Peut On Concevoir Une Société Sans Violence

La non violence à travers Gandhi La non-violence à travers Gandhi 11.03.2011 Tolstoï : « La résistance par la non-violence, dont Gandhi est le grand initiateur, porte le nom de “Satyagraha”. Cette arme merveilleuse de grandeur et de noblesse aura obligé les Anglais à céder progressivement sur certaines lois » Gandhi : « Nul être humain n ‘est trop mauvais pour ne pas être sauvé. Nul être humain n’est assez parfait pour avoir le droit de tuer celui qu'il considère à tort comme entièrement

presque tous les serments sacrés du ciel. Ophélie est différente. Elle ne ressemble pas à ces héroïnes dont Shakespeare nous a fait coutume. Elle ne se bat pas. Elle prend. Subit. Accepte. Tombe à genoux. Ne se relève pas. Elle est une femme de cette société. Elle leur appartient. Miroir d'une condition féminine. En ayant lu le roman, je constate une Ophélie piégée. Cette dernière est l'instrument de sa propre tragédie. Elle est une autre figure

donc de lui qu’il est la pierre angulaire du droit privé. • Sens du mot « obligation  Le mot « obligation » peut désigner le titre écrit qui constate le lien entre deux personnes : il y a une opposition entre obligations et actions. L’obligation désigne ainsi une valeur mobilière comme tant d’autres, et par exemple constate un emprunt émis par une collectivité publique ou par une société privée. Dans un autre sens, le mot « obligation » est utilisé chaque fois qu’une personne est tenue de respecter

"La guerre peut-elle être juste ?". La guerre, par la violence qu'elle implique, est moralement injuste. Elle porte atteinte non seulement à la vie, mais aussi à la dignité de la personne humaine (en tuant des innocents, des civils, mais aussi par les actes de barbarie qu'elle permet, et par les conséquences psychologiques qu'elle a sur les militaires). Elle a pu servir de légitimation à l'esclavage, le vaincu devant se soumettre corps et âme au vainqueur (…) PLAN I) La guerre ne peut être juste

vision d'un monde où tous les foyers seraient équipés d'un ordinateur et d'avoir été des acteurs majeurs de cette évolution. La concurrence prend ici tout son sens en tant que le désir d’imiter l’autre pour obtenir la même chose que lui. L’homme ne peut pas s’empêcher d’imiter l’autre, d’adopter ses valeurs sans se l’avouer et il est dévoré de la réussite individuelle. A titre d'exemple, dans le cas de Jobs et Gates « Chacun se croyait plus brillant que l'autre mais Steve affichait une condescendance

.......... 14 TE – Tueurs en série et Psychopathie MINTROSSE Camille 1 Introduction Le phénomène des tueurs en série psychopathes est un réel fléau pour notre société. En effet, ils provoquent la peur au sein de la société de par le fait qu’ils commettent en général des homicides cruels et violents, et de par également le fait qu’ils sont difficiles à appréhender pour les autorités. Ils traumatisent les proches des victimes de par l’incompréhension

nous ne pouvons plus aujourd’hui se définir en termes économiques ou idéologiques, puisque le concept de premier, second ou tiers monde hérité de la Guerre Froide est caduc. La définition identitaire, donnée essentielle pour tout individu et toute société, passe désormais par notre appartenance à la civilisation. S.H. décrit la civilisation comme l’entité culturelle la plus large dans laquelle un individu se reconnaît. Elles sont au nombre de huit : occidentale, confucéenne, japonaise, islamique, hindouiste

échappent aux rafles . n'était-ce pas juste ? Le désordre , s'il peut mener à des régimes totalitaires, n'est il pas nécessaire pour affirmer sa liberté ? La révolution Francaise en est un bon exemple: La révolte a permis de passer d'un régime injuste (lois arbitraires, monarchie plus ou moins absolue, privilèges) à un régime juste (libertés fondamentales, abolition des privilèges, idée d'égalité), selon les critères de notre société actuelle. Et alors: qui fixe les règles ? A quoi servent-elles?

Citation 125 Friedrich NIETZSCHE / Humain, trop humain. (1878-1879) / OEuvres I / Robert Laffont -Bouquins 1990 « Que l’on observe plutôt des enfants qui pleurent et crient afin d’être objets de pitié, et pour cela guettent le moment où leur situation peut tomber sous les yeux ; qu’on vive dans l’entourage de malades et d’esprits déprimés et qu’on se demande si les plaintes et les lamentations éloquentes, l’exhibition de l’infortune, ne poursuivent pas au fond le but de faire mal aux spectateurs : la

Jacques est décrit comme un héros courageux affrontant les éléments, sans se laisser aller à la faiblesse et à la peur. 9. C’est un homme attentif aux plaintes de sa tante Phasie, ne pouvant pas concevoir es doutes qu’elle émet à l’encontre de son mari qu’elle soupçonne de travailler à sa mort. L’idée de violence le rebute alors. Fidèle en amitié, il apprécie Pecqueux, son compagnon de travail. Il conduit régulièrement la locomotive pour permettre à son ami de se reposer après ses beuveries. Lorsqu’il