Peur rouge

montre le courage de vivre. La mort, la peur A la strophe 10 « rose rouge » et « sang » c'est la mort qui a la couleur du sang image rose rouge qui est normalement la passion. A la strophe 9 et 10, l'espoir défait puisqu’il n’y a pas d’avenir c'est alors une impression de gâchis qui se dégage car le trésor se transforme en sang, la réalité de la mort. Cette réalité aboutit à la strophe 9. La fin revient de plus en plus à la réalité de la mort, une peur. A la strophe 11 Eluard joue sur l'antithèse

titres) Qualité de la présentation • Support visuel: power point (suite) – Couleurs – Caractère du texte plus sombre que le fond – Couleurs ont une signification particulière au niveau de l’inconscient dans notre société • • • • • • • • • • • Rouge: alerte, danger, chaleur, excitation, force vitale Orange: attention Bleu: confiance, tranquillité, confort, effet calmant Jaune: loyauté, effet stimulant Vert: nature, propreté, stabilité Brun: terre Blanc: pureté, propreté Noir: mal, élégant, mystérieux

jalousie???-c;est une maladie ou plutot c'est une peur ???? il y a bcp de medecins qui donnent leurs opinions sur la question de la jalousie dapres certains c'est une peur ,c'est une maladie ,c';est un defaut mais ...si on accepte la these que c;est une peur??alors cette peur doit etre provoquee par qqch...et c'est le paradoxe ?voila pourquoi on peut expliquer la  jalousie comme une peur de la solitude,une peur de ne pas perdre la personne aimee ,une peur de ne pas etre trompee... Mais il y a des autres

Pendant les soins techniques il y a une relation. Tout actes que l’on fais met une relations entre le soignant et le soigné. Cette relation est aussi la démarche de soins. La relation peut être difficile avec les autiste, les schizophrène qui en on peur, les parano… Exemple ne pas dire à un parano , que l’on veut sont bien. Le repère pour lui c’est la loi. Rester avec lui comme on est avec les autres patients. La pensée a partir du transfère et du contre transfère Transfère  analytique ; aller

Le Cri En quoi ce Cri exprime-t-il la peur et le désarroi ? - Celle-ci fut peinte en 1895 au pastel sur du carton, c’est la plus colorée des 4 peintures. Elle appartenait à un particulier il la vend aux enchères le 2 mai 2012 à Sotheby’s pour 119,92 millions de dollars - C’est ce tableau qui a été volé en 2004 du Much Museum d’Oslo et retrouvé plus tard, il date de 1910

Carlos Kusnir, avec les œuvres J’aurais voulu être un artiste, 1999 deux motifs peints sur toile de petits formats d’où s’échappe la chanson du même titre ; et Superman, 1999 qui sous le sigle de Superman émet la musique des choeurs de l’armée rouge, met en scène sa destinée. Surdoué de la peinture, il s’en joue et elle se joue de lui : tout est dit... avec humour et dérision, avec conviction, avec force, en sachant déjà que tout est vain. La scène est donc une fiction, un conte, un tableau

principal : comment était-il au début et comment est-il devenu ? Au départ Oluf est hanté par une étoile rouge qui le tourmente, à la fin il put vivre tranquillement après avoir vaincu cette étoile du malheur. c- La fiche « vocabulaire » : Quels sont les champs lexicaux dominants ? A quoi réfèrent-ils ? Caractéristiques du genre. Le champ lexical de la tristesse Le champ lexical de la peur Le champ lexical du courage Le champ lexical de l’étrange Le champ lexical du combat D- Appréciations

une révolte parce qu'elle échoue : fin tragique. Pèriode de la révolution industrielle : accentue fossé ouvrier/bourgeois Problématique : Plongé au coeur de la description d'un peuple en révolte, nous devenons témoin d'une scène violente qui, par la peur qu'elle engendre se transforme en une vision apocalyptique dans l'imaginaire des bourgeois. Plan possible : I La description d'un peuple en marche II Une révolte inscrite sous le signe de la violence III Une vision apocalyptique I La description

Cauchemar J’ai vu passer dans mon rêve- Tel l’ouragan sur la grève, -D’une main tenant un glaiveEt de l’autre un sablier,Ce cavalier Des ballades d’AllemagneQu’à travers ville et campagne,Et du fleuve à la montagne,Et des forêts au vallon,Un étalon Rouge-flamme et noir d’ébène,Sans bride, ni mors, ni rêne,Ni hop ! ni cravache, entraîneParmi des râlements sourdsToujours ! toujours ! Un grand feutre à longue plumeOmbrait son œil qui s’allumeEt s’éteint. Tel, dans la brume,Éclate et meurt l’éclair

ans. Il avait peur de la guerre et de la mort, comme presque tout le monde, mais peur aussi du vent, annonciateur des gaz, peur d’une fusée déchirant la nuit, peur du canon des siens, peur de son propre fusil, peur du bruit des torpilles3, peur de la mine qui éclate et engloutit une escouade, peur de l’abri inondé qui te noie, de la terre qui t’enterre, peur des rats qui t’attendent et viennent pour l’avant-goût te flairer dans ton sommeil, peur des poux, des morpions, peur de tout. Il n’était