Peut On Penser Sans Livres

pompiers brûlent les livres pour le bien de la population, des êtres qui résistent en apprenant par cœur des livres entier, c’est le monde totalitaire de ce roman. Ici, l’auteur s’insurge contre toutes les formes de censure et clame son amour de la littérature. Considérés comme destructeur par cette société totalitaire où règne l’audiovisuel, les livres sont jugés néfastes. Ils amènent trop de questions et perturbent les gens dans leur quête du bonheur. Ceux qui possèdent des livres sont dénoncés et

utile de s'arrêter quelques moments à les expliciter. C’est dans ce contexte qu’il est soutenu pour dire que « les livres ne versaient pas seulement l’oubli et la distraction ». Ainsi nous allons tenter dans les lignes qui suivent de dire ce que les livres nous ont apportés. « Multiples sont les apports de la lecture d’œuvres littéraires » ; tout d’abord voici la preuve que les livres peuvent nous procurer des sensations : La lecture à l'école est exigeante, elle est intensément active puisque le

quand ils font la découverte d'un livre qui louanges nos ennemis ou bien qui rabaissent notre nation ! Ils me font bien rire ! Par contre... Ce Crispino... Je ne sais que penser à son sujet... Essai-t-il de nous aider ou alors... De convertir nos officiers a la lecture ?.. Non ce serait trop beau ! Il doit sans doute penser comme tout les autres ! La radio est allumée constamment, nous n'avons rien à faire nous « pauvres » soldats que nous sommes ! Seul Barabasso à demandé de la lecture. Moi ?

On a dit que penser par soi-même ce n’est pas penser par ou à travers les autres mais pourtant au bout de plusieurs cours on constate que notre pensée propre n’a pas vraiment sa place ! Si je lève la main pour dire « moi je trouve/ je pense que (par exemple, la religion c’est débile, c’est une aliénation) », le professeur me dit que je ne philosophe pas, que je ne pense pas vraiment, finalement par moi-même… Alors ? Et bien réfléchissez sur ce que peut valoir votre « moi je pense que » : avez-vous

« Nous nous approchâmes de la valise. Elle était ficelée par une grosse corde de paille tressée, nouée en croix. Nous la débarrassâmes de ses liens, et l'ouvrîmes silencieusement. À l'intérieur, des piles de livres s'illuminèrent sous notre torche électrique; les grands écrivains occidentaux nous accueillirent à bras ouverts: à leur tête, se tenait notre vieil ami Balzac, avec cinq ou six romans, suivi de Victor Hugo, Stendhal, Dumas, Flaubert, Baudelaire, Romain Rolland, Rousseau, Tolstoï, Gogol

alvéoles plus secrètes. (…) Un lieu que certains jeunes gens de l’avenir ne pourront pas même imaginer parce qu’il n’en existera plus de semblables, qu’on aura perdu ce mélange de l’ordre le plus minutieux et du foutoir, ce mélange d’affection pour les livres et d’entassement sauvage ». Interrogé sur le sens du nom de cette boutique, Péju répond : « Elle s’appelle en effet Le Verbe Être. Le problème des personnages est leur immense difficulté à être. Il y a un lien entre être et les mots : en quoi, jusqu’où

déserts , mais nous n'y bûmes point[footnoteRef:8]. D'un certain magister[footnoteRef:9] le Rat tenait ces choses,             Et les disait à travers champs ; N'étant pas de ces Rats qui les livres rongeants 20        Se font savants jusques aux dents. [5: Petite habitation paysanne. ] [6: Terrier de la taupe. ] [7: Nymphe marine, divinité secondaire qui personnifie les forces maritimes. ] [8: Les gens de Picrochole, pensant avoir traversé

aventures ? Penses-tu que c'est quelqu'un de bien ?...) Matilda Matilda est une petite fille âgée de quatre ans. Ses parents sont monsieur et madame Verdebois et elle a un frère nommé Michael. L'activité principale de Matilda est d'aller à la bibliothèque pour lire autant de livres qu'elle peut. Elle passe tout son temps à lire. Matilda est une petite fille extraordinairement intelligente, brillante et mature. Elle est très curieuse car elle veut découvrir tout ce qu'elle ne connaît pas. On peut dire

Paul Scarron, Le Roman comique (1651-1657) ➔➔ présentation du texte Le Roman comique peut être considéré comme l’un des premiers romans picaresques français. Le voyage est l’un des thèmes principaux de ce récit qui met en scène une troupe de comédiens confrontés à des personnages issus de milieux très différents, de même que les picaros espagnols fréquentent, au fil de leurs aventures, des individus de classes sociales variées. La scène retenue devrait plaire aux élèves par son registre héroï-comique

but de rendre vivant les livres et de donner une image concrète aux mots. Ainsi des romans tels que Le Liseur de B.Schlink ou La Princesse de Montpensier de Mme. De Lafayette ont été repris au cinéma. On essayera alors de savoir si l'adaptation d'une oeuvre littéraire par la cinématographie est bénéfique ou si elle nuit à celle-ci. On s'appuiera sur les avantages et les inconvénients du genre littéraire et par la suite sur ceux du genre cinématographique. On peut trouver au genre littéraire