès 806[2]. L'empire ne sera finalement partagé, entre ses trois petits-fils qu'au traité de Verdun en 843. Le morcellement féodal des siècles suivants, puis la division de l'Europe en États-Nations rivaux condamnent à l'impuissance ceux qui tentent explicitement de restaurer l'empire universel de Charlemagne, en particulier les souverains du Saint-Empire romain germanique, d'Otton Ier en

tradition germanique en matière successorale, Charlemagne avait prévu le partage de l'Empire entre ses trois fils dès 806[2]. L'empire ne sera finalement partagé, entre ses trois petits-fils qu'au traité de Verdun en 843. Le morcellement féodal des siècles suivants, puis la division de l'Europe en États-Nations rivaux condamnent à l'impuissance ceux qui tentent explicitement de restaurer l'empire universel de Charlemagne, en particulier les souverains du Saint-Empire romain germanique, d'Otton Ier

la tradition germanique en matière successorale, Charlemagne avait prévu le partage de l'Empire entre ses trois fils dès 806. L'empire ne sera finalement partagé entre ses trois petits-fils qu'au traité de Verdun en 843. Le morcellement féodal des siècles suivants, puis la division de l'Europe en États-Nations rivaux condamnent à l'impuissance ceux qui tentent explicitement de restaurer l'empire universel de Charlemagne, en particulier les souverains du Saint-Empire romain germanique, d'Otton Ier

regroupant Espagne Pays Bas et les terres du nouveau monde. Le contexte historique de l’époque est marqué par la Guerre de cent ans, et les guerre d’Italie durant laquelle se seront affrontée deux coalitions, l’une menée par le Saint empire Romain germanique et l’autre par la France. La défaite de Pavie est un nouvel échec pour François 1er qui convoitait les territoires italiens malgré ces nombreuses défaites. La victoire du Milanais, lui redonne espoir mais Pavie semble résister aux envahisseurs :