Peut On Choisir Son Identité

Identité : L'identité d'une chose, c'est ce qui fait qu'elle demeure la même à travers le temps malgré les changements. On a une identité en tant qu’humain, et cette identité restera toujours la même quoi qu’il arrive. L’identité d’un objet restera toujours la même, par exemple une lampe même après des années restera toujours une lampe. Choisir/Choix : Adopter une chose de préférence à une autre, sélectionner quelque chose plutôt qu’une autre suite à un jugement, à une réflexion qui la juge meilleure

Peut-on choisir soi-même son identité ? L’identité d’une chose, c’est ce qui fait qu’elle demeure la même à travers le temps, malgré les changements et les évènements de la vie. Chaque humain a sa propre identité et il la conservera quoi qu’il advienne. Mais l’homme peut modifier son comportement comme il le désire, son apparence (maquillage, coiffure), mais également son corps (dans les limites de la médecine actuelle). Un homme peut donc modifier à volonté son identité physique et morale

Pouvons nous choisir d’être nous-mêmes ? « Etre soi-même ». Cette expression est devenue de nos jours un impératif moral, une sorte de passage obligatoire pour affirmer son identité et élargir son espace de liberté. Ce slogan devient un marqueur qui tend à prouver son unicité et son authenticité, comme s’il s’agissait d’une exigence d’un retour perpétuel aux sources. Etre soi-même nous est donc imposé comme un devoir face à la pression de la société, régie par des codes et des règles.

nécessite trois conditions : la raison, le choix et la volonté. Aussi, peut-on considérer que la responsabilité est liée à notre propre identité ? Si je peux être considérée comme responsable de mes actes effectués librement, puis-je être considérée également responsable de ce que je suis ? Ainsi, peut-on dire que ce que je suis, c’est-à-dire ma singularité, mon être, provient d’une action dirigée par ma raison ? Ne peut-on pas dire que ce que je suis est un fait qui ne dépend pas de ma raison

à partir de contenu personnel ou non que l’on rende public, il s’agit en effet d’un outil de communication. Ils sont aujourd’hui devenus au fil des ans une nouvelle manière de socialiser, une manière de créer une communauté centrée autour de son identité du moins celle que l’on laisse paraître sur ceux-ci. Alors comment aller au-delà de leur utilisation primaire afin de les utiliser comme outil de communications plus avancées ?I/ Grâce aux contenus que l’on laisse paraître sur les différentes

affirmer ma liberté bien que cela questionne mon rapport aux autres ? Nous allons d’abord étudier en quoi mes actions sont déterminées par ce que les autres ont voulu de moi, puis en quoi je suis maître de moi-même et de mes actions, et enfin, en quoi je choisi ce que je veux être à partir de ce que les autres ont voulu faire de moi. Tout d’abord, nous pouvons noter que les autres me construisent que ce soit physiquement ou moralement parlant. En effet, notre existence physique et mentale dans ce monde commence

décisions très compliquées auxquelles il faut réfléchir. Si on ne sait pas quelle décision il faut prendre, on a un dilemme. On peut définir un dilemme comme « nécessité de choisir entre les deux termes d'une alternative » (Le dictionnaire.com). Le problème qu’il y a avec un dilemme est que soit les choses entre lesquelles ont doit choisir sont biens, soit ils sont maux. On ne peut jamais avoir une chose bien et une chose mal, parce qu’en ce cas, on n’aurait pas un dilemme. C’est parce qu’on certainement

Celle-ci doit donc être une mise en commun d’une communauté plus ou moins grande d’hommes qui se sentent des points communs dans leurs identités respectives. Joseph de Maistre le pressentait déjà lorsqu’il écrivait "Il n'y a point d'homme dans le monde. J'ai vu dans ma vie des Français, des Italiens, des Russes, etc. ; je sais même grâce à Montesquieu qu'on peut être persan ; mais quant à l'homme, je déclare ne l'avoir rencontré de ma vie." (Considérations sur la France (1796)). Cependant, certains

LA LIBERTE : Définitions : Sens courant (Liberté par le désir) | Sens philosophiques (Liberté par la raison) | Pouvoir faire ce qui ma plaît, ce que je désir (Liberté-spontanéité) | Etre maître de soi (choisir nos désir/volontés) | Absence de contrainte et d’obligation | Autonomie (Choisir nos propre règles d’action)(Donc ici la liberté est liée à l’obligation) | 2. LA LOI ET LA JUSTICE : Définitions : a. LOI : la règle du droit ; LE DROIT : l’ensemble des lois DROITS POSITIFS |

«L'homme est-il un être d'artifices ?» Nous verrons tout d’abord la manière dont la culture nous conditionne, avant de montrer que nous sommes aussi produits d’un dépassement de ce conditionnement initial ; enfin, si nous sommes des êtres en devenir, peut-on nous enfermer dans le cadre étroit d’un déterminisme culturel ? 1/ Nous sommes des êtres artificiels, définis par notre culture, dans la mesure où notre être n’apparaît qu’au sein d’une société qui nous forme et fait de nous des hommes et des