Peur rouge

eu à peine le temps de finir sa phrase, Mr M. se leva et attrapa l’infirmier plus petit que lui par le coup et le secoua tout en esquissant un large sourire puis un rire rauque tout en serrant de plus en plus fort. Il présentait un visage crispé et rouge de colère, des yeux injectés de sang, son front commençait à perler de gouttes de sueur. Je restai quelques secondes abasourdie par le changement de comportement si soudain de Mr M. Je pensais à ce moment précis, qu’à la place de l’infirmier, je serai

frère fugue, répétant ainsi la fugue de son aîné. Par ailleurs, Le Clézio prête aux éléments du « décor », les pressentiments ou les émotions du protagoniste, ce qui conduit le lecteur à anticiper le drame qui se prépare : (Dans l’échappé, la « peur est partout ici, sur la montagne. Elle est dans chaque pierre blanche, dans chaque touffe d’euphorbe, dans chaque buisson d’épines, elle est dans le lit d’oued… ») : l’auteur signifie ainsi que les dangers sont omniprésents et que le protagoniste

Tentative d’adaptation de l’indiv. 2 versant : Psychique : sentiment de joie ou contentement , de peur, de crainte, de colère ou d’attendrissement affectueux Physique : une dimension motrice( fuis, tremblement, sidéré ), phénomène neurovégétatif ( tous rouge , tous blanc, tension augmenté, bouche sèche … ) Réaction émotionnelle : La colère La peur ( supposition d’un danger ), peur de tout ( pano-phobie )  isolement Anxiété et angoisse = mm objet Anxiété répond a aspect psychique

Livre de Job Procede de Dieu pour affirmer son pouvoir - 1er mot = Je (toute l’attention se centre sur le narrateur) - utilise le negatif pour exprimer son idee – procede d’autorité et susciter la peur - « qui »  x 2 (question rhetoriques) = rappeler sa position/importance de createur - force : il a penetre dans sa double cuirasse – c’est le seul qui peut le faire - Pouvoir surhumain : * il est le createur d’un monstre -> (il peut faire taire ses membres – chose inhumaine) * relation artiste/oeuvre

allait bientôt arriver. L’excitation commença à monter en lui. Les lumières devenaient plus fortes vers la fin du tapis violet. Au bout du tissu, on pouvait distinguer trois personnages perchés sur des grands fauteuils en pierre décorés de velours rouge et or. Le groupe était protégé par une sorte de murs magique. Le vieil homme s’arrêta devant la barrière et s’abaissa pour faire une révérence envers les trois silhouettes. Il s’écarta pour laisser la place à Morthan. Celui-ci fit de même. Une porte

découvre ainsi la fatalité de Guilloux. D'une part, la terreur est ressenti auprès du lecteur à cause de Paule Meulière qui haï son fils (« La rage en elle refluait ») ce qui empêche l'enfant d'agir face à cette crainte, qui est sa mère. Cette peur incontrôlé se fait ressentir auprès du lecteur qui s'identifie à l'enfant martyr. D'autre part, la pitié est aussi présente chez le lecteur grâce au champs lexical introduit. Par exemples où l'on comprend que devant sa mère « il se fit cadavre » ou

Il sera anesthésié par la peur de souffrir à nouveau. Ô madame si seulement j'avais l'odace de me jeter à vos pieds et déclamer ce que mon coeur hurle. Il suffirait que j'ouvre la bouche et que mes lèvres vibrent tout l'amour que j'ai pour vous ! Mais cet amour me paralyse. Votre regard me glace alors qu'il fait naître en moi des flammes ardentes. Votre voix est une lyre au milieu d'un songe. Votre odeur est aussi enivrante que les vins d'Italie. Votre bouche aussi rouge que la pomme du jardin d'Eden

fort humain », deuxièmement le narrateur marque quelques touches de subjectivités comme ici « nous …..Était plus fort peu héros en ce moment » , « toute fois la peur ne venait chez lui qu’en seconde ligne… » . Du coté de la focalisation celle si est interne et ce la est montres par la prés dominance de l’imparfait EX « toute fois la peur ne venait … », « on traversait…. », Fabrice comprenait… », « Il voulait surveiller…. » Et aussi du passé EX : «  ce fut… », « Les regarda… », « L’escorte s’arrêta… »

Peu après avoir fêté mes onze ans, je fus victime d'un coup monté. Je jouais du violon depuis quelques années. C'était mon loisir, ma détente, mon hobie, ma passion, et, c'est devenu, suite à ce terrible épisode, ma peur, mon cauchemar, mon plus grand dégoût. Alors que je faisais des progrès étonnants, mes parents, réjouis, voulurent m'inscrire au conservatoire. Je me souviens qu'ils m'avaient dit que j'allais jouer mon plus beau morceau au directeur du conservatoire afin qu'il

révolte, nous devenons témoin d'une scène violente qui, par la peur qu'elle engendre se transforme en une vision apocalyptique dans l'imaginaire des bourgeois. III Une vision apocalyptique - Idée de destruction totale (physique, corporelle et matèrielle). accumulation de verbes : activité très intense --> déferlante, raz de marée "balayant le vieux monde". Destruction matèrielle : villes. - Prédominance de la couleur rouge (sang versé + feu = apocalypse). L44 : "incendies" - Caractère