Peut On Définir La Vérité

Chapitre 1 : La Vérité Notions abordées : - raison / réel - matière / esprit - sujet - conscience et liberté - bonheur et désir - morale et justice La vérité dépend-elle de nous ? La vérité c'est l'adéquation de la pensée ou du discours à la réalité, la réalité étant l'ensemble des choses qui existent. On doit se conformer aux propriétés de la réalité. Valeur objective et universelle. "dépend" : elle n'existe pas sans nous : - c'est nous qui l'inventons, qui

philosophique sur l’absurde. Le terme ‘’absurde’’ peut être définie comme ‘’l’irrationalisme de la condition humaine’’, et décrit la manière dont l’homme essaie en vain de trouver un sens rationnel à la vie, quand il n’en existe aucun. Nous savons au fond ce qui est vraiment notre condition humaine, mais nous ressentons une peur de celle-ci, et nous ne la comprenons pas, puisqu’elle est absurde. Meursault a pris conscience de la vérité absurde. Il ne peut plus être considéré comme un homme normal ; des

soi : « Un autobiographe, ce n’est pas quelqu’un qui dit la vérité, mais quelqu’un qui dit qu’il la dit ». L’authenticité d’une œuvre autobiographique est ici remise en question. Peut-on raconter une vie telle qu’on l’a vraiment vécue ? N’est-on pas tenté de l’embellir? Les textes autobiographiques peuvent-ils atteindre la vérité à laquelle ils prétendent ? De nombreuses questions sont donc soulevées par cette affirmation. Semble-t-elle définir l’autobiographie et son entreprise ? Afin de répondre

Toute vérité a-t-elle besoin d'être prouvée? En un premier sens il pourrait paraître impossible et déraisonnable de vouloir tout prouver ou de vouloir donner des preuves de tout ce que l'on considère généralement comme des vérités. Par exemple lorsque je demande mon chemin à quelqu'un heureusement que je n'exige pas de lui une preuve de chacune de ses affirmations. La vie serait impossible s'il fallait prouver la vérité de toutes nos affirmations. Nous exigeons des preuves lorsque nous sommes

signifie qu’il fait accoucher son interlocuteur. De quoi ? Pas d’un nouveau‑né, évidemment, du moins en ce sens où il s’agirait un être vivant, mais d’un discours (un logos) dont l’interlocuteur de Socrate est porteur, et qui contient le vrai. Donc : la vérité ne se transmet pas d’un individu à un autre (ici : de Socrate à son interlocuteur), mais elle se découvre en soi-même : le dialogue philosophique est d’abord « dialogue de l’âme avec elle‑même ». C’est en ce sens que, dans l’allégorie de la caverne

naïve de la liberté comme pouvoir de faire tout ce que l’on peut vouloir faire]Négativement la liberté peut être définie comme l’ensemble des possibilités que rien ne nous empêche de réaliser. Positivement cela semble impliquer que la liberté est l’ensemble des possibilités que nous pouvons réaliser. Problème : il y a des lois qui limitent ce que nous pouvons réaliser. Est-ce à dire que nous ne pouvons pas [jamais] être libres ? Sauf peut-être si l’on sort d’un état de droit, c'est-à-dire d’un état

Gaston Bachelard, grand épistémologue français, qui a également été marqué par la phénoménologie. Critique du primat de la logique chez E Levinas et chez Heiddegger. C'est dans la postface de qu'est-ce que la métaphysique que Heiddegger tente de définir la phénoménologie. : " logique n'est qu'une interprétation de la pensée". C'est une mise en question radicale de la logique. Contestation radicale de la logique et du logique chez Heiddegger. Le premier successeur de Husserl c'est Heiddegger. Chez

La vérité nous refuse-t-elle son fondement ? -Blaise PASCAL (1623-1662) considère que l’homme est un roseau, le plus fragile de la nature, mais un roseau pensant. Cela donne une dignité inégalable à l’Homme, par rapport à l’animal. Cependant le pouvoir de la raison est borné chez l’homme, c’est a dire qu’il ne peut tout explique et tout définir. -La raison ne semble pas pouvoir juger de tout, et les vérités viennent aussi du cœur. Le cœur sent qu’il y a trois dimensions dans l’espace

doute systématiquement tous les fondements sur lesquels ses anciennes croyances sont édifiées pour repartir d’une nouvelle base et fonder un savoir d’une certitude absolue (la vérité). Il porte le doute sur les sens (nos expériences sensibles) et sur les mathématiques qui donnent tous deux l’impression de vérité. Il ira au bout de sa démarche en faisant une sorte d’hyperbole du doute. Son doute le mène finalement à une certitude à la 2ème méditation. Dans la 1ère méditation, Descartes

mensongères. », voici ce qui est énoncé à la page 74 du livre A son image  écrit par Jérôme Ferrari. Ainsi, la photographie semble être définie comme un moyen de parvenir à une interprétation de la réalité et non pas à une représentation claire et lucide de cette dernière. Toutefois cette phrase n’est pas synonyme et garante de vérité absolue car une autre dimension est donnée à l’art qu’est la photographie à travers l’énoncé suivant, ce dernier se trouvant à la page 60 du même livre