Peut On Agir Moralement

trouvera des sous-rubriques correspondant également aux notions des programmes ; près de la moitié des sujets se réfèrent en effet à deux, voire trois notions. Par exemple, dans la rubrique sur le bonheur, la sous-rubrique sur autrui comporte le sujet : « Peut-on faire le bonheur d’autrui ? ». C’est de cette manière qu’on pourra trouver les sujets se rapportant aux notions couplées dans les programmes. Par exemple, si l’on cherche des sujets sur la matière et l’esprit, on les trouvera dans la sous-rubrique

PEUT-ON REFUSER DE DOUTER ? Analyse des termes de la question : - peut-on : - est-il possible - est-il permis (a t-on le droit... juridiquement, moralement) - refuser : ne pas faire quelque chose volontairement - refuser toujours / refuser parfois - douter : définition du verbe « douter » : Hésiter à croire ; ne pas avoir confiance en quelqu'un ; être dans l'incertitude. Il y a plusieurs façons de douter : - doute ordinaire dont tout le monde fait régulièrement l'expérience et qui est l'expression

quelle que soit leur nature, sont-ils fondés sur une exigence de réciprocité mécaniste, de l’ordre du « donnant - donnant » ? Cette exigence relève-t-elle d’une simple règle du jeu, ou peut-elle être posée comme un principe moral ? D’autres valeurs, comme celle du don gratuit, ne peuvent-elles pas inspirer moralement les échanges ? Il est agréable de flâner le dimanche sur les marchés, d’y trouver différents produits, d’y causer avec les uns et les autres. On échange. Pourquoi ? Lorsque nous allons

comportements puisque nous nous raccrochons à des valeurs pour agir. Celles-ci posent la question de notre droit et de notre liberté individuelle dans le respect de celle d'autrui. Les choix que l'on entreprend sont alors guidés par les principes de bien et de mal, laissant la possibilité aux individus d'agir conformément à ce qui est connu comme étant « bien », ou en outrepassant cela. Ce qui est considéré comme « bien » dans un pays ne peut-il pas être « mal » dans un autre ? Quels sont les éléments

en rien participé, ou de s’en attribuer le mérite ou ledémérite. Pour cela, il faut être libre. 2) De même, un châtiment infligé ou une récompense attribuée à des êtres qui ne seraient pas libres nous paraissent spontanément injustes. Une peine ne peut être infligée qu’à un coupable, suffisamment conscient de la possibilité qu’il avait d’agir autrement, et il nous paraît de même révoltant de récompenser un être qui n’avait pas conscience de ce qu’il a fait. 3) Tous les hommes sont également capables

. CONSCIENCE MORALE: Jugement pratique par lequel le sujet distingue le bien et le mal et apprécie moralement ses actes et ceux d'autrui. CONSCIENCE PSYCHOLOGIQUE : Aperception immédiate par le sujet de ce qui se passe en lui ou en dehors de lui. Gouverner sa vie veut dire avoir une pleine maôtrise de tous les éléments qui la constituent. Hélas, l'homme ne peut prétendre à une telle maîtrise. J'ai, certes, conscience d'être ce que je suis, mais je n'ai aucune emprise sur ce qui fait que je

Lorsque nous avons tout compris, faut-il absolument agir ? Si nous n’agissons pas, cela signifie-t-il que nous n’avons rien compris ? Pourquoi agissons nous et sous quelles formes peut-on retrouver cette action ? Ce sont les questions que l’on se pose lorsque nous lisons cette citation : « Celui qui a tout compris mais qui n’agit pas n’as rien compris » (P.Geluck). En s’appuyant à notre cours de français sur le thème de l’engagement, nous allons tenter de trouver des réponses à ces interrogations

amoral = sans moral = innocent (ex : animaux) Immoral = contre la moral. On est homme parce qu’on pense, on peut juger ce qui est moral. Quelques définitions : Devoir : Une obligation que le sujet se donne et qu’il a le choix d’enfreindre. Différent de Nécessité : Ce qui ne peut ne pas être. Contrainte: Force extérieur à moi. *Agir moralement c’est agir par intérêt, par peur, pour le bien. *Etre moral : quand c’est dans notre nature d’avoir le sentiment du Devoir ; décider

pourquoi ne pas le faire ? Doit-on tout faire ce qui est possible ? À qui se fier ? Aux Églises ? À l'État ? À la technique ? À la morale ? À la science ? À ces questions certains penseurs et humanistes ont répondu: l'agir humain ne peut être réglé par la science. La science ne peut dire ce qui doit ou ne doit pas être fait. Henri Poincaré, grand mathématicien, disait que la science se définit et opère à l'indicatif; jamais il n'a été permis d'en tirer un impératif (1913: 225). Albert Einstein pensait exactement

Max WEBER dans son discours est l'éthique en politique. Thèse : Max WEBER fait le postulat qu'il y a deux éthiques en politique : l'éthique de conviction, qui prône de mener sa cause au bout, et ce malgré les conséquences néfastes que celle-là peut engendrer ; et l'éthique de responsabilité qui elle prend en considération les effets fâcheux que peuvent avoir une cause. Si ces deux convictions éthiques semblent opposées, il faut savoir les imbriquer, en former un tout, pour prétendre participer