Peut On Choisir Son Identité

fraternité ». Pour autant, celle ci n’a pas toujours été présente dans notre société et peut requérir certains éléments afin que la liberté puisse être exercée. En effet, cette liberté pourrait passer par le choix. Faire un choix c’est décider souvent de ce qui nous convient parmi plusieurs possibilités. Chaque individu est tout au long de sa vie contraint de faire des choix qu’ils soient important ou dérisoires. Choisir peut alors nous procurer une certaine liberté dans la mesure où nous choisissons le

bien par mon esprit que je le sais. En conclusion, mon esprit doté de conscience de soi est une réalité à part entière dont l'existence ne peut jamais être démentie : « Je pense, donc je suis » (Descartes). Libre-arbitre : Une liberté parfaite serait : faire ce que l'on veut d'une part, vouloir ce que l'on fait d'autre part, c'est-à-dire l'avoir vraiment choisi, et non pas parce qu'on l'a ordonné ou parce que rien d'autre n'était possible. Ce double pouvoir d'agir et de décider de soi-même entre

Comment les gens définissent leur identité psychologique et sociale ? Comment la trouve-t-il ? Comment l’élaborent-ils ? L’identité dépend du regard que l’on porte sur soi, du regard que les autres ont sur nous et le regard que l’on porte sur les autres. L’identité ne peut pas se construire sans ces paramètres. On parle obligatoirement de différenciation et d’identification lorsque l’on parle de construction identitaire. • La différenciation : on élabore notre identité en disant ce que l’on est pas

En quel sens la représentation de ma propre identité n’est elle pas une évidence ? « Connais toi toi-même », dit la pythie de Delphes à Socrate. Pour Socrate, la connaissance de soi apporte le bonheur à l’Homme alors qu’il est malheureux, non seulement lorsqu’il s’ignore mais lorsqu’il se fourvoie sur sa propre identité. Descartes le justifiera en expliquant que l’Homme qui se connaît devient son propre médecin, il sait ce qui est bon pour sa santé et son moral et ce qui lui est nuisible. Les

d'affirmer " je choisis celui que je suis". A contrario, l'on peut être convaincu que la conscience, seule, ne permet pas une telle affirmation, voir même que ce choix est inenvisageable car finalement, peut -être ne choisissons nous pas qui nous sommes et qui nous devenons. On hésite donc, confronté à cette question, à prétendre : "oui j'ai choisis celui que je suis" ou a l'inverse " non je n'ai pas fait ce choix". ------------------------------------------------- Première partie Choisir correpons

| | | | |TITRE |Les Identités meurtrières | | | | |REFERENCES

professionnelle et vie familiale. Elles peuvent, dès lors, être conduites au retrait d’activité. rois enquêtes récentes confirment que la famille constitue pour les individus « le pilier des identités » (Bréchon 2000 ; Baudelot et Gollac 1997 et Houseaux 2003). Dans l’enquête Histoire de vie – Construction des identités, 86 % des personnes interro- T gées indiquent en effet que la famille fait partie des trois domaines qui permettent le mieux de dire qui elles sont (figure 1, encadré) . Elle est

humain est déjà entamé depuis longtemps et prend une ampleur toute particulière grâce ou à cause des fonctionnalités offertes par les nouvelles technologies de l’information et de la communication dans nos sociétés. L’homme peut-il être un document comme les autres ? L’homme peut-il être considéré comme un document ? Il est difficilement envisageable qu’un individu puisse être réduit à un document. Le sociologue Robert Escarpit établit cinq élements essentiels pour définir un document1 : - L'objet

quelqu'un d'autre quand je dis « je ». Le « je » est en effet l'expression du « moi » , nous nous en servons pour nous référer à notre personnalité , à notre identité. Mais ne peut-on pas mettre en doute ces certitudes , qui pourraient être comme les ombres que Platon décrit dans son  Allégorie de la caverne  . Ce « je » ne représente il pas notre identité de façon superficielle? Savons nous vraiment qui nous sommes ou croyons nous le savoir , pour ainsi utiliser le « je »?Dans un premier temps nous verrons

IDENTITE ET DIVERSITE Parcours de lecture dans Les Identités meurtrières d’Amin Maalouf , éd. Livre de poche, 1998. 1. Compétences, objet d’étude, questions, choix de l’oeuvre, problématique de la séquence Je choisis de centrer cette séquence plus particulièrement sur les compétences de lecture, les autres compétences étant mobilisées et travaillées afin de renforcer les compétences de lecture : Entrer dans l’échange oral : écouter, réagir, s’exprimer Entrer dans l’échange écrit : lire, analyser