Peut On Imaginer Une Societe Sans Violence

Dissertation : le politique peut-il éradiquer la violence ? Le politique, a priori, est fondé sur le caractère inacceptable de la violence. Il cherche à faire valoir l’ordre de la parole, le logos comme alternative à la violence. Le vivre ensemble suppose en effet que les conflits soient tenus à distance, régulés, voire supprimés. Les deux termes « politique » et « violence » se définissent à travers une structure d’opposition : d’un côté la violence comme usage illégitime de la force, de l’autre

coupables potentiels sont recherchés, des préjugés s’élaborent et des communautés de boucs émissaires sont désignées. Chacun conçoit son fautif : Sartre, quant à lui, semble avoir choisi la communauté des riches. Par ailleurs, nous verrons que son propos peut se concevoir au sens propre et au sens figuré. De prime abord, si la phrase est prise au sens propre, Jean-Paul Sartre semble attribuer les conséquences des calamités de la guerre aux riches qui se battent entre eux. Sartre, qui fut enseignant

Qu’est-ce qu’une éducation réussie ? « L’homme ne peut devenir homme que par éducation. Il n’est que ce que l’éducation fait de lui. » C’est ce qu’explique Kant dans les Réflexions sur l’éducation. L’homme est un être inachevé par la nature comme nous l’explique le mythe de Prométhée et d’Epiméthée. Oublié par Epiméthée il est démuni face à la vie. L’homme doit donc se construire et apprendre par lui-même pour survivre ; il doit apprendre la vie. C’est le rôle que l’on donne à l’éducation que

contenu bien plus subversif. L’auteur profite de la mode du roman épistolaire (= par lettres) en imaginant deux Persans qui voyagent en Europe et échangent à travers leurs lettres leur étonnement et leurs critiques devant le fonctionnement de nos sociétés. Usbek, un des Persans, reçoit aussi des nouvelles d’Ispahan qui l’avisent d’une révolte des femmes de son sérail : c’est surtout l’occasion pour Montesquieu de s’interroger sur la condition féminine et de souligner les contradictions entre les théories

un concept-clé de la pensée de René Girard par Jean-Michel Logeais       C’est vers la fin des années 1970 que j’ai commencé à lire René Girard. Deux livres l’avaient alors fait connaître : Mensonge romantique et vérité romanesque (1961) et La violence et le sacré (1972). Ces premières lectures m’ont durablement marqué. Depuis je n’ai cessé de lire et de relire une œuvre qui, au fil des années, s’est enrichie de nombreuses autres publications et surtout qui a bouleversé bien des domaines : l’anthropologie

réflexion. Je tenais tout d’abord à vous dire que c’est avec grand plaisir que je me suis voué à cette lecture à l’esprit philosophique. On peut comprendre grâce à votre œuvre que l’homme est, comme le disait Rousseau,  « bon par nature et corrompu par la société ». La création du Dr Frankenstein n’est en fait méchante et cruelle qu’à cause de la société, qui la rejette et qui a peur d’elle. Vous avez, selon mon humble avis, très bien attribué à ce monstre les caractères humains et vous avez réussi

des punitions sont attribuées aux individus qui ne respectent pas les règles de la société à laquelle ils appartiennent. Les sanctions étaient la plupart du temps l'exécution et la torture jusqu'au XVIIIe siècle où sont apparus les bagnes. Ils furent conçus pour exiler les individus qui commettaient des infractions, dans le but de les tenir à l'écart du reste de la société. La législation des différentes sociétés ont évolués avec le temps. De nouvelles structures ont été réalisées et la prison est

Réflexion sur la Shoah Dans le livre Le meilleur des mondes écrit dans les années 30, l’auteur imagine une société qui utiliserait la génétique et le clonage dans le but de créer une société parfaite par le contrôle de l’individu. Dans cette société, tous sont conçus dans des éprouvettes et sont conditionnés pour appartenir à l'une des 5 catégories de population. Chacune correspond à des niveaux de responsabilités et à des types de profession bien définis. De la plus intelligente à la plus idiote :

Très jeune, Françoise Dolto souhaite devenir « médecin d’éducation ». Elle se lance dans des études d’infirmière puis de médecine. En 1939, elle s’installe comme médecin généraliste et pédiatre. En 1953, elle participe à la fondation de la société française de psychanalyse. En 1963, elle adhère à l’école Freudienne de Paris, et son œuvre est consacré à ce qu’elle nome « la cause des enfants ». En 1967, elle participe à des émissions radiophoniques sur Europe 1, puis France Inter ou elle

régime apte à l'émergence et la présence d'un nouveau despotisme. Mais ce texte pose alors la question suivante : comment la démocratie peut-elle comprendre en son sein une forme de despotisme ? Comment la liberté et l'égalité peuvent-elles se marier avec le despotisme ? Tocqueville tente alors de décrire l'esclavage despotique dont il veut avertir les hommes : il imagine un pouvoir aux qualités apparentes, présent pour les hommes et doux, qui veillerait à leur bonheur. Il prévient cependant que ce pouvoir